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Un homme vit entre les souvenirs du jardin athénien de son enfance et ses promenades dans le jardin du Luxembourg avec ses béquilles, le temps de sa convalescence. Les quelques personnes rencontrées ne comblent pas sa solitude qu'il conjure par l'évocation des lectures et des héros de son enfance. Prix de la langue française 2012.
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Pavlos est rentré à Athènes sans raison précise. Il redécouvre une ville, une culture, ses origines, et choisit d'élucider un mystère qui semble contenir toutes ses incertitudes : quel est le sens de la lettre E suspendue à l'entrée du temple d'Apollon à Delphes ? Puis il s'interroge sur le silence de sa mère absente. N'est-ce pas le silence que la lettre E évoque pour lui ?
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L'histoire commence à Athènes, chez Nausicaa, dame de 99 ans, qui incite un étudiant qu'elle héberge à mener une enquête sur les moines du mont Athos. Celle-ci le mène mille ans en arrière, à l'époque de la construction du premier monastère. Il découvrira que le christianisme ne s'est imposé qu'au prix de destructions et massacres qui ont duré des siècles. Grand prix de l'Académie française 2007.
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Dessinateur de presse à Paris, Pavlos, le narrateur, retourne à Athènes sans raison apparente. Perplexe, désoeuvré, il observe la ville, ce qui se passe autour de lui. Il laisse son attention s'arrêter sur une question a priori sans conséquence : pourquoi une lettre isolée, l'epsilon, ornait-elle l'entrée du temple d'Apollon où officiait la Pythie de Delphes? Pavlos se prend au jeu de cette énigme improbable. Il mène une enquête déambulatoire qui l'entraîne dans les rues d'Athènes, aux terrasses des cafés, dans les bibliothèques, chez son frère en province, à Delphes, mais avant tout dans sa langue maternelle qu'il avait oubliée. Il se la réapproprie en racontant les aléas de ses recherches, et en notant dans un carnet des mots qui commencent tous par epsilon.
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Un homme qui ressemble à Vassillis Alexakis s'adresse à une personne qu'il connaît bien, une femme qui lui manque et à laquelle il a besoin de se raconter. Il lui plaît de délivrer à cette destinataire des nouvelles du monde aussi bien que des nouvelles plus intimes qui le concernent. Page après page, on devine qu'il converse avec sa mère disparue.
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Le narrateur, dont la vie est proche de celle de l'auteur, prend conscience de la banalité affligeante de ses trajets entre Paris et Athènes. Il se décide alors à apprendre une troisième langue, le sango, parlé en Centrafrique. La raison probable : le désir caché de redevenir un petit garçon, quand on ne sait pas encore parler...
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Le narrateur raconte à son éditeur mourant ses pensées et ses souvenirs, à propos de la Grèce d'aujourd'hui et de toujours, d'Orthodoxie, une fille qui anime l'équipe de football des SDF d'Athènes, des armateurs grecs, mais aussi de la mémoire, de cet autel érigé autrefois au Parthénon, dédié à l'oubli, et enfin d'un mot disparu que le narrateur a justement oublié : clarinette.
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