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Vacances de printemps : retrouvez les horaires d'ouverture et de fermeture de vos médiathèques.

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Année de parution :
2001
Propose d'aider les bibliothécaires pour la sélection des acquisitions et la mise en valeur du fonds de la littérature contemporaine.
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Année de parution :
1991
Qui est madame Maud, tenancière du bistrot des Trapézistes, aux Filles du Calvaire? Une enquête dans les milieux populaires de Paris grâce à laquelle l'auteur, prix Médicis 1986 pour Les Funérailles de la sardine renoue avec la tradition du feuilleton du 19e siècle. Prix Goncourt 1991.
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Année de parution :
1987
On vous assure que vous n'avez jamais eu de moustache. Deviendriez-vous fou ? Voudrait-on vous le faire croire ?
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Tome :
2
Année de parution :
1986
Portrait d'un collégien, contemporain des "années folles". Ses premiers émois, ses passions. Un récit émouvant, plein d'humour.
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Année de parution :
2012
Récit intérieur de Meursault, employé de bureau anonyme pour les autres et pour lui-même, qui tue de cinq balles un Algérien sur la plage de Tipaza à Alger.
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Année de parution :
1995
Le premier roman de l'auteur de loge du gaucher. Un livre bien dans son temps, sans bluff ni tapage, et dans lequel toute une génération, celle des 30-40 ans, devrait se reconnaître.
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Année de parution :
2012
Alain-Fournier, mort sur le champ de bataille en 1914 à l'âge de 28 ans, a laissé un roman, Le grand Meaulnes. Cet ouvrage s'empare de la courte vie de l'écrivain en s'attardant notamment sur sa source d'inspiration la plus profonde et sa rencontre romantique avec Yvonne de Quiévrecourt, le grand amour impossible de sa vie
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Année de parution :
2007
Chroniqueur d'une peste contemporaine à Oran, le docteur Rieux en décrit la progression. Roman tragique divisé en cinq actes, La peste hésite entre chronique réaliste et récit épique.
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Année de parution :
1987
Recueil de six nouvelles : La femme adultère ; Le renégat ; Les muets ; L'hôte ; Jonas ou l'artiste au travail ; La pierre qui pousse ; dans lesquelles le personnage central, qu'il se trouve dans les quartiers ouvriers d'Alger, dans un quartier bourgeois de Paris ou dans un village du Brésil, peine à trouver un sens à sa vie.
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Année de parution :
2008
Ces lettres, écrites de 1946 à 1949, s'adressent à une jeune étudiante prénommée Linette pour laquelle l'auteur exprime son admiration. J. Bousquet, le paralytique, lui parle d'amour, de littérature et de bonheur.
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Année de parution :
2009
La Postérité du soleil est née de l'amitié qui lia après la Libération Albert Camus et René Char. La correspondance des deux écrivains fait plusieurs fois allusion à ce projet de «livre sur le Vaucluse» qui serait la trace fidèle de leur fraternité. Ils en escomptaient une «joie durable». Mais le livre ne put paraître du vivant de Camus, bien que le manuscrit en fût prêt au début des années 1950, après que Char y eut apporté son «luttant et respirant» poème d'ouverture. Les fragments poétiques de Camus y accompagnaient et transfiguraient les photographies d'Henriette Grindat (1923-1986), artiste suisse venue rencontrer Char à L'Isle-sur-la-Sorgue, dans le but de donner un visage à «cette arrière pays qui est à l'image du nôtre, invisible à autrui» (Char). La mort tragique de Camus vint redonner vie à ce projet ; et le livre parut dans une version de luxe en 1965. Cette réédition en grand format permet de découvrir un texte oublié d'Albert Camus, relevant d'une écriture poétique et fragmentaire peu courante sous sa plume. Le tirage de tête, limité à 100 exemplaires, est enrichi du tirage d'une photographie inédite d'Henriette Grindat, choisie parmi celles qui n'avaient pu être retenues par les deux écrivains.
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Année de parution :
1989
Un classique de François Mauriac paru en 1927 : Thérèse, qui a tenté d'empoisonner son mari, bénéficie d'un non-lieu grâce au témoignage de celui-ci.
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Année de parution :
1991
"Jeudi 6 mai. Il n'y a que Paris pour ces tragédies bourgeoises. Ces jours-ci est morte, une semaine après son mari, Mme X... La maison X..., sans un capital bien connu, était une maison à chevaux, à voitures, à nombreux domestiques. La malade est morte dans son lit, sans avoir été complètement déshabillée, pendant cinq jours, par ses femmes faisant une noce d'enfer avec les domestiques dans le sous-sol ; et des sinapismes ayant été commandés par le médecin, c'est le cocher, complètement saoul, qui les lui a posés sur ses bas, oui, sur ses bas, qui n'avaient pas été retirés". Suggéré par ce passage du Journal des Goncourt (1880), le sujet de La Maison d'os est l'agonie d'un vieillard très riche, sans famille, entouré d'une quarantaine de domestiques pour qui la question n'est pas là. [...]Le sujet n'est pas plus macabre que celui de plusieurs oeuvres classiques. Il n'empêche pas La Maison d'os de s'orienter dans le sens de la vie, voire de la rigolade. L'auteur assure n'y avoir dissimulé aucune philosophie". Roland Dubillard.
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