En réponse au "Livre noir de la psychanalyse", qui dénonce les mythes fondateurs d'un mensonge freudien et cherche à évincer de l'Université et des institutions de soins les représentants de la psychanalyse, l'auteure réunit ses propres interventions et des textes qui permettent de comprendre pourquoi, au début du XXIe siècle, l'oeuvre freudienne continue de soulever une telle haine
En réponse au $$Livre noir de la psychanalyse$$, quarante psychanalystes lacaniens dénoncent les méthodes des TCC (thérapies cognitivo-comportementales).
Ce texte fondamental de Sandor Ferenczi, l'un de ses plus célèbres, est d'une terrible actualité. Car en décrivant deux processus névrotiques essentiels chez l'enfant - l'identification à l'agresseur, la prématuration psychique face à la folie adulte et au terrorisme de la souffrance -, il signe le retour en force de la théorie de la séduction, une séduction liée aux pratiques violentes et passionnelles des parents face aux besoins de tendresse physique émanant des enfants.
Les Etudes sur l'hystérie de Breuer et Freud, parues en 1895, sont d'un grand intérêt historique pour l'histoire de la psychanalyse. C'est ce travail qui ouvrit la voie à la psychanalyse proprement dite, dont la méthode cathartique constitue pour ainsi dire l'échelon initial. Mlle Anna O..., le premier cas traité, était une patiente de Breuer, tombée malade après la mort de son père et qu'il soigna par la catharsis sous hypnose. Ainsi put-il libérer ses affects coincés. Les quatre cas suivants furent traités par Freud lui-même. D'un grand intérêt scientifique sont les trois essais théoriques : la Communication préliminaire, de Freud et Breuer, De la théorie, de Breuer, et De la psychothérapie de l'hystérie, de Freud. Le lecteur y trouvera en germe, à côté d'hypothèses depuis abandonnées par Freud, maints concepts qu'il devait développer par la suite quand il créerait la psychanalyse.
S'intéresse particulièrement à l'expérience religieuse concrète, empirique, telle que la font les patients et telle que peut la faire un jour chacun de nous