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En l'espace d'une vie qui ne fut pas très longue, entre le 21 mai 1471, date de la naissance d'Albrecht Dürer, et le 6 avril 1528, date de sa mort, le visage de l'Europe avait changé. Les brouillards, les tourments, les incertitudes, les ignorances, dont les esprits étaient encore enveloppés au Moyen Age, peu à peu se dissipaient. Ce n'était pas, à proprement parler, les signes d'un bouleversement qui apparaissaient dans la civilisation occidentale, c'était la civilisation elle-même qui se fondait, s'échafaudait, dans l'effort encore fragmenté, mais puissant, d'une culture à la recherche de sa propre nécessité et de sa propre destinée. A la charnière des deux siècles, dans les malheurs de la fin du monde, se situe l'un des moments les plus angoissés et les plus décisifs de l'histoire de l'Occident. Nul artiste mieux que Dürer ne devait en porter dans son œuvre le témoignage, en une vision d'abord inquiète qu'atténuait à peine l'obscure conscience d'un pressentiment, puis avec la lucidité d'un homme des temps nouveaux pour qui l'avenir laisse déjà poindre ses lumières.

Il était une fois une princesse d'une très grande beauté qui se prénommait Violette. Hélas, cette princesse ne pouvait aimer, car elle portait en elle un lourd secret qui empêchait son cœur de battre. Tout lui était indifférent. Elle ne connaissait ni les joies ni les peines. Un jour, un prince en tomba follement amoureux. Mais Violette resta insensible. Son indifférence était telle que le prince en tomba malade, malade à en mourir...

Dans chaque double page, la tête colorée d'un personnage, associée à un adjectif qui le caractérise, apparaît au centre d'un décor graphique en noir et blanc. A la fin de l'ouvrage, un jeu invite à remonter le fil des pages pour compter les petites araignées qui s'y cachent.

Jack est un petit garçon qui vit pauvrement avec sa mère. Pour gagner un peu d'argent, il livre $$La gazette des contes de fées$$. Au cours de sa tournée, il rencontre des personnages qui sortent tout droit des contes : Boucle d'or, le loup, le Petit Chaperon rouge, etc.

Maman Lapin raconte à ses lapereaux la conquête du coeur d'une princesse par un lapin sagace, suite au vol d'un collier par un corbeau noir.

Comment le petit lapin rouge et le petit chaperon rouge se rencontrèrent et firent un pacte pour se protéger des loups et des chasseurs. (Livre Hebdo).

Hansel et Gretel se font surprendre lors d'une balade par une infâme ogresse édentée, qui leur fait manger du pain dur et des caramels mous afin de récupérer leurs dents de lait. Heureusement, la petite souris verte des dents de lait est là pour les aider.

Un album humoristique dans lequel un Petit Chaperon rouge rencontre un loup affamé, deux moutons insouciants et trois cochons dodus, par un jour de tempête.

Un numéro consacré à l'artiste allemand de la fin du Moyen Age, célèbre pour ses gravures et ses nombreux autoportraits.

Aurore est une jeune femme équilibrée, attentive à elle-même et à ses enfants. Elle conduit sa vie avec assurance, comme sa voiture, qu'elle prend régulièrement pour effectuer des visites de courtoisie à un personnage solitaire, reclus dans sa maison au plus profond de la forêt: le loup.

Voilà des siècles que les loups mangent les cochons, c'en est trop ! L'heure de la revanche a sonné : aux cochons de s'occuper du loup ! Un vieux chien de chasse décide de prendre les choses en main : c'est terminé, le loup n'aura plus de petits cochons pour le dîner ! Mais s'il est résolu à faire un bon professeur, ses élèves ne sont pas à la hauteur de ses espérances. En effet, les cochons n'ont ni avion pour bombarder la tanière du loup, ni argent pour engager des mercenaires. Sans compter leur manque de jugeote... Puis le piège, enfin, prend forme : pour se débarrasser du loup, les cochons l'attireront chez eux et l'attaqueront à trois contre un. Problème : le spécimen qu'ils rencontrent semble peu féroce et tient de grand discours sur l'amitié entre cochons et loups. Quand il découvre le piège, il feint même d'être prêt à se laisser dévorer par les cochons... avant de leur donner quelques recommandations : mieux vaut éviter de manger ses pattes (qui ont marché n'importe où), son ventre (qui a mangé n'importe quoi), ses yeux, ses oreilles... Seule la bouche devrait convenir. Mais alors qu'il s'apprête à manger les crédules cochons qui, convaincus, s'approchent de sa gueule, la situation s'inverse. Ces derniers rentrent dans une colère noire et le renvoient aussitôt... Cette fois-ci, pour gagner, il aurait mieux fallu que le loup se lave les dents !

Alors que le Petit Chaperon rouge est prisonnière du ventre du Méchant Loup, qui est lui-même dans celui de l'ogre qui se trouve dans celui du dragon qui est enfermé dans un château à cause d'un chevalier, sa mère est prévenue par un coup de téléphone et fait tout pour la libérer.

La petite Ameline, orpheline, a été élevée par son grand-père. A sa mort, elle est confiée à monsieur et madame Mitton. Dans leur village, elle rencontre d'étranges enfants. D'après Le joueur de flûte de Hamelin.

Aujourd'hui, Petit Loup dit à son papa :- Tu viens, on va se promener dans les bois !- Euh, attends. Tu... tu es sûr que c'est une bonne idée ?Les branches qui craquent, les orties, la pleine Lune, Grand Loup n'aime pas ça du tout… Pas à pas, Petit Loup rassure son papa : « Ne t'inquiète pas, je suis là ».Mais qui se cache donc au fond des bois ?

Le descendant de Barbe-Bleue aimerait bien que les méfaits de son ancêtre soient oubliés. Pour y parvenir, il tente de faire disparaître tous les livres qui racontent cette histoire.

Le vieux loup est désespéré par ses enfants. L'aîné s'est lié d'amitié avec une grand-mère et le cadet fait le ménage chez une chèvre tout en gardant ses sept chevreaux. Tous ses espoirs reposent sur le plus jeune.

Comme ses contemporains italiens, Raphaël et Léonard de Vinci, Albrecht Dürer (1471-1528) a connu un immense succès de son vivant. Il n'a cessé d'être célébré depuis lors. Son ?uvre, très vaste et varié, est à la mesure d'une personnalité complexe. C'était un peintre majeur, un dessinateur incomparable, et un graveur qui a révolutionné l'art de la gravure de son temps. Ami de nombreux humanistes de l'époque, il se passionne pour la théorie de l'art, publiant des traités d'une grande clarté didactique. Comme Léonard de Vinci, il perçoit clairement la variété merveilleuse de l'univers et cherche à l'appréhender par le dessin et par la peinture. Sa curiosité toujours renouvelée l'amène à représenter aussi bien une touffe d'herbes qu'un paysage entier et ses dessins d'animaux sont si beaux et si précis qu'ils ont servi d'illustrations pour les livres scientifiques pendant des générations. Certains aspects de l'artiste le rapprochent étonnamment de notre siècle comme la préoccupation quasi narcissique de son apparence qui le conduit à créer un genre nouveau, celui de l'autoportrait, ou son souci presque obsessionnel de sa santé, qui nous vaut des dessins où il se représente en Christ souffrant. Surtout, ce qui est rare dans son siècle, Dürer est un intellectuel engagé qui, dans l'Allemagne bouleversée par les débuts violents de la Réforme, soutient toujours le parti de la modération, de l'équilibre et du dialogue qu'il résume notamment dans les inscriptions accompagnant l'un de ses derniers chefs-d'?uvre, Les Quatre Apôtres (Munich, Alte Pinakothek). Cet ouvrage, selon le principe de la collection " Maîtres de l'art ", présente des reproductions des toiles les plus importantes de Dürer avec agrandissement de détails significatifs, ainsi qu'une biographie détaillée, un catalogue de l'?uvre et une bibliographie.

Un gant égaré devient le refuge de petits animaux désireux de se protéger du froid glacial de l'hiver. A l'arrivée d'une biche frigorifiée, ils recherchent une solution pour l'accueillir.

Grand-père raconte l'histoire du Petit Chaperon rouge à sa petite-fille... Mais est-il certain de bien s'en souvenir ?