Du 12e au 14e siècle, avant J.C., la Grèce façonne et diffuse l'une des plus grandes civilisations de tous les temps : Homère, Hérodote, Eschyle, Alexandre le Grand, des poètes et des hommes de génie, sont les héros d'une histoire qui continue d'émerveiller le monde moderne.
Reconstitution de la vie dans l'Antiquité à Athènes, Sparte, Syracuse, etc. Présente les différents métiers, les divinités, les ressources et les techniques de guerre, les héros, etc.
L'histoire de l'Athènes antique semble bien connue : la démocratie se joue à l'Assemblée sur la Pnyx, Athéna est honorée sur l'Acropole, les métèques sont inférieurs aux citoyens, tout le monde connaît les lois... Mais les recherches récentes nous invitent à repenser notre vision de la cité et à changer de perspective en regardant non pas vers les hauteurs de l'Acropole et de la Pnyx, mais en contrebas, vers la place publique qu'est l'Agora. Ainsi pouvons-nous alors percevoir le bouillonnement de la cité grecque qui, contrairement aux idées reçues, n'est en rien figée et désincarnée. Riche d'activités économiques et industrieuses, l'Agora symbolise en effet l'effervescence de la vie quotidienne tout en étant un des lieux privilégiés de la politique athénienne : les marchands en tout genre y perturbent parfois les débats du Conseil, et les cochons à vendre sur le marché côtoient les discussions de Socrate. Répondant à nombre de questions, cet ouvrage bat en brèche moult poncifs concernant l'Athènes classique : les femmes étaient-elles cantonnées à une vie de réserve et de discrétion ? Les informations qui circulaient étaient-elles à l'abri des fake news ? Fallait-il faire preuve de décence et de bienséance en politique ? En une quinzaine de chapitres enlevés, Nicolas Siron et les meilleurs spécialistes qu'il a réunis proposent un-récit vivant de l'Athènes antique et renouvellent en profondeur notre conception sociale, politique ou encore religieuse de la cité grecque.
A l'école, Arthur était un cancre. Adulte, il est devenu un redoutable bandit, mais il se sent bien seul. Quand il s'ennuie, il ne peut même pas se distraire avec un livre car ce mauvais élève n'a jamais appris à lire. Un jour, il fait une chute de cheval et est secouru par Marie-Rose, une charmante dame qui lui fait découvrir le plaisir de la lecture.
Quatre enfants attendent Madame Ourse. Elle vient chaque semaine, à la même heure, leur raconter des histoires. À chacun son livre, à chacun son histoire. Confortablement installés sur un tapis, l'aventure peut commencer, tous s'écoutent et voyagent dans l'imaginaire de chacun.
Peut-on confondre un livre avec un hall de gare ? C'est un livre qui ne parle ni d'éléphant ni de pirate ni de monstre ni de reine, d'accord, mais s'ils n'ont rien à faire dans cette histoire, alors pourquoi débarquent-ils tous sans crier gare ?
Niéléni vit dans un village africain. Elle pile le mil, cuit le riz, lave le linge. Lorsqu'elle reçoit une lettre de son oncle, elle demande à ses frères de la lui lire. Mais ils se moquent d'elle et elle décide de s'enfuir. Un récit sur l'illettrisme et l'inégalité entre filles et garçons en Afrique sous forme de conte fantastique.
Un caneton se promène et découvre, tout content, un livre qui traîne. Mais quand il se rend compte que ce livre ne comporte aucune image, il est très déçu. D'un coup de patte, il le rejette au loin.
Rufus-Philippe-Martin est un petit cochon qui aimerait apprendre à lire. Il tente de convaincre le principal de l'accepter en s'équipant comme les enfants d'un cartable et d'un goûter. Une histoire sur le plaisir de lire, pour rassurer les enfants qui entrent à l'école.