Gretel, la grande soeur, et Hänsel, son petit frère, vivent dans la pauvreté. Faute d'argent pour bien les nourrir, leurs parents décident de les abandonner en forêt. Les deux enfants trouvent refuge dans une maison en pain d'épice, mais elle est habitée par une sorcière. Les illustrations de P.O. Zelinsky sont inspirées du Quattrocento italien.
Un recueil d'une dizaine de contes et de légendes du monde entier pour découvrir les destinées de Circé, Takishaya, Malina, Louhi, etc., des sorcières laides, mauvaises, ambiguës ou séduisantes.
Dans la tribu inuit, Mikka découvre un soir que sa fille Smilla a disparu. Annun, le garçon au sourire, l'informe que c'est la sorcière blanche qui l'a enlevée.
Irina a laissé son petit frère Ivan sans surveillance et les oies de la terrible sorcière Baba Yaga viennent de l'enlever. Dès qu'elle s'en aperçoit, la fillette court à sa recherche. Elle s'enfonce dans la forêt, mais refuse qu'on l'aide : Irina veut réparer toute seule son erreur. Soudain, une cabane marchant sur ses deux pattes de poulet apparaît : c'est la maison de Baba Yaga ! Et Ivan est toujours à l'intérieur. L'heure tourne, les parents ne vont pas tarder à rentrer du marché...
Angélique, une ado modèle ? Une collégienne bien dans sa peau, bien dans sa famille, bien dans sa vie ? Vraiment ? Vous en êtes sûr ? Et pourtant… La jeune fille parfaite se comporte plutôt bizarrement ces derniers temps. Elle se transforme, change de tenues, porte des hauts moulants et des mini-jupes, elle fume et traîne dans les bars où il lui arrive de faire des rencontres…Vous avez du mal à y croire ? Tout est pourtant écrit noir sur blanc dans le cahier rose fushia que sa mère lui a offert. La collégienne en a fait son journal intime, dans lequel elle est censée raconter tous ses secrets. Elle y décrit une Angélique inconnue de tous, une Angélique… diabolique ! A partir de 12 ans.
Une rencontre fortuite dans le salon de la maison, entre une adolescente et la nouvelle conquête de son père ; deux frères qui préparent le petit-déjeuner pour leurs parents dont c'est l'anniversaire de mariage pendant que ceux-ci, bien alcoolisés, sont encore endormis ; une mère et sa fille qui se font tatouer, l'une un yin, l'autre un yang ; un père et son fils qui construisent une barrière autour de leur jardin sous le regard de la mère, qui vient de se faire battre par son mari ; une première expérience sexuelle sur un terrain de football au détour d'une soirée trop arrosée… À travers ces quatorze courtes nouvelles racontées à la première personne, le Danois Kim Fupz Aakeson dresse le portrait d'une jeunesse à la vie pas toujours rose et dont les parents ont une sérieuse tendance à déserter et à ne pas se montrer à la hauteur. L'auteur ne juge jamais ses personnages, il les accompagne l'espace d'un court moment. Un instant si bien décrit qu'on ne croirait pas qu'il a inventé ces nouvelles, mais plutôt qu'il en a été le témoin. Il peint le portrait d'adolescents happés dans des moments forts et décisifs de leurs vies et les rapporte avec une distance qui n'est, en fait, que tendresse et compréhension. Un livre coup de poing.
La belle Raiponce est enfermée dans une tour sans porte. Quand la sorcière qui la détient veut entrer, la jeune fille laisse tomber son immense chevelure au sol. Un jour, un prince passe par là.
Angela est une jeune fille boulotte qui rentre en seconde. Son quotidien est compliqué : mauvaise réputation, divorce de ses parents, mort du chat, trahison de sa meilleure copine, etc.
Un album pop-up au très grand format pour découvrir tous les secrets des méchants les plus célèbres des contes et histoires : les ogres, loups et sorcières !
Deux classiques de l'oeuvre des frères Grimm : l'histoire de Raiponce et sa longue chevelure, ainsi que celle de quatre jeunes hommes qui découvrent la lune pour la première fois.
Au village, tout le monde a peur de la sorcière. Tout le monde, sauf Pierre, le galopin qui n'a peur de rien ! Jusqu'au jour où cric crac, la sorcière l'enferme dans son sac ! Et si c'était l'occasion pour Pierre de jouer un sale tour à la sorcière ? Des dialogues vifs et enlevés, des chansonnettes, et le langage fleuri de la sorcière... Couleurs ardentes et encre de Chine, Roland Garrigue nous transporte dans son univers végétal et mystérieux.