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Vacances de printemps : retrouvez les horaires d'ouverture et de fermeture de vos médiathèques.

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Année de parution :
2016
Après les attentats de novembre 2015, chacun de nous a compris qu'il pouvait désormais être une cible et que ses proches pouvaient l'être aussi.Cette nouvelle guerre n'est plus uniquement réservée aux professionnels ou « aux autres ». Alors comment continuer à vivre normalement, sans se laisser envahir par la peur tout en étant conscient du danger ? Comment reconnaître les symptômes du trop célèbre stress post-traumatique qui peut toucher n'importe qui ? Comme le prévenir, le surmonter ? Comment envisager l'avenir de manière positive ? C'est ce qu'explique Sylvie Tenenbaum, à l'aide de conseils concrets, d'exercices pratiques et de nombreux témoignages de spécialistes et de patients. Un livre pour continuer à vivre et espérer malgré tout. 
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Année de parution :
2016
Alors qu'aucune sortie de conflit n'est encore envisageable dans la guerre contre l'État islamique, certains observateurs craignent que les enfants soldats n'aient atteint un niveau d'endoctrinement contre lequel aucune méthode de réhabilitation ne serait possible. Pire encore, de larges programmes de « couveuses » de jeunes combattants ont été dévoilés : éducation dès le plus jeune âge d'une deuxième génération de djihadistes entièrement « purs » de toute influence extérieure à l'État islamique, développement d'outils éducatifs uniques et désensibilisation à la violence. Le think tank anglais Quilliam a étudié pour l'ONU et l'Unesco cette inquiétante préparation d'une nouvelle vague de combattants à moyen terme, qui rappelle les Jeunesses hitlériennes et leur vocation à créer de parfaits Aryens ou, plus récemment, les méthodes du parti Baas dans l'Irak de Saddam Hussein. Documents à l'appui, ce livre blanc inédit a été cité en exemple dans toute la presse anglo-saxonne : CNN, CBS, BBC, The Guardian, etc. La Fondation Quilliam est un think tank britannique qui se concentre sur le « contre-extrémisme » et plus spécifiquement les causes du terrorisme islamiste. Son nom est un hommage à Abdullah Quilliam, fondateur de la première mosquée d'Angleterre.
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Année de parution :
2016
Revenant sur l'histoire du mouvement, sur la situation internationale qui a permis au califat de s'étendre, de semer la mort et la peur à travers le monde, l'auteur, reporter au Washington Post livre une enquête sur le groupe Etat islamique en retraçant le rôle d'Abu Musab al-Zarquaoui puis celui d'Abou Bakr Al-Baghdadi. Prix Pulitzer 2016 (non fiction). ©Electre 2017
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2016
Depuis la naissance des grandes civilisations, les hordes venues des steppes ou des forêts sont venues massacrer et piller. La ressemblance entre ces barbares d'autrefois et les djihadistes d'aujourd'hui est, selon l'auteur, frappante, à cette nuance près que les partisans de Daech ont fait un choix individuel. Plus ou moins refoulée, la barbarie est d'abord intérieure. ©Electre 2017
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2016
Mine de rien... Quand on a très peur, ça rassure d'être ensemble, et d'en parler avec les grands.
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2016
Dans un dialogue avec sa fille, l'auteur retrace l'histoire du mot terrorisme et des réalités qu'il recouvre, depuis la Révolution française jusqu'à la montée du djihadisme.
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2016
" En 2015, le juge Marc Trévidic lance des mandats d'arrêt internationaux contre quatre individus soupçonnés d'avoir participé à la fusillade de la rue des Rosiers. C'était le 9 août 1982. Bilan : 6 morts et 22 blessés. Par une curieuse ellipse temporelle, cette enquête rebondit au moment où quatre millions de personnes manifestent leur indignation et leur révolte après les attentats contre Charlie Hebdo et l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes, à Paris. Pourtant, je me souviens... En 1982, il n'y a pas eu de manifestation, même pas la moindre mobilisation policière : l'état-major de la PJ annonce un règlement de comptes dans le quartier du Marais. Et moi, en tant que chef de l'Office central pour la répression du banditisme (OCRB), je dresse l'oreille et... termine mon déjeuner. Je ne suis pas le seul, et il faudra du temps pour que les autorités réagissent. Nous n'étions pas prêts ! De la rue des Rosiers au Bataclan, à travers mes expériences ou celles de mes collègues, de mes amis, ce livre montre l'incroyable évolution des services d'enquêtes et de renseignement dans la lutte contre le terrorisme. Et comment, en l'espace d'une génération, cette menace a changé nos valeurs, jouant sur nos craintes et notre imagination, au point d'accepter de sacrifier notre vie privée et de renoncer à une partie de ces libertés que nous avons reçues comme un héritage. Cette histoire, je vais vous la raconter. "
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2016
Le massacre des Yazidis par l'État islamique n'a pas d'autre nom : c'est un génocide.Dans les camps de réfugiés du Kurdistan irakien, Le Père Desbois et Nastasie Costel ont interviewé plus de cent survivants. Ces esclaves de Daech ont observé leurs tortionnaires et vu les lieux tenus secrets de l'organisation.Sexe, meurtres et argent, leurs révélations fracassent les apparences. Ceux qui se présentent comme des « soldats de Dieu » n'ont pour ambition que le pouvoir. L'EI ne promet pas le Paradis après la mort, elle l'offre sur terre.Pour cela, il leur faut des outils : les Yazidis. Les hommes, inutiles lorsqu'ils refusent de prêter allégeance, sont éliminés. Les femmes deviennent esclaves sexuelles ou reproductrices, dont la progéniture viendra grossir les rangs de l'organisation. Les enfants, des soldats. Avec retenue, émotion et intelligence, le Père Desbois se penche une fois de plus sur la mémoire des oubliés des guerres, nous plongeant au cœur de ce qu'il convient bien d'appeler par son nom : un génocide « utilitaire ». La voix, humaine, qu'il manquait. Le Père Desbois, président de Yahad in Unum, a consacré sa vie aux recherches sur la Shoah, au combat contre l'antisémitisme et à l'enracinement des relations entre catholiques et Juifs. Il est l'auteur de Porteurs de mémoire : Sur les traces de la Shoah par balles (Michel Lafon, 2007).Nastasie Costel est originaire de Roumanie. Descendant de déportés, il dirige aujourd'hui les recherches de l'association sur le génocide des Roms. Il préside Roma Dignity.Tous deux ont initié ce qu'ils appellent : Action Yazidis.
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2016
 « Que se passe-t-il sur une scène d'attentat ? Peu de gens le comprennent, peu le savent, beaucoup imaginent. D'autres fantasment… Et certains rapportent de fausses informations. Ce que j'ai vécu, en tant que médecin-chef du RAID est mon quotidien. Nous sommes formés pour “Servir sans faillir ”. Alors pourquoi m'exprimer ? Je le fais surtout pour les blessés dont la plupart ne savent pas comment ils s'en sont sortis. Face à la menace, qu'elle provienne d'armes de guerre ou d'explosifs, tout secours improvisé est d'autant plus inefficace qu'il peut entraîner la mort du secouriste. C'est la règle du métier : on ne peut soigner un blessé alors qu'un tireur est susceptible de nous prendre pour cible. J'ai considéré qu'il fallait avoir le courage de dire la vérité et d'expliquer ce que nous vivons. » 
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2024
Fracassée comme tant d'autres après le massacre perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, l'auteur voit son monde s'effondrer. Elle dont la mission consiste à porter la souffrance des autres sur ses épaules et à la soulager par ses mots, se trouve soudain en état de sidération, impuissante et aphasique.Dans la fièvre, elle écrit alors ce petit traité de survie, comme une tranche d'auto-analyse qui la fait revenir sur ses fondements existentiels.Le texte est composé de dix conversations réelles ou imaginaires  : conversation avec ma douleur, conversation avec mes grands-parents, conversation avec la paranoïa juive, conversation avec Claude François, conversation avec les antiracistes, conversation avec Rose, conversation avec mes enfants, conversation avec ceux qui me font du bien, conversation avec Israël, conversation avec le Messie.Ce livre entre en résonnance avec Vivre avec nos morts (puisqu'il s'agit ici, a contrario,   de l'angoisse de mourir avec les vivants), avec Réflexions sur la question antisémite (puisque c'est le pendant personnel, intime et douloureux à l'essai plus intellectuel et réflexif) et à Il n'y a pas de Ajar (puisque la musique, le ton, la manière des dialogues oraux font écho à ceux du monologue théâtral).Comme toujours avec l'auteur, le va et vient entre l'intime et l'universel, entre l'exégèse des textes sacrés et l'analyse de la société actuelle, entre la gravité du propos et l'humour comme politesse du désespoir, parvient à transformer le déchirement en réparation, l'inconfort en force, l'inquiétude en réassurance et le doute en savoir.
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2016
« Il est difficile, ces temps ci, de penser librement et encore plus de penser en athée. Affirmer que les idéaux de la philosophie des Lumières sont toujours d'actualité nous fait paradoxalement passer pour des réactionnaires, des islamophobes, voire des compagnons de route du Front National assimilé au fascisme. Dans un monde qui prétend en masse « Je suis Charlie », Voltaire revenu passerait pour un défenseur du fanatisme ! C'est le monde à l'envers.Je me propose de réactiver la pensée des Lumières dans ce Penser l'Islam. Non pas le penser en faveur ou en défaveur, ça n'est pas le propos, mais en philosophe. Je lis le Coran, examine les hadiths et croise avec des biographies du Prophète pour montrer qu'il existe dans ce corpus matière au pire et au meilleur : le pire, ce que des minorités agissantes activent par la violence, le meilleur, ce que des majorités silencieuses pratiquent de manière privée. Comment la république doit-elle considérer ces deux façons d'être musulman ? Y-a-t-il des relations et des points de passage entre minorités agissantes et majorités silencieuses, sachant que l'histoire est faite par  les premières, pas par les secondes ?Ce livre remet également en relation ce qu'il est convenu d'appeler le terrorisme   avec la politique étrangère  islamophobe menée par la France derrière l'OTAN depuis des années. Nous nommons barbarie ce que nous ne voulons pas comprendre. L'islam terroriste a été partiellement créé par l'occident belliqueux. Les choses ne sont pas aussi simples que ce que, de part et d'autre, on voudrait nous faire croire. D'où la nécessité de se remettre à penser. Sur ce sujet comme sur d'autres.»M. O.
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