C'est l'histoire d'un bûcheron. Il avait tellement d'enfants qu'il n'avait jamais pris la peine de les compter. Mais cet hiver-là est glacial, le bûcheron n'a plus de travail, et ses petits ont faim. Il leur dit : "A mon retour je veux vous trouver la serviette autour du cou, dans une main la fourchette, dans l'autre le couteau". Et il s'enfonce dans la forêt. Un conte de sorcière rocambolesque et plein de surprises !
Ce conte tsigane met en scène une belle et mystérieuse jeune femme, Yeghvala, à qui des sorcières ont donné des pouvoirs extraordinaires. Mais la vie ne l'épargne pas pour autant...
Constatant la fin d'un monde, celui fondé sur la prééminence du cerveau rationnel et logique par rapport au cerveau émotionnel, sur l'exploitation mercantile de la nature, sur la domination du masculin sur le féminin, l'auteur montre que le changement est possible et exprime sa conviction que l'humanité peut dépasser cette crise planétaire par une profonde transformation de nos modes de vie.
Dominique Dupagne est médecin. Son diagnostic en ce qui nous concerne : le mal-être nous ronge et c'est l'organisation de la société humaine qui en est la cause. La médecine, pourtant dernier rempart contre la violence sociale et l'absurdité administrative, est l'exemple même de cette aberration : elle peut nous sauver mais aussi broyer nos vies par ses excès. La campagne de vaccination contre la grippe AH1 N1 a mis en lumière un comportement qui a fait plus de malades qu'il n'en a prévenus contre une éventuelle infection. Sans parler des nombreux examens menant à des interventions qui souvent pourraient être évitées et sont parfois source de lourds dommages collatéraux. Même la structure des hôpitaux est arrivée à un point de déshumanisation dangereux, au profit de la rentabilité. Nos sociétés modernes sont à cette image, et restent régies par un modèle ancestral de rapports entre dominants et dominés qui ne convient plus aujourd'hui. Le Dr Dupagne nous incite ici à passer de l'indignation au combat, pour retrouver un équilibre et un bonheur perdu.
Israël a changé. Il n'est plus ce pays issu du creuset européen auquel on veut encore croire. L'Israël des origines, celui des pionniers, celui de la Shoah, est révolu. Non seulement il n'a plus la hantise de son passé européen, mais il n'a plus non plus les mêmes attaches qu'autrefois : l'Amérique d'Obama l'inquiète. Israël d'aujourd'hui s'intéresse plus au prix du fromage blanc, le cottage cheese, qu'au processus de paix sur lequel est focalisée la presse du monde entier. Israël a épousé notre époque. Il vit désormais dans un cyberespace au coeur d'une mondialisation au parfum de plus en plus asiatique. Le postmoderne s'y combine avec un passé ancien, voire archaïque, ultrareligieux. Israël a déménagé.
Plaidoyer pour une évolution des sociétes contemporaines, dans l'optique d'un monde durable, grâce à l'utilisation des avancées technologiques, économiques et sociales pour améliorer la collaboration des individus, des organisations et des institutions.
A partir du postulat qu'un nouvel humain est né, capable de taper des messages avec son pouce, et qu'il baptise Petite Poucette, le philosophe montre qu'une nouvelle révolution, celle des nouvelles technologies, après les passages de l'oral à l'écrit et de l'écrit à l'imprimé, s'accompagne elle aussi de mutations politiques, sociales et cognitives qui en font une période de crises.
Baba Yaga, une sorcière connue de tous les enfants russes, vit au plus profond de la forêt, dans une petite hutte montée sur des pattes de poulet. Vassilissa a été envoyée chez Baba Yaga par la belle-mère de la petite fille pour que la sorcière la dévore. Un album avec des phrases à lire par l'enfant et deux roulettes pour s'amuser avec les phrases et les images de l'histoire.