Accueilli en banlieue parisienne pour faire un travail sur une ville et ses habitants, Martin Jarrie rencontra quinze personnes et demanda à chacune de choisir un objet qui lui était cher. Puis il envoya ces portraits, visages et objets, à François Morel. Qui les réinventa. Décidé de donner la même importance à un objet banal qu'au visage de son propriétaire, c'était déjà une manière de raconter une vie. Une manière qui est aussi celle de François Morel, dont on connaît le talent pour dire la beauté du quotidien et la grandeur de nos vies minuscules.
Au milieu des maillots de bain, du flamenco et des tapas mais aussi de la plus grande armée du monde, ce roman raconte l'histoire du monstre King Kaloumar.
Abécédaire multilingue (français, anglais, allemand, espagnol et italien) sous forme de pop-up. Chaque lettre est associée à des mots des différentes langues mais de sens identique et commençant par la même lettre.
Dans cet imagier, les saisons sont évoquées par des objets, des paysages, des événements ou des personnages. Certains de ces éléments reviennent rythmer les saisons au fil des pages.
Le village du Trou est peuplé principalement de veuves de 70-80 ans qui vivent au ralenti et regrettent le passé. Mais l'arrivée dans le village de Nicole, qui vient à peine de prendre sa retraite, et l'annonce de la chute prochaine d'un astéroïde sur Terre changent la donne.
Tom, 11 ans, vit dans un mobil-home avec sa mère Joss, 25 ans, qui le laisse souvent seul pour passer du temps avec ses amis. Tom se débrouille en volant des fruits et légumes dans les potagers des voisins. Une nuit, il découvre Madeleine, 93 ans, couchée, en pleurs, dans son jardin. Puis c'est un homme habillé en croque-mort qui surgit dans les parages.
Dans un petit restaurant, une comédie musicale avec des chansons et des chorégraphies, des paillettes, du cambouis et les sentiments troublants de l'amour.