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ImpriméDisponible
Année de parution :
2000
Dans le Japon ancien, Ashikaga est un seigneur puissant et autoritaire. Sesshû, lui, est un peintre épris de justice. Saura-t-il relever le défi que lui impose son souverain ? Qui l'emportera : le sabre du guerrier ou la sagesse de l'artiste ? Un conte inspiré de la philosophie zen et de la peinture haboku.
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Année de parution :
2000
Une anthologie qui mélange poètes reconnus et poètes de la jeune génération.
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Année de parution :
2000
Les deux courants culturels et spirituels que sont le shinto et le bouddhisme convergent dans les contes japonais. Ils évoquent un monde rempli de mystère impalpable, de puissance intérieure, de signification morale, ainsi qu'un sens profond des beautés du monde naturel. Les contes du Japon trahissent une conscience aiguë de la beauté à la fois fugitive et obsédante de la vie.
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Tome :
1
Année de parution :
2000
Ce premier tome s'était donné pour repères Paul Claudel et René Char, c'est-à-dire des auteurs nés avant 1906. Michel Décaudin en propose ici une version plus ample (une dizaine de poètes y trouvent place, de Milosz à Tortel).
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Année de parution :
2000
En France, tout commence par des chansons. Le lyrisme courtois naît vers la fin du XIe siècle, dans le Sud. Bientôt, il se propage au nord de la Loire. En ce temps-là, l'amor (le mot est du féminin) est fine, c'est-à-dire raffinée. Elle exige de ceux qui la chantent qu'ils se forgent des instruments - une langue, des formes - à la hauteur de leur sujet. Ces premiers chercheurs d'une excellence poétique sont, non sans logique, appelés des «trouveurs» - trobadors dans le Sud, troveors («trouvères») dans le Nord. C'est avec eux que s'ouvre cette anthologie. Elle se referme, au second volume, avec des poètes vivants, nos contemporains. Bien sûr, leurs voix ne sont pas éteintes, leurs œuvres ne sont pas achevées. Mais déjà se dessine un paysage, dont on trouvera ici les contours. Rappelons que le verbe grec anthologein signifie «cueillir des fleurs». Cueillir - sauf à tondre la prairie - c'est choisir. Ces deux volumes, tout en proposant un panorama aussi équilibré que possible de neuf siècles de poésie, n'échappent pas à cette règle. L'important est sans doute que le lecteur demeure le maître du jeu, qu'il se sente libre de fixer le but de sa promenade, de régler le rythme de son pas, d'emprunter tantôt les allées principales, tantôt les chemins de traverse. Autant de lecteurs, autant d'anthologies.
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