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ImpriméDisponible
Année de parution :
2000
Mais qu'a donc Marie ? Il lui est arrivé la catastrophe de l'année ! Quelle catastrophe ? A-t-elle cassé sa poupée, son ballon s'est-il envolé, a-t-elle vu une araignée, un orage a-t-il éclaté, est-elle tombée dans les cabinets, la télé a-t-elle explosée ?
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Année de parution :
2000
Si je veux, je sors sans mon manteau, je joue avec les outils de papa, je ne me lave pas, je mange tout le gâteau. Oui mais, après... N'en faire qu'à sa tête n'est pas toujours une bonne idée. N'est-ce pas, Uki ?
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Année de parution :
2000
Une anthologie qui mélange poètes reconnus et poètes de la jeune génération.
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Tome :
1
Année de parution :
2000
Ce premier tome s'était donné pour repères Paul Claudel et René Char, c'est-à-dire des auteurs nés avant 1906. Michel Décaudin en propose ici une version plus ample (une dizaine de poètes y trouvent place, de Milosz à Tortel).
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Année de parution :
2000
En France, tout commence par des chansons. Le lyrisme courtois naît vers la fin du XIe siècle, dans le Sud. Bientôt, il se propage au nord de la Loire. En ce temps-là, l'amor (le mot est du féminin) est fine, c'est-à-dire raffinée. Elle exige de ceux qui la chantent qu'ils se forgent des instruments - une langue, des formes - à la hauteur de leur sujet. Ces premiers chercheurs d'une excellence poétique sont, non sans logique, appelés des «trouveurs» - trobadors dans le Sud, troveors («trouvères») dans le Nord. C'est avec eux que s'ouvre cette anthologie. Elle se referme, au second volume, avec des poètes vivants, nos contemporains. Bien sûr, leurs voix ne sont pas éteintes, leurs œuvres ne sont pas achevées. Mais déjà se dessine un paysage, dont on trouvera ici les contours. Rappelons que le verbe grec anthologein signifie «cueillir des fleurs». Cueillir - sauf à tondre la prairie - c'est choisir. Ces deux volumes, tout en proposant un panorama aussi équilibré que possible de neuf siècles de poésie, n'échappent pas à cette règle. L'important est sans doute que le lecteur demeure le maître du jeu, qu'il se sente libre de fixer le but de sa promenade, de régler le rythme de son pas, d'emprunter tantôt les allées principales, tantôt les chemins de traverse. Autant de lecteurs, autant d'anthologies.
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