Portail des médiathèques du réseau Paris-Saclay

Présente aux enfants français les différents modes de vie à travers la description des coutumes vestimentaires, alimentaires, scolaires, etc. d'enfants d'autres pays.

En août 1914, Sergueï, qui vit à Petrograd, Ernst à Berlin et Emile à Paris, sont très fiers : sur le quai de la gare, ils accompagnent leur père, mobilisé, qui part défendre valeureusement la patrie. La France aidée par la Sainte Russie ne fera qu'une bouchée de l'empire allemand de Guillaume II ! Mais Ernst n'a pas peur, son empereur l'a promis : la guerre sera fraîche et joyeuse.

Au XIVe siècle, Arnaud, orphelin, est envoyé au château de Coucy pour y travailler. Il découvrira la vie quotidienne au château dans les écuries, la bibliothèque, la chapelle, les cuisines. Et réussira, avec la complicité de Guillemette, à démasquer un voleur. Les principaux thèmes abordés : le travail des paysans, les chevaliers, les vêtements, la chasse...

A Deir el-medineh, Ramose rêve de devenir peintre de tombe, comme son père. Encouragé par le scribe, Inti, il consigne ses joies et ses peines dans son journal : la mort de son grand-père mordu par un scorpion, la fête d'Itep à laquelle doit assister Pharaon. Le documentaire développe les thèmes de l'école, des hiéroglyphes, les animaux, les dieux, la pêche, la médecine, etc.

Quand éclate la Première Guerre mondiale, il y a 4 millions de poilus sur le front et 4 millions et demi d'enfants sur les bancs d'école... Les premiers sont plongés dans l'horreur de la guerre. À l'heure du courrier, ils redeviennent des pères, des oncles, des parrains... Les seconds sont à l'âge des poupées et des soldats de plomb. La plume et les crayons de couleur sont leurs seules armes pour contrer le vide de l'absence. Ces extraits de lettres, de journaux intimes et de récits autobiographiques éclairent les relations qui unissaient entre 1914 et 1918 les pères et leurs enfants. Entre les uns et les autres se noue une chaîne de mots manuscrits, d'espoirs et de craintes, de conseils, de fautes d'orthographe, de larmes et de sourires. Un amour vrai, tendre et pudique est ici déposé dans des lettres mille fois relues, manipulées, froissées, chéries comme autant de trésors.

Jeanne d'Arc Umubyeyi, petite fille tutsi, a perdu toute sa famille dans le génocide au Rwanda. Recueillie par une famille allemande, elle témoigne de son enfance et de sa grande douleur.

Les douleurs de la seconde guerre mondiale mènent Dominique Darbois, engagée auprès d'associations humanitaires, à la rencontre d'autres civilisations, entre 1950 et 1970. A travers ses photographies d'enfants, elle met en évidence un espoir d'échange entre les peuples. La photographie est à ses yeux un moyen "permettant de faire reculer l'intolérance en élargissant le champ de vision"

Le nord de la France, août 14 : la guerre est déclarée ! Tandis que son père est mobilisé pour le front, Angèle, accompagnée de sa mère et de ses deux frères, fuit vers le Sud-Ouest. Elle découvre la vie à la campagne mais aussi les privations et les souffrances des poilus que son père lui raconte dans ses lettres. Développe le thème des armes, des uniformes, du patriotisme, la pénurie, etc