29 résultat(s)
Dans le Japon du XVIe siècle, des paysans persécutés par une bande de brigands engagent sept samouraïs pour défendre leur village. Le chef-d'œuvre d'Akira Kurosawa en version restaurée.
Au XVIe siècle, époque de grande violence au Japon, une bande de guerriers sans pitié opprime et rançonne un village de paysans. Désespérés, ces derniers se résolvent à engager des samouraïs pour les protéger. Kambei, aidé de son disciple Katsushiro, recrute quatre soldats errants ainsi qu'un demi-fou, Kikuchiyo. Peu à peu, ils s'intègrent au village dans un climat de confiance. Grâce à un entraînement intensif, et parfois cocasse, les villageois se préparent à défendre leurs biens et à combattre aux côtés des samouraïs...
Le sabre et la fourche
Ce fut longtemps le film le plus cher de l'histoire du cinéma nippon. Confrontés à un tournage long et difficile, les dirigeants de la Toho faillirent même abandonner le projet. Mais la version intégrale proposée ici prouve que Les sept samouraïs est un chef-d'œuvre, bien plus qu'un simple western japonais. Si Kurosawa s'est dit influencé par John Ford, Hollywood s'inspirera en retour de son film sous la forme d'un western (Les sept mercenaires de John Sturges). Dans la scène du combat final – d'une intensité et d'une férocité rares –, Kurosawa s'affirme comme l'un des plus grands cinéastes de la pluie. L'assaut est filmé avec de nombreuses caméras et une multitude de plans latéraux qui, dans un montage rapide accélérant l'action, contribuent à rendre la scène aussi frénétique que mémorable.
Dans un village traditionnel, Marfa Lapkina est une pauvre paysanne qui ne possède même pas un cheval. Les koulaks, les paysans riches, refusent d'aider les plus pauvres. Marfa considère le communisme comme son seul espoir. Avec l'appui de jeunes communistes et de responsables du parti, elle lance l'idée d'une coopérative, un kolkhoze. Grâce au kolkhoze, les paysans apprennent le travail en commun et découvrent la mécanisation.
Elle se lance alors dans la création d'une coopérative laitière, elle rencontrera par la suite des tentatives de sabotage engendrée par les koulaks et devra éviter ces actes malveillants.
Plus tard, la coopérative entreprise par Marfa gagnera suffisamment d'argent pour faire l'acquisition d'un tracteur ; le film s'achèvera avec une multitude de machines agricoles.
À New York, un pianiste ne parvient pas à trouver de concerts pour lui et son groupe. Sa situation financière est si difficile que deux hommes commissionnés par un huissier viennent confisquer son piano. Il réussit finalement à le conserver grâce à l'intervention de sa femme , une danseuse connaissant un certain succès, qui propose aux deux hommes de l'argent, qu'ils refusent, puis une bouteille de gin, denrée rare en période de prohibition, qu'ils acceptent. En échange, ils partent sans le piano et promettent de dire à l'huissier que personne n'était présent lors de leur passage.
La danseuse annonce ensuite au pianiste qu'elle a obtenu un emploi au célèbre Cotton Club et qu'elle peut faire venir le groupe de son compagnon, à condition qu'elle reste au centre du spectacle afin d'honorer le contrat passé avec le patron de l'établissement.