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En 1928, sous l'impulsion réformatrice de Mustafa Kemal, le gouvernement turc renonce à l'alphabet arabe pour adopter l'alphabet latin. Ce changement se fit très rapidement. La loi est adoptée le 1 novembre 1928 et entre en vigueur dans toutes les écoles. Les inscriptions arabes disparaissent des rues en quelques jours. Derrière l’éclat lumineux de cette réforme, autoritaire et progressiste, quelles sont les zones d’ombre ? Quelle est la part de violence symbolique d’une telle révolution ? Conçu comme une enquête expérimentale et poétique, "La Révolution de l’alphabet" croise les souvenirs oubliés, voire refoulés, d’un épisode historique constitutif de l’identité de la nation turque et les événements récents du printemps 2013 à Istanbul.
Le Dessous des cartes analyse la situation politique, économique et sociale de la capitale française au milieu du XIXe siècle. À partir de plans, de photographies et de documents d'époque, cet épisode révèle comment Napoléon III, le baron Haussmann, préfet de la Seine, et l'ingénieur Eugène Belgrand ont transformé Paris au cours d'un vaste chantier de dix-sept ans, qui a donné à la ville la physionomie que nous lui connaissons aujourd'hui.
On la célèbre aujourd’hui comme une icône unique d’un bout à l’autre de la planète : Elisabeth II, Reine d’Angleterre, solidement assise sur le trône depuis plus de 65 ans.
Au début des années 1990, la souveraine a traversé une période délicate : la crise entre son fils Charles et son épouse Diana a déterioré l'image de la famille royale, les privilèges royaux ont été remis en question et le château de Windsor a été sinistré par un incendie. La reine a été contrainte de changer, de quitter son statut de souveraine intouchable pour devenir la grand-mère de la Nation. Mettant de côté la distance inhérente à sa fonction, elle a su rendre la monarchie à nouveau populaire et poursuivre ce qui devient le plus long règne de l'histoire britannique.
Le 23 février 1917 (8 mars dans le calendrier grégorien), à Petrograd, capitale de l'Empire russe, c'est une manifestation féminine qui amorce la chute du régime. Au lendemain de grandes grèves ouvrières, l'annonce de rationnements supplémentaires dus à la guerre, mais aussi à l'incurie des autorités, jette dans la rue les femmes des faubourgs, qui, au terme d'une marche de six kilomètres, fusionnent avec un convoi de suffragettes réclamant le droit de vote dans une atmosphère de "jour de fête". Le lendemain, 24 février, des masses d'ouvriers en grève chantant "la Marseillaise" envahissent le centre-ville en passant sur la Neva gelée. C'est le début d'une insurrection populaire qui prend de court tous les militants révolutionnaires russes et qui, en quelques jours, la garnison de la capitale se joignant aux insurgés, fait tomber la dynastie tricentenaire des Romanov.
Le 2 mars 1917, à la demande de son état-major, Nicolas II abdique en faveur de son frère Michel, qui refuse le trône. Avec à sa tête le prince Gueorgui Lvov et le très populaire député socialiste Alexandre Kerenski, un gouvernement provisoire est chargé de gérer, en concertation avec le Soviet de Petrograd, les incertitudes d'une révolution qui se répand comme une traînée de poudre et la guerre qui se poursuit contre l'Allemagne. À Zurich, Vladimir Ilitch Oulianov, alias Lénine, le dirigeant exilé des Bolcheviks, un groupuscule marginal au sein du Parti ouvrier social-démocrate, ne prend pas la mesure de ce qui se passe dans son pays…
Déchaînement
Des prémices de la révolution de février à l'insurrection d'octobre, décidée et menée avec succès par un Lénine qui, à rebours de sa légende, a longtemps été ballotté, comme tout le monde, par la puissance des événements, Cédric Tourbe, avec l'historien Marc Ferro et le politologue Michel Dobry, restitue pas à pas l'extraordinaire enchaînement des faits, ou plutôt leur déchaînement.
Remarquablement limpide, leur récit commente de formidables archives, qui permettent au sens propre de voir vivre la Russie de 1917 et advenir la révolution. Porté également par les voix de deux témoins éloquents, le socialiste révolutionnaire Nicolas Soukhanov et la journaliste française Marilye Markovitch, le film montre ainsi en détail comment Lénine parvient in extremis à remporter la mise. Il réussit aussi à faire partager l'énergie bouillonnante, euphorique, explosive, de ce moment où le peuple le plus nombreux et le plus opprimé du monde occidental ne remet pas seulement en cause l'autocratie, mais toute forme d'autorité.
Angèle avait 8 ans quand s’ouvrait le premier McDonald’s de Berlin-Est… Depuis, elle se bat contre la malédiction de sa génération : être né « trop tard », à l’heure de la déprime politique mondiale. Elle vient d’une famille de militants, mais sa mère a abandonné du jour au lendemain son combat politique, pour déménager, seule, à la campagne et sa sœur a choisi le monde de l’entreprise. Seul son père, ancien maoïste chez qui elle retourne vivre, est resté fidèle à ses idéaux. En colère, déterminée, Angèle s’applique autant à essayer de changer le monde qu’à fuir les rencontres amoureuses. Que lui reste-t-il de la révolution, de ses transmissions, de ses rendez-vous ratés et de ses espoirs à construire ? Tantôt Don Quichotte, tantôt Bridget Jones, Angèle tente de trouver un équilibre…
Objectifs : Comprendre les spécificités de la génération Y en entreprises et son influence sur les politiques de diversité homme-femme.
Apprenez à tirer le meilleur parti de la diversité dans votre entreprise. Emmanuelle Duez, présidente de l'association Women'Up, présente les résultats d'enquêtes menées dans plus de 70 pays sur la génération Y et la mixité homme-femme pour vous apporter des éléments de management à mettre en place dans votre entreprise. Dans cette formation vous comprenez les spécificités de la génération Y. Qui sont ces jeunes, nés dans les années 80, qui viennent bouleverser le fonctionnement des entreprises. Nouvelles attentes, nouveaux codes, nouveaux regards sur le travail mais également nouvelle dynamique, nouvelles connaissances et nouvelles opportunités, Emmanuelle Duez vous donne les codes pour décrypter cette génération et des clés managériales pour piloter au mieux ces forces vives. La formation présente également comment cette génération Y est porteuse d'un nouveau regard sur la place des femmes dans l'entreprise. Manager des femmes, être managé par des femmes, quelles valeurs les femmes peuvent-elles porter en entreprise ? Les réponses à ces questions vous permettent d'adapter votre politique de diversité et vos stratégies RH pour tirer le meilleur parti de vos équipes. Comprenez la révolution Y et gagnez en capacité de management.
Dans le secteur médical, après seulement une quinzaine d’années de recherches, les premiers produits "nano" font leur apparition. Certains sont déjà commercialisés, d’autres en phase d’essais cliniques. Il s’agit de nouveaux systèmes de diagnostic dont la précision et la simplicité permettent le développement d’une médecine plus préventive et personnalisée. Mais aussi d’une amélioration spectaculaire de l’efficacité de nombreux traitements contre le cancer ou les maladies cardiovasculaires par la possibilité de cibler exclusivement les cellules malades.Porteuses d’espoirs considérables, ces avancées vont sans doute nous confronter à des situations et des questions inédites. Selon certains, les pouvoirs des nanotechnologies pourraient aller jusqu’à permettre l’émergence d’un homme nouveau aux "performances améliorées", un cyborg bardé d’implants électroniques directement connectés à son système nerveux. Cauchemar ou réalité future ?
Le couple de chercheurs allemands Ugur Sahin et Ozlem Tureci a fondé en 2008 à Mayence la start-up désormais célèbre BioNTech, qui a mis l’accent dans ses travaux de recherche sur la technologie de l’ARN messager (ARNm), une copie d’ADN qui permet la synthèse des protéines nécessaires au fonctionnement de nos cellules. Initialement explorée dans le cadre de la lutte contre le cancer, cette technologie a récemment fait ses preuves, avec le succès que l’on sait, dans la course au vaccin contre le Covid-19. Sa mise au point a été amorcée dès les premières informations faisant état d’un nouveau virus méconnu à Wuhan, en Chine. Après la levée des fonds nécessaires et son association au géant pharmaceutique américain Pfizer, qui a accéléré la phase de test, BioNTech est parvenu à faire approuver très tôt le vaccin Comirnaty, dont l’efficacité démontrée a contribué à immuniser plusieurs millions de personnes. Mais après cette victoire fulgurante, qu’en est-il aujourd’hui des autres applications de l’ARNm, notamment dans la recherche contre le cancer ? Cette technologie pourrait-elle aussi être utilisée dans la lutte contre le paludisme ? Retour sur les avancées scientifiques et plongée dans les coulisses d’une petite entreprise, qui a su se hisser au premier plan sur l’échiquier pharmaceutique mondial
Sur plus de quatre décennies, des jeunes artistes comme André Breton, Paul Eluard ou encore Paul Klee, iconoclastes et incroyablement créatifs, se sont efforcés d'échapper aux dérives de leur siècle, en inventant sans jamais se conformer.
Entre expérimentations, mutations et recompositions, le récit foisonnant de l’aventure surréaliste, l’avant-garde la plus féconde du XXe siècle, dont on fête cette année le centenaire.
Au sortir de la Première Guerre mondiale, un groupe de jeunes artistes, révoltés par l’absurdité des combats, conspuant les académismes, le conformisme et la bourgeoisie, rêve d’un art révolutionnaire. André Breton et Louis Aragon, alors étudiants en médecine, se lient d’amitié avec Jacques Vaché, Philippe Soupault et Paul Éluard, avec qui ils partagent une fascination pour Rimbaud et Lautréamont autant que pour les théories freudiennes. Installés à Paris, les jeunes auteurs s’enthousiasment bientôt pour les provocations du mouvement Dada, incarné par Max Ernst ou Tristan Tzara, avant de revendiquer une orientation plus politique. Multipliant les expérimentations – écriture automatique, hypnose, cadavres exquis –, le groupe attire bientôt des artistes de tous horizons, comme les peintres André Masson ou Juan Miro, le poète écrivain Antonin Artaud, le photographe Man Ray ou le cinéaste Luis Buñuel. En 1924, André Breton fédère le mouvement avec le retentissant Manifeste du surréalisme, qui définit le mot et le mouvement artistique qui s’en réclame : "Automatisme psychique pur par lequel on se propose d’exprimer […] le fonctionnement réel de la pensée […] en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale." Une revue créée la même année confirme les orientations poétiques et politiques du groupe, tandis que des expositions d’œuvres de Klee, Arp, Chirico, Picabia ou Tanguy donnent à la peinture toute sa place au sein du mouvement. Mais le groupe, traversé de controverses, vit une crise quand en 1929, Breton exige dans un second Manifeste une obéissance inconditionnelle au Parti communiste…
Alors que les agriculteurs indiens ont à nouveau défié le gouvernement de Narendra Modi en février dernier, Nishtha Jain et Akash Basumatari ont suivi, jour après jour, l’immense mouvement de protestation qui avait bloqué New Dehli en 2021. Une bouleversante plongée au cœur d’une révolte paysanne.
"Longue vie à l’unité des paysans !" C’est une immense marée humaine, avec des files interminables de camions, de tracteurs et de remorques, puis une cité nomade de tentes à perte de vue. Pendant plus d’un an, à partir de septembre 2020, un demi-million de paysans, venus des quatre principaux États agraires du pays – Pendjab, Uttar Pradesh, Rajasthan et Haryana –, marchent sur New Dehli pour protester contre des lois qui visent à réduire leurs droits et à déréguler le marché de l’agriculture par la suppression de l’encadrement des prix. Imposée par le gouvernement de Narendra Modi sans consultation préalable, cette réforme tend à détruire, pour le plus grand profit des géants de l’agroalimentaire, le système qui protégeait jusque-là les paysans indiens depuis la révolution verte des années 1960. Juché sur son tracteur, Gurbaaz Sangha, 26 ans, songeait à émigrer au Canada, mais il décide de quitter à son tour son Pendjab natal pour rejoindre le mouvement. Dans un extraordinaire élan de solidarité porté par l’union de quelque quarante syndicats et une impressionnante organisation, hommes et femmes luttent au coude-à-coude, toutes religions, castes et générations confondues, installant durablement des campements aux points d'entrée névralgiques de la capitale. Avec l’appui de médias aux ordres et à grand renfort de violences policières, le gouvernement s’emploie alors à discréditer cette mobilisation d’une ampleur inédite. Pourtant, la plus longue grève de l’histoire de l’Inde se conclut par une victoire, le Premier ministre, dans une volte-face en novembre 2021, accédant à la plupart des revendications des paysans. Mais 720 d’entre eux y auront trouvé la mort.
Une nouvelle voie
Jour après jour, saison après saison, les réalisateurs indiens Nishtha Jain et Akash Basumatari ont suivi les battements de cœur et de vie de ce combat pacifique. Entre cuisines collectives, concerts, danses et discours d’une remarquable maturité politique, ces paysans ont forgé, au cours de ces quatorze mois, un véritable mouvement d’émancipation. Avec confiance et malgré la répression policière, ils inventent une nouvelle voie, révélant une Inde plurielle d’une saisissante modernité. Fier et ému aux larmes, Rakesh Tikait, leader du BKU (Bharatiya Kisan Union), félicitera les marcheurs : "Vous avez montré au monde comment manifester !" Immersion tout à la fois politique et poétique au cœur du mouvement, ce film rend hommage à leur courage et à une action collective qui pourrait bien en inspirer d’autres, au-delà de leur pays.
Retour sur un mouvement fondateur de la lutte pour les droits des homosexuels en 1969 : trois jours d'émeutes en réponse à une énième rafle policière au Stonewall Inn, un bar gay de New York. Les protagonistes évoquent l'enfermement, le désespoir et la honte dont les a libérés ce "moment Rosa Parks", où, pour la première fois, ils ont été des centaines à dire "non".
Dans les petites heures de l'aube, le 28 juin 1969, la police de New York effectue ce qui relève d'une énième rafle de routine au Stonewall Inn, un bar de Greenwich Village et l'un des très rares espaces publics de rencontre pour la communauté gay. Proscrite et passible d'enfermement, y compris dans des lieux de détention psychiatrique où certains traitements relèvent de la torture, comme dans le très redouté hôpital d'Atascadero, en Californie, l'homosexualité ne se vit, partout ailleurs, que clandestinement. Même si un timide mouvement de résistance commence à se manifester, la répression sociale et policière est écrasante. Mais cette nuit-là, après l'arrestation musclée d'une femme, jetée dans un fourgon faute d'avoir pu justifier son identité, la foule se rebelle et parvient à mettre en déroute les policiers, qui se réfugient à l'intérieur du bar. C'est le point de départ d'un soulèvement qui va durer trois jours, fondateur de la lutte pour les droits et la liberté de la communauté LGBTQ+, et d'une "marche des fiertés" qui va essaimer partout dans le monde.
"Moment Rosa Parks"
Tissant les très rares archives existant de l'événement, complétées par de sobres scènes de reconstitution, avec les témoignages de celles et ceux qui y ont participé, policiers compris, ce documentaire en explore toutes les facettes pour montrer combien ce retournement inattendu ("Nous vivions dans la peur constante de la police et là, c'est elle qui a eu peur de nous") a constitué pour ceux qui l'ont vécu un point de non-retour. Les protagonistes, hommes et femmes, évoquent aussi l'enfermement intérieur, le désespoir et la honte dont les a libérés ce "moment Rosa Parks", où, pour la première fois, ils ont été des centaines à dire "non".
Au milieu du XIXe siècle, une poignée de scientifiques, d'ingénieurs et d'entrepreneurs relèvent un défi inimaginable : relier l'Europe à l'Amérique par un câble en cuivre, posé sur le sol marin, qui conduira les conversations télégraphiques d'un continent à l'autre grâce à une simple impulsion électrique. De nos jours et malgré l'avènement des satellites, 99 % de nos communications mobiles ou Internet transitent par cette technologie vieille d'un siècle et demi.
Annihiler le temps et l'espace
Née de l'imagination de Cyrus Field, un riche entrepreneur américain qui avait théorisé dès 1844 que le futur serait aux "communications globales", la "mission Apollo du XIXe siècle", selon l'un des experts interrogés dans ce documentaire, présentait bien des défis… Field et ses collaborateurs – parmi lesquels l'homme de science William Thomson, dont les études révolutionnaires sur la thermodynamique ont rendu l'exploit possible – devront passer par nombre d'échecs et la perspective de la ruine pour qu’enfin la reine Victoria et le président américain James Buchanan puissent échanger un message protocolaire en 1858. Le télégramme entre continents ne deviendra d'ailleurs réellement performant qu'au bout de dix ans, après la pose d'un nouveau câble renforcé sur le sol marin. Entre reconstitutions, témoignages enthousiastes d'experts et exploration du passé et du futur de nos habitudes de communication, un documentaire complet sur ces 3 500 kilomètres de câble qui ont "annihilé le temps et l'espace", selon la presse de l'époque.
Le dernier fabricant de magnétoscopes a stoppé sa production en 2016. Mais la VHS fait de la résistance. Recréés grâce à des applis, le grain, les stries, l’usure de la bande – tout ce qui faisait pester les cinéphiles il y a quinze ans – donnent aujourd'hui un cachet nostalgique aux images. La "K7" fait vibrer la corde sensible d'une génération grandie avec elle. Mais si elle connaît un revival, c'est aussi parce qu'elle a révolutionné nos vies. Dès la fin des années 1980, elle libère les particuliers de la dictature du programme TV, provoquant l'ire des studios et des chaînes qui voient diminuer les revenus du cinéma et de la pub. Seconde révolution : grâce à l'essor conjugué de la VHS, du caméscope et des vidéoclubs, on peut produire des films à petit budget que le public visionnera à l'abri des regards. Le porno dopera donc la croissance de la cassette, qui fera elle-même exploser le cinéma gore. Pour le pire et le meilleur, la VHS repousse les limites de la bienséance, et façonne l'imaginaire de hordes d'ados, gavés de films d'horreur et de kitsch.
Jeu télévisé canin
En respectant les codes visuels du support, rembobinage compris, ce documentaire conte avec brio la révolution artistique, sociale et économique fomentée par la petite boîte noire, qui ira jusqu'à faire souffler un vent de liberté (et de capitalisme) sur le bloc communiste. Nourri d'interviews de compulsifs et sympathiques pionniers de la vidéo, ce film plonge aussi dans la délirante culture visuelle générée par ce média, exemples improbables à l'appui (jeu télévisé canin, manuel de séduction, cours d'aérobic avec bébé au bras…).
Ce portrait tissé d'extraordinaires archives et de témoignages nous propose une immersion dans le glamour, la créativité et l'esprit de la styliste iconique Mary Quant, disparue le 13 avril 2023 à l'âge de 93 ans. On mesure une part de l'héritage que cette gamine galloise éprise de liberté, qui a habillé les swinging girls des sixties, a laissé à son art.