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Résumé :
Changer n'est pas tâche facile. C'est justement pour cette raison que nous avons tous tendance à reporter ce changement au lendemain. Au final, ce changement qui devait améliorer votre quotidien n'arrive jamais. Pourquoi ? Justement parce que nous avons peur de tout bouleverser. Cette formation vous donnera des méthodes pour accepter ce bouleversement et vous montrera comment, en douceur et pas à pas, vous réussirez à changer. A travers cette vidéo vous apprendrez à mettre en place votre changement mais aussi à faire changer les autres dans le but d'améliorer votre quotidien et le leur...
A qui s'adresse cette formation :
Cette vidéo s'adresse à tous ceux qui éprouvent le désir de la nouveauté et qui souhaiteraient une méthode pour changer efficacement. Cette vidéo s'adresse également à tous ceux qui sont effrayés par le changement et repoussent sans cesse ce changement pourtant nécessaire.Enfin, cette formation s'adresse à tous ceux, désireux de comprendre les mécanismes du changement pour l'appliquer à leur vie ou aux autres : famille, conjoint, collègues, organisations...
A propos de l'auteur :
Dominique Chapot a été formée à l'Ecole de Communication et de Thérapie Brève de Palo Alto. Son travail de recherche sur la nature et le rôle des émotions l'ont conduit à l'écriture de 2 livres et à la présentation de cette vidéo sur la joie. Psychothérapeute et formatrice en développement personnel et en communication, Dominique Chapot est également professeur à l'université d'Avignon.
Tout le monde connait ces images d’archives qui montrent les femmes allemandes dans un état d’euphorie et de quasi transe en train d’acclamer Adolf Hitler, « leur » Führer. Ce n’est plus un secret : tout comme les hommes, elles ont activement soutenu le système. 12 millions d’Allemandes étaient affiliées dans des organismes créés spécialement pour elles par le parti nazi. Elles ont donné des enfants au Reich, elles ont soigné des soldats au front et même surveillé des prisonnières dans les camps de concentration.
Mais toutes les Allemandes n’étaient pas de ferventes nazies, loin de là…. L’histoire que nous voulons raconter dans ce documentaire est celle des femmes qui ont eu le courage de dire non à l’idéologie nazie, qui ont résisté à la barbarie malgré les risques que comportait toute opposition au système. Ces femmes, qui étaient-elles ? Pourquoi ont-elles décidé de s’opposer au régime, prendre des risques pour elles-mêmes mais aussi pour leur famille ? Quels étaient leurs parcours ? Ce documentaire veut lever le voile sur l’histoire encore largement méconnue de ces Allemandes résistantes.
Ils sont à l'origine d'un recul considérable de la mortalité au cours du XXe siècle. Sur le marché depuis près de soixante ans, les antibiotiques sont à 99 % issus de micro-organismes, principalement des bactéries. Problème : une majorité d'entre eux ont perdu leur efficacité du fait de leur utilisation abusive. Pire, la résistance aux antibiotiques s'intensifie partout dans le monde. Chaque année, elle cause ainsi le décès de 25 000 personnes en Europe et de 23 000 aux États-Unis. Un récent rapport évalue le nombre de morts qu'elle pourrait causer en 2050 à plus de dix millions ! Certaines souches sont multirésistantes, c’est-à-dire résistantes à plusieurs substances. D’autres sont même devenues "toto-résistantes", soit résistantes à tous les antibiotiques disponibles.
Du paresseux viendra le salut ?
Ce documentaire se concentre sur les recherches menées aux États-Unis, au Canada et au Panamá pour trouver de nouvelles molécules, dont les peptides antimicrobiens, présents chez certains êtres vivants (insectes, mammifères, crustacés ou champignons). D'ici à 2020, il faudrait trouver une dizaine de familles de nouvelles molécules pour stopper l’avancée de la résistance. Le film, très instructif, montre que des solutions pourraient se loger dans la fourrure des paresseux, le sang des crocodiles ou la salive des dragons de Komodo.
Comment, par un acte de résistance méconnu, un groupe de républicains espagnols déportés à Mauthausen, en Autriche, a sauvé de la destruction des milliers de photographies prises dans le camp par les SS, dans le but de révéler au monde l’horreur du système concentrationnaire nazi.
Le 28 janvier 1946, un Espagnol de 25 ans, Francisco Boix, s’avance à la barre du Tribunal militaire international de Nuremberg, devant lequel comparaissent vingt-quatre dignitaires nazis accusés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Pour étayer le récit de sa détention au camp de concentration de Mauthausen, parmi les plus durs du Troisième Reich, le jeune homme a apporté des preuves visuelles : des clichés pris par les SS, qui documentent la construction du camp au lendemain de l’Anschluss, en 1938, les visites officielles des responsables nazis (dont Albert Speer, ministre de l’Armement, qui prétendait ne s’être jamais rendu dans un camp) ou encore les "morts non naturelles" – appellation désignant dans la majorité des cas des meurtres déguisés en suicides ou en tentatives d’évasion réprimées. Mais comment ces images sont-elles arrivées jusqu’à Nuremberg ? Déporté à Mauthausen en janvier 1941, Francisco Boix a échappé à l’enfer des carrières de granit grâce à ses compétences de photographe. Affecté au service d’identification du camp, il développe et classe les clichés des SS. Conscient de tenir là, fixées sur pellicule, la preuve des atrocités commises et l’identité des bourreaux, Boix convainc le groupe de résistants communistes espagnols qui s’est formé à l’intérieur du camp de subtiliser des négatifs, qu’ils cousent en petits paquets dans leurs uniformes et cachent partout où ils le peuvent. À l’approche des troupes soviétiques, les prisonniers prendront le risque d’exfiltrer leur butin chez une habitante de Mauthausen, avec l’aide des jeunes Espagnols qui quittaient chaque jour le camp pour travailler à l’extérieur.
Petite et grande histoire
Émaillé d’éclairages d’historiens, d’extraits d’interviews d’anciens déportés et d’archives d’époque, dont un grand nombre d’images "volées", aujourd’hui conservées à Barcelone, Vienne et Paris, ce documentaire retrace, au travers de la destinée de Francisco Boix – devenu photographe pour la presse communiste à Paris avant son décès en 1951 –, l’histoire du camp de Mauthausen, de la résistance espagnole en son sein, forgée dans les combats de la guerre civile, et de l’incroyable opération de sauvetage qu’elle a mise sur pied.
À travers les parcours d’une trentaine d’hommes et de femmes, Patrick Rotman (Goulag, une histoire soviétique) reconstitue le puzzle de la Résistance. Une fresque magistrale, tissée d’images et de témoignages d’archives, de documents méconnus et de reconstitutions en animation.
Destins entrelacés
La Résistance ne fut pas une, mais plurielle. De la débâcle à la Libération, des embryons d’organisations à la difficile unification sous l’égide du général de Gaulle, Patrick Rotman restitue cette hétérogénéité en entrelaçant les destins d’une trentaine d’hommes et de femmes, chefs et fantassins de l’armée des ombres. Composée de témoignages, souvent poignants, de résistants – à l’instar d’une archive où Christian Pineau raconte avoir rasé Jean Moulin, affreusement torturé, à la prison de Montluc –, d’images rares de la France occupée, de documents méconnus (lettres, rapports, fiches d’agents infiltrés…) et de remarquables reconstitutions en animation d’épisodes clés – d’une réunion sous tension entre Frenay et Moulin à l’attentat du métro Barbès –, cette fresque aussi dense que passionnante explore trois facettes d’une même histoire : celle des mouvements et réseaux clandestins, celle de leur relation avec l’opinion française, et celle de la répression orchestrée par l’occupant et le régime de Vichy.
Épisode 1 : Le bricolage héroïque. Été 1940-juin 1941
Épisode 2 : Tournants. Juin 1941-novembre 1942
Épisode 3 : Unification. Novembre 1942-juin 1943
Épisode 4 : Libérations. Juin 1943-automne 1944
Voici l’histoire d’un maquis méconnu, l’un de ceux qui a infligé le plus de pertes aux Allemands, et qui n’a jamais lâché les armes, malgré les rafles, et les opérations militaires lancées par la Wehrmacht afin d’anéantir le maquis et toutes les personnes civiles susceptibles de les avoir soutenus.
Le combat des maquisards de l’Ain aura même une portée mondiale, grâce à un événement symbolique, le défilé du 11 novembre 1943 à Oyonnax. En pleine occupation, des maquisards défileront au nez et à la barbe des Allemands. Cette parade, les historiens l’affirment aujourd’hui, changera le cours de la guerre. Les maquisards de l’Ain et du Haut-Jura vont se battre sans relâche jusqu’à la libération de la France, malgré les exactions atroces et la barbarie nazie.
La difficile unification de la Résistance à travers la trajectoire de Daniel Cordier, le secrétaire particulier de Jean Moulin. Une fiction historique passionnante.
Adaptée des mémoires de Daniel Cordier, qui a participé au scénario, cette remarquable minisérie d’Alain Tasma offre un regard inédit sur la Résistance. Il capte la fougue d’une jeunesse indomptable prête à tomber pour la patrie. Mais au lieu de combats sanglants, c’est une guerre solitaire que Daniel Cordier doit livrer, avec une méfiance de tous les instants. Recruté par Jean Moulin, il est le témoin privilégié des luttes intestines qui divisent la Résistance et du combat acharné de son mentor pour les étouffer. Au fil du récit, le réalisateur retrace avec subtilité l’évolution politique de son jeune héros, campé avec force par Jules Sadoughi : maurrassien convaincu au début de la guerre, Daniel Cordier se convertit aux valeurs républicaines au contact des grands hommes que la guerre met sur son chemin : Raymond Aron, Stéphane Hessel et surtout Jean Moulin, formidable Éric Caravaca.