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Avec le concours de son frère Santo et de sa soeur Donatella, qui lui a succédé, le couturier italien Gianni Versace a fait de sa petite entreprise un empire de la mode. En archives et interviews, retour sur une flamboyante saga familiale.
Chez les Versace, la gloire comme la tragédie s'écrivent en famille. En 1972, Gianni quitte Reggio de Calabre, dans le sud de l'Italie, où il s'est formé à la confection dans l'atelier maternel, pour rejoindre Milan, capitale en devenir de la mode nationale. Six ans plus tard, ce génie ambitieux et studieux fonde sa propre maison avec l'aide de sa fratrie : Santo, l'aîné, gère les finances, tandis que Donatella, sa muse, de neuf ans sa cadette, le seconde à la création. Dessinant une silhouette féminine puissante et sexy, dans une exubérance de couleurs et de matières inédite, Versace la promeut en faisant défiler les supermodels et en habillant, en pionnier, les célébrités de l'époque, de Madonna à Lady Di. Mais en coulisses, les tensions s'accumulent : Donatella, fusionnelle avec son frère, n'apprécie guère son conjoint, intégré à l'entreprise, tandis que Santo se dresse contre le train de vie exorbitant de Gianni, qui met en péril les comptes de la marque à la tête de Méduse. Le 15 juillet 1997, lorsque le couturier est abattu par un tueur en série, l'avenir de la griffe apparaît plus que jamais menacé. Alors que Gianni a désigné sa nièce Allegra, 13 ans, comme héritière majoritaire, Donatella, propriétaire des parts de sa fille jusqu'à sa majorité, va batailler pour conserver les rênes de la maison de luxe. Tombée dans une double addiction à la cocaïne et à la chirurgie esthétique, elle frôlera la banqueroute, avant de trouver progressivement son style et de s'imposer, contre toute attente, en icône de l'émancipation féminine.
Intrigues de palais
"Leur façon de travailler fait penser aux Médicis ou aux Borgia. Il y avait toujours tout un tas d'intrigues", confie le journaliste Tim Blanks. Tissant riches archives et témoignages passionnants de personnalités du monde de la mode (la chanteuse et ex-mannequin Carla Bruni, le designer Vincent Darré ou encore l'ancien collaborateur de la marque Arnaud Bazin), Olivier Nicklaus (Warren Beatty - Une obsession hollywoodienne) retrace l'ascension de la dynastie Versace, entre audaces créatrices, drames et rivalités. Une saga italienne digne des meilleurs soap operas.
Fondée en 1945, l’Organisation des Nations Unies s’est peu à peu élargie, pour aujourd’hui rassembler 193 pays, avec le principe théorique : « Un État, une voix ». Ainsi réunie, la « communauté internationale » est censée prévenir les conflits et échanger sur les grands enjeux mondiaux. Mais force est de constater que certains dirigeants désinvestissent cette institution et qu’elle ne semble plus avoir suffisamment de poids politique.
En cause notamment, le Conseil de sécurité de l’ONU et le principe du droit de véto que beaucoup aimeraient réformer. En cause également, la fragmentation croissante du monde en plusieurs blocs, qui semble rendre les Nations Unies moins incontournables. Malgré tout, en attendant une refonte de ses institutions, l’Organisation reste irremplaçable pour rappeler la norme commune censée s’imposer à tous : le Droit International.
Entre gloire hollywoodienne, dégringolade et retour en grâce, les hauts et les bas de la carrière de l’inénarrable "JCVD", racontés au fil d’archives et d’interviews de proches et de collaborateurs.
La force alliée à une souplesse invraisemblable. En 1988, torse nu, en grand écart facial sur deux chaises, Jean-Claude Van Damme, 28 ans, se faisait une place dans le cinéma d’action hollywoodien en décrochant le premier rôle d’un petit film d’arts martiaux qui faillit ne jamais sortir en salles, Bloodsport. Le début d’une ascension fulgurante pour le jeune Belge, surdoué des tatamis né de parents fleuristes, débarqué à Los Angeles six ans plus tôt sans argent ni contacts. Suivront notamment Kickboxer, Full Contact – dans lequel il tombe le peignoir ! –, Universal Soldier ou encore Timecop, qui dépasse les 100 millions de dollars de recettes. Mais alors qu’il rivalise désormais avec Stallone et Schwarzenegger, l’acteur se saborde en succombant à la drogue. À la fin des années 1990, les échecs s’accumulent, au point que ses films sortent directement en vidéo, et ses réflexions lunaires (ou "aware"...) sur les plateaux de télévision lui valent des torrents de moqueries. En 2008, la star déchue réussit pourtant à retourner la critique avec JCVD de Mabrouk El Mechri, vrai-faux portrait plein d’autodérision dans lequel il révèle des nuances inédites. Depuis, le Belge multiplie les projets, entre blockbusters testostéronés (Expendables 2), doublage de cinéma d’animation (Kung Fu Panda) et parodies (la série Jean-Claude Van Johnson).
Vie mouvementée
Pour retracer cette carrière entre ombre et lumière, le réalisateur belge Olivier Monssens (Romy et Alain, les éternels fiancés) a compilé de riches archives et collecté d’abondants témoignages de proches et de collaborateurs de JCVD : Claude Goetz, son premier entraîneur de karaté, son ami Mohammed "Michel" Qissi, avec qui il est parti à la conquête de son rêve américain, mais aussi Ally Walker, sa partenaire dans Universal Soldier, ou encore les réalisateurs Sheldon Lettich et David Worth. De sa jeunesse bruxelloise à ses derniers succès, une plongée dans la vie mouvementée de la star, bosseur acharné et personnalité attachante, dont les films d’action demeurent cultes pour plusieurs générations.
Édimbourg 1874. Jack naît le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Le Docteur Madeleine le sauve en remplaçant son cœur défectueux par une horloge mécanique. Il survivra avec ce bricolage magique à condition de respecter 3 lois: premièrement ne pas toucher à ses aiguilles, deuxièmement maîtriser sa colère et surtout ne jamais Ô grand jamais, tomber amoureux. Sa rencontre avec Miss Acacia, une petite chanteuse de rue, va précipiter la cadence de ses aiguilles. Prêt à tout pour la retrouver, Jack se lance tel un Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais, à Paris jusqu'aux portes de l'Andalousie.
À partir de 9 ans
"En ce point précis, seulement 14 kilomètres séparent les deux continents." À bord d’une vedette du service de sauvetage en mer espagnol, en partie financé par l’Union européenne, Émilie Aubry navigue sur le détroit de Gibraltar. Ce couloir maritime soumis à des vents violents relie l’Atlantique à la Méditerranée, l’Afrique à l’Europe. Si le nombre de traversées illégales a décru depuis le pic de 2018, où 25 000 personnes avaient dû être secourues, les garde-côtes sauvent encore chaque année un millier de candidats à l’exil, et redoutent toujours d’arriver trop tard... Carrefour géostratégique, le détroit est un entrelacs de frontières. Sur les côtes marocaines, l’Espagne compte deux enclaves, Ceuta et Melilla, tandis que sur l’autre rive la Grande-Bretagne possède le territoire entourant le rocher de Gibraltar, à l’économie florissante, où se côtoient écoles huppées, fish and chips et paellas.
Vue imprenable
Au carrefour de deux continents, trois pays et deux océans, Gibraltar constitue un poste d’observation privilégié des flux migratoires, échanges commerciaux et manœuvres militaires. Avec ce numéro spécial de trente-cinq minutes, Émilie Aubry et l’équipe du Dessous des cartes en donnent un bel aperçu. La tour de contrôle de l’andalouse Algésiras, quatrième port industriel européen, offre une vue imprenable sur une route commerciale bondée où se croisent les cargos du monde entier. À Ceuta, ville espagnole enclavée sur la côte marocaine, une édile vante les vertus de l’immigration contrôlée et juge "excellentes" les relations avec le Maroc voisin. Mais cette harmonie est fragile : en 2021, le régime de Rabat a sciemment laissé affluer, en vingt-quatre heures, 10 000 migrants vers Ceuta, afin d’acculer Madrid à reconnaître la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental, elle-même contestée par l’ONU. Les écarts de niveaux de vie qui s’observent de part et d’autre des frontières suscitent également des envies d’ailleurs : certains Marocains rêvent de Ceuta, tandis que des Espagnols du Sud aspirent à la prospérité britannique du Rocher...
The Ghost, un " écrivain - nègre " à succès est engagé pour terminer les mémoires de l'ancien Premier ministre britannique, Adam Lang. Mais dès le début de cette collaboration, le projet semble périlleux : une ombre plane sur le décès accidentel du précédent rédacteur, ancien bras droit de Lang...
Comment la Corée du Sud est-elle passée de pays pauvre et peu développé à l’un des plus riches au monde en à peine un demi-siècle ? On s’intéresse cette semaine à ce miracle économique sud-coréen inspiré par le modèle du voisin japonais ; entre interventionnisme de l’État, libéralisation de l’économie et investissements dans la recherche et le développement ; et avec un soft power puissant, des séries télévisées à la pop coréennes.
La Corée du Sud dont l’histoire est évidemment indissociable de celle de son voisin du nord. Les deux frères ennemis se sont déchirés pendant la sanglante guerre de Corée (1950-1953) et n’ont à ce jour toujours pas fait la paix. Au-delà, Séoul cherche aussi à se faire une place sur le grand échiquier stratégique de la zone Indo-Pacifique, résistant à Pyongyang comme à Pékin en jouant la carte de l’ASEAN, du Japon, de l’Australie de l’Inde et bien-sûr, des États-Unis
Chronique de la vie de deux amis, Gabriel et Adrien, depuis la fin août jusqu'au début septembre de l'année suivante. Adrien, malade, se trouve confronté au terme précoce de son existence. Quant à Gabriel, il est déchiré par deux amours et devra progressivement se détacher de l'influence d'Adrien.
Nourrie d’archives et d’interviews, dont celle du réalisateur italien Marco Bellocchio, une plongée passionnante dans les coulisses du tournage de son film sur le mafieux repenti Tommaso Buscetta.
Les révélations fracassantes, livrées en 1984 par le mafieux sicilien Tommaso Buscetta au juge Falcone – assassiné en 1992 sur ordre du chef du clan des Corleone Totò Riina –, ont entraîné la tenue en 1986 d'un "maxi-procès" à Palerme, qui s’est soldé par des centaines de condamnations. Telle est la trame du Traître de Marco Bellochio.
Regard froid et réaliste
Loin de la mythologie complaisante véhiculée par le cinéma américain, le grand réalisateur italien déploie dans Le traître un regard froid et réaliste sur Cosa Nostra, institution fondamentalement corruptrice et meurtrière. Marco Bellocchio s'en explique dans ce documentaire, tout comme il raconte pourquoi il a attendu si longtemps avant de s’attaquer à la Mafia, et pourquoi la figure du "traître" l’intéresse tant aujourd’hui. Son épouse, Francesca Calvelli, monteuse de tous ses films, son producteur et les comédiens Pierfrancesco Favino (Buscetta) et Fausto Russo Alesi (Falcone) reviennent, quant à eux, sur les nombreuses péripéties du tournage. Entièrement filmé à Rome et à Palerme, jusque dans le bunker où s'est tenu le maxi-procès, et entrecoupé d’archives d’époque, le documentaire d'Olivia Mokiejewski donne également la parole à des juges, à d’anciens accusés et à des spécialistes de la Mafia qui confrontent leurs souvenirs à la vision du cinéaste. L’occasion de plonger dans le Palerme des années 1980, shooté aux dollars et à l'héroïne, et livré à de sanglants règlements de comptes.
Le monde entier a les yeux braqués sur la centrale nucléaire de Zaporijia en Ukraine. Situé sur la ligne de front, le site SUBIT des bombardements depuis le début du conflit, faisant planer le risque d’un accident nucléaire, réveillant le traumatisme des catastrophes de Tchernobyl et Fukushima.
L’occasion pour Le Dessous des cartes de vous proposer un tour du monde du nucléaire civile. Avec ses faibles émissions des CO2 et ses avantages en matière de souveraineté énergétique (notamment pour éviter les hydrocarbures russes) l’énergie nucléaire reste une option dans les mix énergétiques du XXIème siècle. Pourtant, l’extraction de l’uranium, combustible indispensable pour la réaction nucléaire, le stockage des déchets ainsi que le risque de catastrophe nucléaire sont autant d’enjeux qui questionnent le développement de cette énergie.
Dans le Nord du Burkina Faso, la désertification grignote les terres et l’immigration vide les villages. A Kamsé, villageoises et villageois restés sur place se sont lancés dans un chantier pharaonique, creuser dans la fournaise, à la pelle et à la pioche, un réseau de digues et de mares, puis planter des milliers d’arbres pour reverdir et fertiliser les zones conquises par le désert. Une bataille menée par les femmes. Et dans la chaleur aveuglante, une digue se dresse, un lieu se transforme. À Kamsé, il est espéré que ceux qui ont émigré reviennent ensuite.
Évoquer les Balkans renvoie souvent aux guerres qui les ont traversés. Pourtant cette péninsule du sud de l’Europe, coincée entre la Mer Adriatique et la Mer Noire, veut tourner la page et se cherche aujourd’hui de nouveaux horizons. Les Balkans, se tournent depuis plusieurs années à la fois vers l’Union Européenne, mais nouent également des relations avec la Russie et la Chine, laquelle investit de plus en plus dans la région. Le Dessous des Cartes vous fait découvrir ce territoire montagneux sur lequel plane toujours l’ombre belliqueux du nationalisme serbe.
Si certains États, à l’instar de la Slovénie, la Croatie, la Bulgarie, la Roumanie et la Grèce font partie de l’Union Européenne et/ou de l’OTAN, d’autres, comme la Serbie, restent tiraillés entre Est et Ouest, affichant leur proximité avec Moscou et Pékin.
Parker Jode est un travailleur social. Il est chargé de veiller sur Ashley et sa mère Dhalia, pendant que le père de famille, Mike, purge une peine de sept ans de prison. Contre toute-attente, rapidement de retour, il ramène la violence et le désordre dans leur vie. Quand Parker se retrouve licencié, il doit décider jusqu'où il est prêt à aller pour protéger cette famille...
En avril 2006, 13 000 personnes de l'ethnie Dajo se réfugient dans la plaine de Gouroukoun, à l'Est du Tchad. Tous sont des survivants de la guerre du Darfour. Ils y construisent un camp, s'y enferment et s'y inventent une survie. L'auteur s'est enfermé à son tour dans cette prison sans mur. Des images patientes racontent l'interminable temps de l'attente. Une vie au ralenti qui s'égrène, comme suspendue dans le dénuement. Des réfugiés prennent longuement la parole, des enfants dessinent des batailles, des petites filles fredonnent des chansons guerrières : un film de guerre, sans aucune image de guerre...
Entre 1947 et 1951, plus de 80 000 hommes, femmes et enfants grecs ont été internés sur l’îlot de Makronissos (Grèce) dans des camps de rééducation destinés à lutter « contre l’expansion du communisme ». Parmi ces déportés se trouvaient de nombreux écrivains et poètes, dont Yannis Ritsos et Tassos Livaditis. Malgré les privations et les tortures, ces exilés sont parvenus à écrire des poèmes qui décrivent leur (sur)vie dans cet univers concentrationnaire. Ces textes, pour certains enterrés dans le sol du camp, ont été retrouvés...
Le 27 février, trois jours après le début de l’invasion russe en Ukraine, Vladimir Poutine a annoncé mettre les forces de dissuasion de l’armée russe "en régime spécial d’alerte au combat". Le Kremlin était-il alors en train de bouleverser les règles du "jeu nucléaire", qui conditionnent les rapports de force entre les puissances depuis 1945 ?
Émilie Aubry revient sur l’histoire de la menace nucléaire et s'interroge : les déclarations de Vladimir Poutine ne rendent-elles pas caduc le principe selon lequel ces armes existent pour ne pas être utilisées ? La dissuasion nucléaire a-t-elle encore un sens ? Les traités permettant le contrôle des arsenaux nucléaires sont-ils encore efficaces alors que de nouvelles armes apparaissent ?
Pourquoi la Chine cherche-t-elle par tous les moyens à s’implanter en Arctique ? Un focus éclairant sur cette nouvelle ingérence qui inquiète les Américains, divise les Européens et réjouit les Russes.
Il a brisé la glace et ouvert la voie. En 2013, pour la première fois, un cargo chinois, le Yong Sheng, atteint l’Europe en passant par l’Arctique. Le symbole des ambitions de l’Empire du Milieu dans le Grand Nord. En manque de ressources naturelles et partant du principe que toute superpuissance doit être présente dans chaque partie du monde, la Chine s’évertue depuis à accroître son ingérence dans la région. Membre du Conseil de l’Arctique, elle investit dans les gisements de gaz russes, lance son concept de route polaire de la soie, fait patrouiller son brise-glace, se rapproche de l'Islande et de la Norvège par l’entremise d’hommes d'affaires en quête de territoires destinés au commerce ou au tourisme, développe une station de recherche dans un archipel norvégien, réclame de nouveaux droits en se revendiquant comme pays du "Proche-Arctique"... Mais que veut exactement Xi Jinping ?
Géopolitique du Grand Nord
S’appuyant sur les éclairages de nombreux experts, acteurs de terrain et hommes politiques, ce film à la dense narration explique comment les cartes de la géopolitique du Grand Nord sont en passe d’être rebattues. L’enquête d’Olivier Truc conclut que les visées chinoises ne sont peut-être pas uniquement commerciales ou énergétiques, mais cacheraient des objectifs militaires... Après la Chinafrique, la Chinarctique ?
Trente ans après la fin du bloc soviétique, le Kazakhstan, l’Ouzbékistan, le Tadjikistan, le Kirghizstan et le Turkménistan ont pu retrouver leurs racines historiques et identitaires. Entre dissemblances et ressemblances, "Le Dessous des cartes" explore ces pays méconnus d’Asie centrale, véritable carrefour d’influences, unis par une volonté commune d’échapper à la tutelle de Moscou, de cultiver à parts égales leurs relations avec les mondes européen, chinois et russe.L’Asie centrale, à la croisée des mondes, dans le contexte du conflit ukrainien, est plus que jamais, un épicentre géostratégique.
Dans tous les domaines, on trouve normal de faire du tri, du classement, d'identifier clairement les choses pour savoir où les trouver et comment les utiliser. Mais a-t-on appris à identifier les différentes dimensions dont nous sommes constitués et à classer dans des casiers ce que nous vivons ou recevons à l'intérieur de nous ?
Mettre de l'ordre en soi, c'est y voir plus clair en nous et chez les autres, c'est mieux gérer nos relations et la masse d'informations qui nous parviennent chaque jour, c'est sortir de notre bulle mentale pour prendre appui dans le réel, c'est retrouver une plus grande liberté dans la tête et le cœur, et vivre plus sereinement.
L'outil qui vous est présenté ici va vous permettre de faire le tri entre vos croyances, les informations que vous recevez de toutes parts et votre vécu qui, lui, est solide et sur lequel vous pouvez vous appuyer.
L'expérience ne se transmet pas. On peut transmettre de l'information, du savoir, des choses abstraites, mais on ne peut pas transmettre un vécu. Le tamis à 4 étages va vous permettre de prendre appui sur ce qui est le plus solide en vous pour arriver à introduire davantage de discernement dans votre vie personnelle et professionnelle.
Ce que vous allez apprendre :
A travers cette formation :
Vous découvrirez comment nous classons les informations que nous recevons depuis notre plus jeune enfance.
Vous apprendrez, grâce à un outil schématique, à faire passer ces informations à travers 4 "tamis" vous permettant de leur donner plus de clarté.
Vous découvrirez comment ce tamis va vous permettre de distinguer les différentes parties des informations que vous recevez et ainsi, d'avoir plus de liberté intérieure, d'être moins manipulable.
Vous apprendrez à faire le tri d'un côté de tout ce qui s'est accumulé en nous jusqu'à maintenant.
Lorsqu'on se comprend mieux soi-même, on comprend l'autre plus facilement ; c'est une des clés pour améliorer votre communication avec autrui.
Grâce à cet outil, vous allez enfin découvrir ce qui vous constitue intrinsèquement, ce qui vous appartient vraiment, grâce à ce que vous avez vous-même vécu, testé et vérifié.
L'auteur :
Olivier Clerc est un écrivain d'origine suisse, auteur et conférencier de renommée internationale. Il est à l'origine de la notion de Quotient Relationnel (Q.R), reprise par divers auteurs.
Il s'est formé à diverses approches relationnelles dont la communication non-violente avec Marshall Rosenberg, la thérapie sociale avec Charles Rojzman, ou encore, dans un registre différent mais complémentaire, la voie toltèque enseignée par Don Miguel Ruiz.
Pour compenser la pensée analytique dominante du cerveau gauche, Olivier Clerc développe par ailleurs une pensée analogique qui recrée du lien et du sens.