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A travers cette formation :
Nos deux spécialistes de la colère et fins connaisseurs du monde de l’entreprise sont les mieux placés pour vous parler de la colère
Vous saurez tout sur la colère et apprendrez à mieux la connaître
Vous pourrez ainsi l’utiliser à bon escient
Vous découvrirez qu’il existe une colère saine et qu’il est néfaste d’inhiber sa colère
Vous apprendrez à mieux réguler votre colère au quotidien
Vous apprendrez aussi à affronter et à tempérer celle des autres
Dans ce but, nous vous donnerons différents outils et méthodes éprouvés
Au travail ou à la maison, vous parviendrez alors à désamorcer les colères naissantes
Que cache véritablement la colère ? Nous avons fait appel à deux spécialistes de l’entreprise et de ses rapports humains pour comprendre en profondeur cette émotion. Ce n’est pas un secret, la colère, s’il elle n’est pas utilisée à bon escient, est potentiellement néfaste, surtout dans le monde de l’entreprise.
La colère vient régulièrement perturber notre vie personnelle et professionnelle. Se confronter à la colère de l’autre, mieux comprendre la sienne ou savoir l’évacuer sont les objectifs de notre formation.
On trouve la colère personnelle, un sentiment profond qui nous envahit soudainement. Tenter de l’accueillir, puisqu’on ne peut l’éviter, permet déjà de se tirer de situations délicates. Puis l’irritation de l’autre, à laquelle il faut être capable de faire face afin de l’apprivoiser.
Mais il existe une colère saine, qu’il est bon d’exprimer : quand un collaborateur ne prévient pas de son retard, par exemple. Dans cette situation, trois types de colère sont contre-productive : colère inhibée, vous ne manifestez qu’à peine votre gêne. Exacerbée, vous enguirlandez ce pauvre collègue qui dispose par ailleurs d’une excuse valable, déguisée, vous le faites culpabiliser.
Pour sortir de cette impasse, il importe de cultiver une colère saine qui s’acquière par la pratique, grâce à différentes méthodes comme les « 3 phrases » ou encore les « 4 P ».
Alors, êtes-vous prêt à vous confronter à la colère, cette émotion méconnue ?
Au milieu du XIXe siècle, Émile Blanche, aliéniste comme son père, prend sa succession et s’essaie à de nouvelles méthodes. Un téléfilm, inspiré et porté par ses acteurs, qui restitue les débats de la psychiatrie de l’époque.
Étudiant en psychiatrie, Émile Blanche finit son internat à l'hôpital de la Salpêtrière sous l'autorité du Professeur Leuret, aliéniste aux méthodes brutales et fervent opposant à son père, Esprit Blanche. Ce dernier a créé un asile que son fils est amené à reprendre. Cet établissement d'un genre nouveau a été établi sur le modèle d'une pension de famille et voit de nombreux patients renommés venir s'y faire soigner : Charles Gounod, Théo Van Gogh, Guy de Maupassant et Gérard de Nerval, ami et patient de la famille. Entre désir d'émancipation et volonté de soigner les malades avec humanité, Émile lance un défi à son professeur : soigner Saturnin, un patient souffrant d'aphasie, en dehors de l'institution publique, dans la clinique familiale.
Peines de cœur
Inspiré par l’histoire du docteur Émile Blanche, ce téléfilm retrace un épisode de la psychiatrie en France, avant la révolution freudienne. Deux écoles s’y affrontent, les tenants de méthodes radicales et violentes d’enfermement d’un côté et ceux, comme le jeune médecin et son père, qui privilégient -avec prudence- l’accompagnement thérapeutique, de l’autre. Entre Gérard de Nerval, pensionnaire obsédé par un retour en Orient, un vieux ministre accroché du matin au soir à une balançoire et un prince en exil, l’atmosphère de la célèbre clinique de Passy au XIXe siècle est reconstituée avec soin. Stanley Weber campe avec une émouvante justesse ce médecin humaniste tâtonnant, multipliant les expériences, qui peine à traiter son malade, comme à conquérir le cœur de la jeune Félicie qui l’assiste. De fait, portée par un souffle romanesque, la fluidité de la mise en scène, signée Sarah Lévy (Au crépuscule des temps, Little Wenzhou) s’appuie sur une distribution impeccable, de Grégoire Leprince-Ringuet dans l’ami Jules, à Bruno Lochet, sous les traits de l’auteur des Filles du feu, lequel réussira in fine à entrer en communication avec Saturnin par la seule grâce de la poésie.
Dans le Sud de la France, Jean, un acteur rattrapé par le passé, s'installe, clandestinement, dans une maison abandonnée où vécut jadis Juliette, le grand amour de sa vie. Une bande d'enfants du quartier, apprentis cinéastes, découvre la même demeure, décor parfait de leur prochain film. Jean et les enfants tomberont nez à nez, tôt ou tard...
Il y a 20 ans, alors qu'elle était jurée, Lindy Lou a condamné un homme à mort. Depuis, elle est hantée par cette décision. Lindy Lou entame donc un voyage à travers le Mississippi pour retrouver les onze jurés qui ont prononcé avec elle, afin de savoir si ils partagent sa culpabilité.
Technologies vertes mais polluantes, recyclage impossible… : cette vaste enquête menée à travers le monde révèle les effets pervers des solutions propres pour parvenir à la transition énergétique.
Face au changement climatique, de nombreux pays se sont engagés dans la transition énergétique. Depuis la COP21 qui a fixé en 2015 d'exigeants objectifs de réduction des gaz à effet de serre, les énergies vertes ont le vent en poupe. La voiture électrique est ainsi devenue la mascotte de cette révolution technologique. Mais les constructeurs restent discrets sur le bilan carbone de leurs automobiles fièrement estampillées ZE ("zéro émission"). Car non seulement elles consomment une électricité pas toujours propre mais, comme les panneaux solaires et les éoliennes, elles sont gourmandes en métaux rares (néodyme, cérium, cobalt, lithium, etc.) dont l'extraction cause des ravages à l'autre bout du monde. Pour que l'air de nos centres-villes s'allège en particules fines, la pollution est délocalisée à l'abri des regards, dans des pays émergents qui espèrent tirer profit de leurs minerais, sans égard pour leurs habitants. En Chine, par exemple, championne des métaux rares, dans la province de l’Heilongjiang, un tapis de poussière toxique recouvre les régions agricoles, arrachant les paysans à leur terre, provoquant des cancers et faisant des mineurs les "gueules noires" du XXIe siècle.
Nouvelle dépendance
Pour montrer les effets pervers de la révolution verte, cette enquête ambitieuse, inspirée de l'essai de Guillaume Pitron, La guerre des métaux rares (Les liens qui libèrent, 2018), voyage d'un bout à l'autre de la planète. Elle nous emmène de la France, où le secteur des panneaux solaires a ployé sous le dumping chinois, jusqu’au Chili ravagé par l'extraction du cuivre en passant par l'Allemagne, où s'entassent les pales d'éoliennes hors d'usage, la Chine, qui maîtrise déjà toute sa chaîne de valeur à la Bolivie, qui ne veut plus se contenter de la seule extraction des minerais. Car en misant sur ces trompeuses énergies vertes, les pays occidentaux ont troqué leur dépendance au pétrole contre une addiction aux métaux rares, un choix qui pourrait leur coûter cher sur le plan économique. Un nombre impressionnant d'entretiens, avec des ouvriers, chercheurs, ingénieurs, activistes, industriels, actuels ou anciens ministre – parmi eux, Arnaud Montebourg, écœuré –, étaie cette exploration de notre économie globalisée où chaque gain écologique se paie en émissions de CO2.
Retraités bien occupés, Josy et Mamaï passent leur été dans leur caravane près du lac. Cette tranquillité fait ressurgir les souvenirs de leur rencontre, trente ans plus tôt. Compétition internationale du Festival International du Film Francophone de Namur (2020).
Dorine Brun et Julien Meunier ont suivi le jury des jeunes lors de l’édition 2017 de Cinéma du réel. Le film qu’ils proposent ne rejoue pas les enjeux des délibérations, ni le suspense des résultats, mais se place sur un tout autre terrain, celui de l’expérience intime de la projection et de la difficulté de son partage. Des films projetés, nous ne saurons que ce que certains jeunes en décrivent à leurs parents. Mais surtout, nous aurons vu sur leurs visages pendant les projections tout ce qu’il est difficile de traduire en mots après que les lumières se sont rallumées.
Eric, adolescent solitaire et énigmatique, passe le plus clair de son temps à observer ses voisins, collé contre la fenêtre de sa chambre. Il s'est réfugié dans un univers d'ombres et de petits trafics sournois. Tout bascule lorsqu'en face de chez lui, débarque un couple, Fabienne et Tom, pur cliché bariolé pour petit voyeur en quête de sensations.
Dans ce troisième volet qui conclut les trois couleurs, une jeune femme, Valentine, étudiante de l'université de Genève, modèle, écrase un chien. Le chien est juste blessé. Sur une plaque, attachée a son collier, Valentine trouve l'adresse du propritétaire. C'est un juge...
Un village perdu dans la campagne finistérienne. Un homme est suspecté d’être porteur du virus Ebola. Il est noir. C’est Maurice. Son meilleur ami, Michel, ambulancier, sillonne le territoire avec son stagiaire, Rémi, pour le retrouver et le contrôler...