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Tome :
2
« Imagine que tu retrouves la coupe ? Une fois la Rose de Djam en ta possession, serais-tu tentée d'en user ? – Euh… Tu veux dire pour voir dedans ? – Évidemment ! Pas pour y boire un cru syrien ! » Elle eut soudain l'impressioan que quarante esprits la sondaient. Yokhannân insista : « Hé bien ! Si tu pouvais accéder à tous les secrets de l'univers, d'un seul coup d'œil, n'y succomberais-tu pas ? – Je ne crois pas, dit Sibylle, en rejetant une mèche de son front et en lui rendant son regard. Je ne suis pas certaine qu'ils soient tous agréables à regarder. » Sibylle, notre jeune Normande, héritière d'un fort de la principauté d'Antioche, a trouvé mari en la personne de Pèir, un Gascon ombrageux, et répondu, au prix d'un périple hasardeux vers l'est, à l'appel des quarante saints du monde réunis à Amid. Sa mission ? Se rendre dans la montagne près de Mossoul pour arracher au « dragon » la Rose de Djam. Mais entre-temps, Shudjâ, le faqîr qui fut le maître de Sibylle dans son enfance, s'est laissé capturer par les Noirs, qui s'y entendent en torture et tourments de toute nature… « Dans la lignée du « Clan des Otori », de Liam Hearn, comme du Roman de Baïbar, cycle narratif arabe du Moyen Âge, « La Rose de Djam » puise dans l'imaginaire féerique de l'Orient médiéval. Sandrine Alexie y renouvelle les sources d'inspiration de l'heroic fantasy. Un courant d'air frais dans un registre très attaché à l'esthétique de J. R. R. Tolkien. » Élisa Thévenet, Le Monde.
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Tome :
3
« Un derviche n'a rien à lui et ne tend pas la main : il attend de trouver sous ses pas ce qui l'aide à vivre. Un derviche est fol aux yeux des hommes : tu devras jouer les imbéciles, muette obstinément. Ni mensonge, ni dévoilement. Ainsi, tu avanceras sous la protection du Pôle. Si tu en sors, même Lui ne pourra t'aider. » Sibylle a arraché la Rose de Djam au dragon. Mais rapporter la coupe aux Quarante sans tomber aux mains des Noirs et de leur roi-serpent, qui plus est avec un bras cassé, promet de ne pas être une sinécure. L'esprit sous emprise et le corps douloureux, c'est donc en derviche qu'elle se lance sur les routes pour rejoindre Amid. Ce faisant, elle échappe tout autant à la vision des Quarante, dont elle ne peut attendre aucun secours. Un soir, dans un caravansérail, une danseuse lui dérobe la coupe par jeu, un musicien y verse du vin et boit dedans ; son esprit explose aussitôt sous la somme des secrets du monde qu'il vient d'avaler d'un coup… Dans la lignée du « Clan des Otori », de Lian Hearn, comme du Roman de Baïbar, cycle narratif arabe du Moyen Âge, « La Rose de Djam » puise dans l'imaginaire féerique de l'Orient médiéval. Sandrine Alexie y renouvelle les sources d'inspiration de l'heroic fantasy. Un courant d'air frais dans un registre très attaché à l'esthétique de J. R. R. Tolkien. Élisa Thévenet, Le Monde.
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Tome :
1
« Imagine que tu retrouves la coupe ? Une fois la Rose de Djam en ta possession, serais-tu tentée d'en user ? – Euh… Tu veux dire pour voir dedans ? – Évidemment ! Pas pour y boire un cru syrien ! » Elle eut soudain l'impression que quarante esprits la sondaient. Yokhannân insista : « Hé bien ! Si tu pouvais accéder à tous les secrets de l'univers, d'un seul coup d'oeil, n'y succomberais-tu pas ? – Je ne crois pas, dit Sibylle, en rejetant une mèche de son front et en lui rendant son regard. Je ne suis pas certaine qu'ils soient tous agréables à regarder. » L'histoire de la Rose de Djam, ou comment la coupe qui détenait tous les secrets de l'univers fut perdue et retrouvée, est un volet de la longue histoire des Quarante, lequel commença dans un château syrien tenu par des seigneurs normands, où vivait la plus improbable des créatures terrestres qu'on pouvait charger de cette mission : Sibylle de Terra Nuova. Une fresque historique qui mêle à foison cultures, langues et religions. Un roman jubilatoire.
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