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Herman Melville, Emily Dickinson, Mark Twain, Jack London, Edgar Allan Poe..." Une fresque magistrale. Passionnant ! " François Busnel Il était une fois une terre immense. Des montagnes, des déserts, des forêts, et une prairie qui s'étendait à perte de vue, avec ici ou là quelques tribus indiennes. En 1620, un bateau accosta depuis l'Europe. Une trentaine de Pères pèlerins débarquèrent avec une mission en tête : faire de cette terre un paradis. Avec le temps, l'Amérique a perdu son innocence mais trouvé son épopée. La littérature américaine est hantée par le mal qui rôde et s'incruste au coeur de chacun. Ses chefs-d'oeuvre racontent l'histoire d'un pays neuf, avec ses Indiens et ses puritains, ses esclaves noirs et ses suprémacistes blancs, ses héros torturés et ses belles du Sud. Une plongée au coeur de l'âme américaine Le premier volume de cette bande dessinée est un voyage dans l'Amérique du XIXe siècle à travers ses plus grands auteurs et ses oeuvres les plus connues : Cooper et le génocide indien, Hawthorne et les sorcières de Salem, Poe et l'invention du roman policier, Whitman et la guerre de Sécession, London et la ruée vers l'or... Sous le parrainage de deux grands spécialistes de la littérature américaine, Oliver Gallmeister et François Guérif, cet album est dessiné par Jean-Baptiste Hostache (Shibumi) et écrit par Catherine Mory (L'Incroyable Histoire de la littérature française).
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Nouveauté

De l’exil de l'enfance au succès, un portrait de l’étincelant Frank Capra, chantre du rêve américain au cinéma. 

 

Il fut le premier à recevoir, en 1934, cinq Oscars pour New York-Miami, une comédie avec Claudette Colbert et Clark Gable. Trois décennies après son arrivée à Ellis Island, à l’aube du XXe siècle, le petit immigré sicilien n’a pas fini de savourer son rêve américain, premier aussi à décrocher trois fois l’Oscar du meilleur réalisateur. Francesco Rosario Capra a 6 ans lorsque ses parents quittent Bisacquino, leur village sicilien, dans l’espoir d’une vie meilleure. Installé avec sa famille dans un ghetto de Los Angeles, il bûche dur pour suivre une formation d’ingénieur chimiste. Mais un coup de pouce du destin le fait entrer, au début des années 1920, dans le studio de Mack Sennett en tant que gagman. Recruté par le producteur Harry Cohn, qui lui fait signer ses premiers films pour la Columbia, Francesco devenu Frank va passer habilement du muet au parlant avant de s’imposer avec sa "Capra’s touch", irrésistible mélange d’idéalisme et d’humour qui teinte quelques-uns de ses chefs-d’oeuvre, parmi lesquels Vous ne l’emporterez pas avec vousL’extravagant Mr. DeedsMonsieur Smith au Sénat ou La vie est belle, entrés au panthéon du cinéma.

Conte de fées 
C’est à la manière d’un conte de fées s’inspirant du style narratif de Capra dans ses films, dont les plus célèbres ont été réalisés pendant la Grande Dépression, que Dimitri Kourtchine retrace, de l’enfance à la fin de la carrière, la fabuleuse ascension du réalisateur à Hollywood. Raconté par le sociétaire de la Comédie-Française Didier Sandre et nourri d’extraits de films et d’interviews, un portait richement documenté du cinéaste, disparu en 1991, qui exaltait le rêve américain sans être dupe de ses limites

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