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Dix courts métrages d'animation pour les petits. - Le Vélo de l'éléphant d'Olesya Shchukina (9') Un éléphant habite en ville parmi les gens normaux et travaille comme balayeur. Un jour, il voit un panneau d'affichage énorme qui fait la publicité d'un vélo, avec l'air d'être parfaitement à sa taille. A partir de cette minute, la vie de l'éléphant change : il doit à tout prix obtenir ce vélo ! - La Chose perdue d'Andrew Ruhemann et Shaun Tan (15') Un garçon trouve une créature étrange sur la plage et décide de lui trouver un foyer dans un monde où les hommes considèrent qu'il y a des choses bien plus importantes. - Oscar du meilleur court métrage d'animation, 2012. - Bisclavret d'Emilie Mercier (14') Une Dame, épouse d'un Baron, s'aperçoit que son mari s'absente souvent et le questionne : il lui avoue qu'il se dénude et devient Bisclavret. Transformé en loup il saccage, pille et tue. ??Effrayée et prise de dégoût, la Dame révèle ce secret à un chevalier qui lui fait la cour depuis longtemps. Elle s'offre à lui et lui demande de récupérer les habits du Baron pendant l'une de ses sorties nocturnes, ?le condamnant ainsi à errer sous son aspect animal... - Flocon de neige de Natalia Chernysheva (6') Un jour un petit garçon africain reçoit une lettre d'un ami et dans cette lettre, il y a un flocon de neige... - Nikita le tanneur de Iouri Tcherenkov (15') La princesse du royaume est enlevée par le terrifiant dragon Zmey Gorinich. Connu pour ses prouesses physiques, Nikita le tanneur est désigné tout naturellement par le village pour le combattre, mais c'est par la ruse et non par la force qu'il va en venir à bout. - Tôt ou tard de Jadwiga Kowalska (5') Deux mondes entrent en collision. Un écureuil rencontre une chauve-souris solitaire. Ensemble, ils essaient de remettre de l'ordre dans les rouages souterrains qui orchestrent la danse du jour, de la nuit, et de bien plus encore. - Pasta ya ! de Laurent Pouvaret (5') Une reine intraitable envoie ses chevaliers lui chercher des pommes. Mais là où sont les pommes, le dragon veille. Un jeune chevalier se montre pourtant plus malin que les autres. - Merci mon chien de Julie Rembauville, Nicolas Bianco-Levrin (8') Ce soir, le chien Fifi est contraint de lire son journal sous la table au moment du repas. Mais entre Papa, Maman, Thomas et Zoé, l'ambiance est électrique, chacun n'en fait qu'à sa tête et la lecture est vite compromise. - Tulkou de Sami Guellai et Mohamed Fadera (11') Quand Papoo, un vieux pêcheur des îles attrape dans ses filets un homme-mer, il fait un choix surprenant, il l'amène chez lui pour s'en faire un ami. ??Le vieux pêcheur tout à l'excitation des changements liés à cette présence ne voit pas que l'homme-mer est une créature complètement différente qui dépérit... - Le Petit Garçon et le monstre de Johannes Weiland et Uwe Heidschötter (7') Depuis que le père d'Haro a quitté la famille, la mère d'Haro est devenue très étrange. Elle ne joue pratiquement plus avec Haro et déprime devant d'anciennes photos, elle ne rit plus et est toujours de mauvaise humeur. Après le divorce, les parents peuvent-ils redevenir ce qu'ils étaient ?

Dix nouveaux courts métrages d'animation : "Deux escargots s'en vont" de Jean-Pierre Jeunet et Romain Segaud, "Celui qui domptait les nuages" de Nicolas Bianco-Levrin et Julie Rembauville, "Le hareng rouge" de Leevi Lemmetty, "Vent de fête" de Marjolaine Perreten, "Spring Jam" de Ned Wenlock, "Le cochon de Wat" de Peter Lord, "Chats et chiens" de Gerd Gockell, "Perché" de Liam Harris, "Adam" de Peter Lord et "Un plan d'enfer" d'Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli.