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L‛univers fantastique de Gianini et Luzzati à travers 4 courts métrages qui emmènent les enfants dans un monde haut en couleurs où se mêlent magie des contes et aventures merveilleuses. Du courage et de l‛audace sont au rendez-vous avec Polichinelle et ses amis !
Les Trois Frères : Trois frères vivent en parfaite harmonie jusqu‛au jour où ils tombent amoureux de la même demoiselle : la fille d‛un roi. Face à ce choix difficile, ce dernier annonce qu‛il donnera la main de la princesse à celui qui lui apportera le cadeau le plus fabuleux.
Le Ballon d’or : Pour son anniversaire, la fille du roi reçoit une balle d‛or qui a le pouvoir de la protéger. Mais elle doit y faire très attention car la perte de ce jouet pourrait entraîner la disparition de toute sa famille et du royaume.
Polichinelle et le poisson magique : Un jour, un poisson magique mord à la ligne de Polichinelle. L‛animal lui promet de satisfaire tous ses désirs s‛il le laisse vivre. Les rêves de Polichinelle et de sa femme deviennent alors réalité.
L’oiseau de feu : Le roi Baldovino est en colère car on lui a dérobé une pomme d‛or. Il demande au prince Biondello de retrouver le coupable, qui n‛est autre qu‛un oiseau de feu. En le suivant jusqu‛au repère du terrible mage Bardadargento, il se fait capturer…
Dès 6 ans
Premier conte : deux collègues vont se baigner à Cergy-Pontoise, l'arrivée d'un dragueur entreprenant met à mal leur amitié naissante. Deuxième conte : une étudiante norvégienne se trouve successivement aux prises avec trois hommes. Ensemble, ils passent une soirée à la Cité Universitaire. Deux contes sur l'amour, sur l'amitié, sur l'été, deux contes de juillet. Prix Jean Vigo en 2018.
Jeanne, jeune professeur de philosophie, vit habituellement chez son fiancé, Mathieu, un mathématicien qui vient de partir en voyage d’études pour une semaine. Mal à l’aise, seule dans cet appartement exigu et encombré, elle décide de retourner dans son propre studio. Elle le trouve occupé par sa cousine et son fiancé et décide de se rendre à une pendaison de crémaillère en banlieue...Rohmer déclarait dans la Revue du Cinéma en avril 1990 : “Je me contente de filmer les gens d’un peu loin, sans jamais souligner leur pensée. Si on a la prétention de la figurer, il faut justement rester dans l’indéfini parce que, libre et primesautière, elle change continuellement. Par conséquent, pour la montrer le mieux possible, il faut préserver son mystère.”