Aller au contenu principal

2 résultat(s)

ImpriméDisponible
couverture du document
Dans le cimetière du Père-Lachaise, un vieillard titubant, déterminé à se venger, tente d'avancer coûte que coûte vers l'immense tombeau d'Adolphe Thiers, à qui il réserve un dernier geste profanateur. (©Electre)
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
couverture du document
« J'ai rarement vu un artiste dont les fantasmes hachurés soient aussi évocateurs et troublants. » Emil Ferris Vingt-cinq images pour une histoire sans paroles… Il existe un monde où les arbres sont grands et nombreux, où la neige est belle et dense, où le vent souffle fort et longtemps et où l'on parle aux oiseaux de voyages et de l'au-delà. Landis Blair raconte à la façon d'une fable, les derniers instants ou plutôt le dernier magnifique geste d'un vieil homme qui choisit et organise avec soins les conditions de son départ. Un départ spectaculaire et glorieux, en pleine communion avec le monde et la nature, avec la complicité des oiseaux, ceux qui connaissent mieux que nous tous l'art de voler et les chemins du ciel. « Car finalement, tout va bien. » croit-on entendre à la fin de ce court récit sans paroles. Et l'espoir est bien là. L'esprit d'Edward Gorey n'est toujours pas loin dans cette fable qui parle de la mort et de l'espoir. La nature et les animaux, chers à Gorey également, sont les motifs dans lesquels les hachures à l'encre noire de Landis Blair se déploient sans fin, nous laissant avec une étrange impression addictive, comme si l'on voulait toujours en voir plus et se perdre dans ces images aux milliers de petits traits qui racontent la vibration du monde.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver