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Le lendemain de la rafle du Vel d'Hiv., le 17 juillet 1942, alors qu'il allait rentrer dans l'épicerie familiale, Robert Birenbaum, jeune Français juif de bientôt 16 ans (ses parents sont Français comme lui, bien que nés en Pologne) rencontre sa tante Dora, avenue Secrétan.  C'est lui qui raconte  : «  Elle était jeune, trente-deux ou trente-trois ans, et très belle  ; c'était ma tante préférée. Elle me raconta pourquoi mon oncle avait été arrêté et mis en prison. Il était résistant. Sur sa lancée, elle me demanda si elle pouvait avoir confiance en moi. Si je le voulais, elle pouvait me faire entrer en contact avec des jeunes juifs communistes, des résistants. Mais ce devrait être un secret entre nous deux. Jamais je ne devais dire à mes parents qu'elle avait été mon instigatrice. J'acceptais sans hésiter. Elle me fit comprendre en très peu de phrases qu'il était toujours préférable de se battre, de vivre debout et dans la dignité, et de ne pas se coucher devant l'ennemi. Elle avait comme son mari un poste de responsable au sein du MOI (Mouvement Ouvrier Immigré) et me donna tout de suite un rendez-vous avec un camarade de la Jeunesse communiste. C'est ainsi que j'entrai dans la Résistance, le 17 juillet 1942.  »  Le 18 juin 2023, le même Robert Birenbaum reçoit – enfin – des mains du Président Emmanuel Macron, la Légion d'honneur au Mont Valérien, après s'être recueilli dans la clairière où reposent nombre de ses camarades de résistance. 81 ans après avoir pris sans s'en rendre compte la décision la plus importante de sa vie…  Le 21 février 2024, le couple Manouchian sera rapatrié au Panthéon. Les Manouchian, c'est l'Affiche rouge du nom de l'affiche placardée dans tout le pays par les nazis qui recherchaient ces résistants. Arrêtés, les 22 hommes membres de l'Affiche Rouge, ces Francs-Tireurs Partisans de la MOI, seront fusillés le 21 février 1944 au Mont-Valérien. Olga Bancic, seule femme du groupe, sera décapitée le 10 mai 1944 à Stuttgart.  Robert...
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« L'éducation est la première priorité nationale. Le service public de l'éducation est conçu et organisé en fonction des élèves. Il contribue à l'égalité des chances. » Vous venez de lire l'article 1 du Code de l'éducation. C'est beau. C'est grand. C'est la France telle qu'elle se raconte. Enseignante depuis une dizaine d'années, Charlotte Magri pose le constat inverse. L'école impose en réalité des conditions inégales et parfois indignes à ses élèves et à ses enseignants. Croulant sous un empilement de réformes incohérentes qui vont à l'encontre même des rapports publiés par la Cour des comptes, sur fond d'héritages archaïques, notre école a perdu de vue sa dimension humaine. Les solutions existent. Sans prise de conscience, jusqu'où irons-nous ?
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«  Le 21  novembre, un matin comme tous les matins du monde.  Il est 8h10. On se réveille au dernier moment. L'école est tout près et le sommeil précieux.  On effectue les mêmes gestes que tous les jours  : se dépêcher, s'habiller, boire un verre de jus de fruit. Mon petit garçon et moi connaissons par cœur ces rituels. Gabriel a presque dix ans et il se prépare à accueillir comme moi son petit frère. Je lui demande d'enfiler ses chaussures et pars dans la salle de bain me brosser les dents. Tous les parents connaissent ces répétitions qui font de nous des parents.Je suis fatiguée. Je suis fatiguée comme toutes les mères mais c'est la fatigue de la vie. La fatigue de l'amour. Gabriel m'appelle du salon car il est 8h25, l'heure du départ.Il faut partir.En une fraction de seconde, la vie d'avant s'arrête. Notre existence bascule.  »  Cri de douleur et d'amour de Lolita Chammah après la perte de son bébé, l'écriture vient soutenir l'injustice, l'absurde, et la sidération de chacun. Inconsolable mais vivante, l'auteure raconte aussi pour tous ceux qui traversent la même inhumanité, pour ceux qui n'ont pas les mots. Pour ses enfants, celui qui est là, celui qui n'est plus là, et celui qui viendra. Le récit ne sauve de rien mais devient un espace viable dans l'existence.Dire pour continuer.
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«  Elle trouve refuge dans une petite grotte érigée au fil des décennies avec des mots, des images et des chansons, l'art, un bien grand mot, la beauté des choses qui la bouleverse lui sert de kaleidoscope pour observer les jours et les gens. Ainsi le quotidien paraît moins féroce aux yeux de cette sentimentale désenchantée.  »Anna, la narratrice de ce roman aux allures de  Mrs Dalloway  contemporain, est éditrice sous les ordres d'une dictatrice, se débrouille comme elle peut avec la vie, c'est-à-dire plutôt mal. Elle résiste. Elle endigue. Elle encaisse. Elle se souvient, surtout.Coincée entre une mère féministe  mais atteinte d'une forme de joyeuse démence, trois filles à l'adolescence woke, un mari au sourire fuyant et à la tenue fluo, un cordon sanitaire d'amies qui sonnent le tocsin des SMS et des apéros SOS «  burn out  », Anna pourrait crier, comme on joue, comme on pleure, « Arrêtez tout  !  », mais ça ne marche qu'au cinéma. Comment font les gens ? Pourquoi ne remarquent-ils pas les «  pigeons dégueulasses aux ventres de pamplemousse  » ou la mélancolie fêlée d'une voisine de comptoir  ? Il y a du Virginia Woolf déjanté dans ce roman de la charge mentale, mais il y a aussi du Françoise Sagan  : chaque phrase vise juste, replie le présent déceptif sur le passé enchanté.Chaque phrase accueille au creux du confort d'une vie d'apparence bourgeoise les secrets de l'enfant caché, blessé, cajolé parfois, que fut Anna, car chaque adulte est cousu d'enfant. Il veut ce que nous voulons tous  : l'amour. 
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« Le genre de roman que l'on n'oublie jamais. »New York Journal of Books  Edmund Malinowski, jeune psychiatre comportementaliste, est en passe d'accomplir son rêve. À trente-six ans, il vient de prendre la direction d'un établissement psychiatrique dans les montagnes du Montana. Travaillant d'arrache-pied, il délaisse trop souvent sa femme, Laura. Cette dernière a l'impression d'avoir été dupée : pour la convaincre de s'installer ici, Edmund lui avait promis qu'ils fonderaient une famille. Étaient-ce seulement des belles paroles ? Une chose est sûre, elle n'y croit plus.  Passionné, charismatique, Edmund, ambitionne avant tout de réformer la psychiatrie, d'obtenir la reconnaissance de ses pairs et de guérir ses patients. Surtout Penelope, une jeune fille épileptique internée de force par ses parents qui, voyant en lui son sauveur, tombe peu à peu sous son charme. Alors que leur relation prend une tournure des plus ambiguë, Laura décide de donner des cours de dessin aux patients de son mari, s'immisçant ainsi dans sa vie professionnelle et le forçant à réévaluer ses choix.  À la manière de Richard Yates dans  Les Noces Rebelles, Virginia Reeves livre à ses lecteurs une bouleversante exploration du mariage, du désir et de l'ambition. Dans un décor sublime et chaotique, porté par des personnages qui semblent prêts à exploser à tout moment,  Anatomie d'un mariage  est un roman d'une intelligence sans détour, captivant, auquel on ne peut s'empêcher de revenir.  Traduit de l'anglais (États-Unis) par Carine Chichereau
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François et Sylvie vivent ensemble depuis une quinzaine d'années. Ils sont tous les deux cinéastes et ont deux enfants. Ils s'aiment, peut-être mal mais sans doute pour la vie. Mais leur amour ne se vit pas sans embûches : dès le début, des signes auraient dû aiguiser leur méfiance.
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«  Un “tableau mort”  – en termes de vente aux enchères  –  qualifie les œuvres qui ne peuvent être authentifiées pour quelque raison étrangère à l'œuvre même. Mais parfois ces dénommés  “tableaux morts”  suggèrent plus de vie que bien d'autres toiles authentifiées par convenance. »Quand elle visite, dans le cadre de la collection « Ma nuit au musée », les salles du musée Thyssen-Bornemisza, à Madrid, en mars 2019, Zoé Valdés cherche des toiles qui n'y sont pas, ou n'y sont que dans son souvenir. Sachant que l'art l'a sauvée « de la constante incurie sociale et politique » qui régnait à Cuba, Zoé va faire une étrange plongée dans un monde mi-chimérique mi-réelle qui nous entraîne à la poursuite de deux muses, et deux peintres célèbres, Balthus et Bonnard.Comment les aborder, ces deux maîtres de la pose suggestive, érotique, infantile, faussement innocente, que par le roman-résurrection du passé ?Le livre se divise alors en deux parties : la première met en scène, sous l'apparence joueuse de l'imaginaire, une jeune modèle qui pose pour Balthus, jouant au chat et à la souris avec le maître du « Passage du commerce Saint-André ».  Qui regarde qui ? Qui désire qui ? L'art produit-il du rêve, à mi-conscience, ou au contraire du réel brûlant ?La deuxième partie nous montre une autre muse, Renée de Monchaty, amante idéalisée par Pierre Bonnard dans « Femme à sa toilette », et qui se suicida par amour déçu, en 1925.  Les muses sont des jeunes filles, des adolescentes parfois, des innocentes sacrifiées sur l'autel du désir des peintres. Aujourd'hui, elles feraient des procès. A l'époque, elles n'avaient le choix que de poser pour de l'argent, ou pire, par dévotion.Dans ce récit somnambulique et sensuel, teinté du réalisme magique de l'Amérique latine, le vrai et le faux s'entrelacent comme des fleurs vénéneuses.Traduit de l'espagnol par Albert Bensoussan
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Le destin croisé de six femmes qui voient leur vie bouleversée par le vote de la loi du 27 janvier qui interdit aux hommes de la République de Juvenia de vivre avec des femmes de plus de vingt ans leurs cadettes. ©Electre 2020
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Quatre pays. Quatre époques. Quatre femmes.Héloïse, splendide courtisane, voit son existence bouleversée par sa participation à la Commune de Paris en 1871 ; Sofia, elle, rêve de devenir actrice mais ses aspirations sont brisées par la révolution d'Octobre ; Elda, ouvrière frioulane, est entraînée dans la résistance italienne au cœur de l'hiver impitoyable 1944-1945, et Sheila découvre la liberté et ses pièges dans le Swinging London des années 1960. Chacune de ces femmes incarne à sa façon un pan de l'Histoire trop longtemps resté hors-champ.En écho à ces destins éminemment romanesques, Cristina Comencini se livre sur son propre parcours en tant que fille, sœur, femme et mère, brouillant la frontière entre fiction et réalité, et signe son roman le plus intime mais aussi le plus universel.Traduit de l'italien par Béatrice Robert-Boissier
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«  C'est le moment de fuir la ville qui flingue les nerfs, les écrans qui dévorent le cerveau, le travail qui blesse. Je mise sur ce périple pour réparer la Femme, édifier l'Enfant et lutter contre l'encroûtement qui guette les hommes de mon âge. C'est simple. On va partir et quand on reviendra, on sera plus heureux.  »L'époque grince et l'ambiance est morose à Paris. Le narrateur a des fourmis dans les jambes. Sa compagne, cadre surmenée, frôle le burn-out. Il faut réagir. Changer d'air, pour trouver un nouveau souffle. Alors ils s'embarquent, avec leur fils de neuf ans, dans une aventure à l'autre bout de la planète.C'est l'histoire d'une fugue en Asie, qui mène le trio de la Thaïlande à la Corée, en passant par le Cambodge, le Vietnam, le Laos et le Japon. Un roman de voyage familial en quête de sens qui devient, au fil des étapes, une quête des origines.D'une plume alerte et complice, joyeuse et sincère, Bungalow explore l'intimité d'une famille à la découverte du vaste monde, un monde réenchanté par le regard ingénu de l'enfant. Roman de transmission, virée consolatrice, méditation ambulante sur l'aliénation contemporaine, le couple à l'épreuve du temps, l'éducation et nos héritages enfouis, Bungalow est une épopée vers un Eldorado toujours envisageable  : le bonheur.  On connaît Julien Blanc-Gras pour ses récits de voyage décalés (Touriste, Envoyé un peu spécial) et ses autofictions sur la paternité (In utero, Comme à la guerre). Avec Bungalow, il concilie ses deux veines d'écriture, entre profondeur et légèreté, avec l'humour toujours en embuscade.
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Marta, Andrea, Laura et Piero sont quatre amis inséparables. A l'approche de la soixantaine, leurs mariages respectifs volent en éclats au même moment. Le besoin irrépressible pour Marta d'être enfin seule la pousse à partir. Quant à Piero, il quitte Laura, son épouse dévouée, sous prétexte qu'il ne se sent plus aimé. Chacun tente de se réapproprier sa nouvelle vie. ©Electre 2020
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Ce voyage raconte les sept semaines d'aventure vécue par Isabelle et Erik à bord d'un voilier direction l'Antarctique. Ils évoquent les traces retrouvées des explorateurs de légendes tels que Charcot, Shackleton et Nordenskjöld. Arrivés en Antarctique, ils prennent conscience de l'importance que représente ce continent pour la planète.
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Simone de Beauvoir, Hannah Arendt, Simone Weil… difficile pour la plupart d'entre nous de citer d'autres noms de femmes philosophes que ceux-là. Sans doute parce que la plupart d'entre elles n'ont pas eu la chance de se voir attribuer le noble statut de « philosophe », tantôt qualifiées de « femme de lettres », ou au mieux de « penseuses » et « intellectuelles ». Et pour les quelques chanceuses qui sont au panthéon des philosophes, on ne connaît bien souvent qu'une infime partie de leur pensée, ou on les réduit à leur pensée féministe.  Ce livre vous invite à changer de point de vue et à reparcourir l'histoire de la pensée à travers celle de femmes qui ont fait œuvre de philosophe, alors qu'elles étaient soit exclues de l'institution soit empêchées par les hommes. Vous découvriez une pensée riche, originale, des sujets forts, des formes inattendues, novatrices, car il a bien fallu faire preuve de créativité pour faire entendre sa voix.  Pour Elodie Pinel, elle-même professeure de philosophie, il est plus que temps de prendre au sérieux ces femmes philosophes, d'entrer pleinement dans leur œuvre et de militer pour qu'elles intègrent les programmes scolaires et que leurs idées infusent enfin dans notre société.
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De quelle obscure impulsion ce texte, qui m'a hantée pendant de longs mois, s'est-il nourri ? Tout ce que je sais, c'est que j'ai été emportée, engloutie par le siècle d'histoire qui a traversé cette prison de Lyon, la prison de Montluc. Jean Moulin, Raymond Samuel, dit Aubrac, René Leynaud, André Devigny, les enfants d'Izieu y ont tous été emprisonnés. Puis de nombreux condamnés à mort algériens. Klaus Barbie, lui, y est incarcéré avant son procès en 1983. Ce n'est qu'en 2009 que l'aile des femmes, la dernière en activité, est définitivement fermée, en même temps que la prison.Toute la complexité de l'histoire semble s'être concentrée en un seul point, mais ses tentacules s'étendent bien plus loin. J'ai essayé de les suivre, de les démêler. De les pénétrer au cours d'une nuit blanche où je pensais aller à la rencontre des esprits de tant de résistants, et où j'ai fini par me rendre compte que le fantôme, en ces lieux, c'était moi.
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Lorsque son frère devient père, Michela cherche à comprendre pourquoi elle n'a jamais eu le courage de mettre au monde un enfant. De quoi a-t-elle eu toujours si peur ?Lorsqu'elle se tourne vers son père, découvrant qu'il porte pour deuxième prénom Benito, elle se heurte à une indifférence qui hésite entre l'esquive et l'hostilité. Pourquoi  le prénom de Mussolini  ? Michela entreprend d'y voir plus clair et, bientôt aidée d'Internet, d'une boîte de médailles familiales qui dort au sommet d'un placard, et de piles de lettres empoussiérées par les années, elle saisit des pans de vérité. La vérité c'est que son grand-père paternel que la transmission familiale racontait royaliste et patriote fut un des tout premiers soutiens du  Duce. La Première Guerre avait ravagé l'Italie, tuant 1.240.000 soldats et civils, et une jeune génération traumatisée s'était laissé tenter par le fascisme. Mais ensuite ? Installé entre Lecce, dans les Pouilles, et Rome, il poursuit une carrière de juge, opérant sur la politique locale et nationale. Avec le temps, les tabous se cristallisent et le silence s'installe, minant les relations familiales.Le choc intime que provoquent en Michela ces recherches est vertigineux. Et si l'origine de sa honte résidait dans le passé refoulé de sa famille ?  Son histoire familiale se révèle en écho au destin de son pays avec une telle intensité qu'elle nous saisit à chaque page. La joie de vivre est si étrangère à son père qu'elle semble d'abord aussi interdite à Michela. Mais grâce à sa détermination,  grâce à son écriture, elle la retrouve et nous la partageons. Un cheminement bouleversant.
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L'histoire d'un amour total, passionnel, désintéressé, tapi dans l'ombre, n'attendant rien en retour que de pouvoir se confesser. Une blessure vive, la perte d'un enfant, symbole de cet amour que le temps n'a su effacer ni entamer. La voix d'une femme qui se meurt doucement, sans s'apitoyer sur elle-même, tout entière tournée vers celui qu'elle admire plus que tout.
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Une jeune femme idéaliste comme on peut l'être à vingt ans arrive à Paris à la fin des années 1990. On la suit dans sa découverte d'un milieu intellectuel qui a tout d'une caste d'hommes.Elle y rencontre l'écrivain Alain Robbe-Grillet, imposant «  Pape du Nouveau Roman », et son épouse Catherine, maîtresse-star de cérémonies sadomasochistes. Ils incarnent une certaine idée de la littérature et de la liberté sexuelle. Toutes choses auxquelles l'héroïne s'affronte tant bien que mal.Raconté avec impertinence depuis aujourd'hui, son apprentissage, d'une drôlerie irrésistible, est un conte contemporain. Sa leçon est que la liberté s'exerce dans le jeu avec les autorités établies. Et sa morale, qu'il ne faut jamais sous-estimer les jeunes femmes.
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Recueil de dix-sept nouvelles féroces saisissant la brutalité de notre monde contemporain. Le couple, la famille, l'entreprise, le voisinage, la ville ou la route servent de décor à ces contes cinglants, formant une fresque drôle, tragique et cruelle.
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Elles osnt trois, ces dames de la famille Kimoto. Le destin de la femme japonaise à la fin d XXe siècle. Souvent comparée à Simone de Beauvoir, Sawako Ariyoshi s'est suicidée en 1984, à Tokyo.
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