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Plus de cent histoires à raconter aux enfants, venues de tous les pays du monde de Laponie à la Corée en passant par le Turkestan et le Venezuela ou encore Israël, la Belgique et la Transylvanie. ©Electre 2023
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" Vous entendrez la femme royale, la fille de la rue espiègle ; vous entendrez le prix de la survie de la femme noire et vous entendrez sa générosité. " James Baldwin Longtemps, Maya Angelou a été méconnue du public français, avant d'être célébrée à sa juste mesure depuis 2008 pour ses romans autobiographiques, dont le célèbre Je sais pourquoi chante l'oiseau en cage. Activiste et écrivaine, Angelou l'était bien sûr, mais elle se considérait aussi comme une poète. Au début de sa carrière, elle alternait la publication de chaque texte autobiographique avec un recueil. Et pourtant je m'élève, son troisième opus publié en 1978, demeure l'un de ses plus emblématiques. Composé de 32 poèmes, divisés en trois parties, il révèle une Maya Angelou dans sa pleine maturité poétique, tour à tour sentimentale ou engagée, évoquant aussi bien des motifs intimes (l'amour, la maternité, la famille), que les thèmes ouvertement politiques (les difficultés de la vie urbaine, la maltraitance, la drogue, le racisme du vieux Sud). Ce qui caractérise sa voix est une détermination sans faille à surmonter les épreuves, quelle qu'elles soient, et la confiance, la force, la fierté qu'elle puise dans son identité de femme noire. Si Maya Angelou réjouit le lecteur d'aujourd'hui, c'est parce que son sens de la provocation et de la formule ne se départit jamais d'humour et ne verse jamais ni dans le désespoir, ni le communautarisme ou la haine de l'autre. Elle est cette femme phénoménale dont le poème éponyme brosse le portrait, et nous enjoint de le devenir à notre tour : Je dis,C'est le feu dans mes yeux,Et l'éclat de mes dents,Le swing de mes hanches,Et la gaieté dans mes pieds.Je suis une femmePhénoménalementFemme phénoménaleC'est ce que je suis.
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Portrait des sept dernières années de la vie de Marilyn Monroe par un de ses proches. ©Electre 2022
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La capitale de la douceur existe. C'est une petite île de la Méditerranée où l'on peut vivre nu. Quelque chose de notre rapport au monde, de notre vulnérabilité et de notre grandeur se joue sur cette portion de terre. Sophie Fontanel a écrit le roman d'une révolution par la douceur, dont nous avons infiniment besoin. En vers. La capitale de la douceur existe. C'est une petite île de la Méditerranée. À côté de ses voisines de Port-Cros et Porquerolles, l'île du Levant est un endroit où l'on peut vivre nu (grâce à un arrêté préfectoral). Mais seulement sur 5% du territoire, les 95% restants étant occupés par l'armée qui teste ici ses missiles... La douceur a-t-elle encore sa place dans notre monde ? Peut-elle résister à la violence qui nous entoure ? Dans ce décor prédestiné, où le hasard l'a menée, l'héroïne de ce roman ôte bien plus que ses vêtements, elle se met véritablement à nu.En sept jours, d'une rencontre à l'autre, elle va revivre les moments de son existence où s'est joué son rapport à la violence. Et comprendre que le pouvoir de la douceur est illimité.
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" Les animaux dont elle était couverte attendirent que s'élève son cinquième ronflement avant d'esquisser le moindre mouvement. Un, deux, trois, quatre, cinq... Enfin la vieille femme dormait. " Dans son fauteuil Windsor, Mrs Lugton coud un rideau, au coin du feu. Quand la gouvernante sombre soudain dans le sommeil, les animaux sauvages qui ornent le tissu ouvrent grand leurs yeux. Enfin libérés de toute surveillance, ils vont partir à l'aventure dans un monde exotique et secret. Mais attention, Mrs Lugton peut s'éveiller à tout instant, et les figer à nouveau dans les plis et replis de l'étoffe... Un texte méconnu de la grande Virginia Woolf, appelé à devenir un classique. À lire avec l'enfant dès 5 ans. À lire seul à partir de 7 ans.
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Poèmes, fac-similés, photographies, contributions : un ouvrage multiple pour revivre l'expérience du cabinet poétique d'Arthur Teboul. " J'ai longtemps rêvé l'existence, au cœur de nos villes et de nos vies, d'un endroit protégé de la clameur du monde, du bruit et de la fureur, où l'on pourrait faire halte un instant. Un endroit au coin de la rue où nous attendrait, derrière son bureau, un poète. On passerait sa porte pour s'asseoir un moment face à lui, le temps qu'il nous écrive un poème. Nul n'aurait besoin de parler, notre seule présence suffirait. On irait là-bas comme on va chez le fleuriste, le coiffeur ou le cordonnier, entre midi et deux ou après le travail. Dans les grandes et les petites occasions. " Le rêve a pris forme. Le 12 mars 2023, au 127, rue de Turenne, à Paris, Arthur Teboul a ouvert un cabinet de poèmes minute, le Déversoir. Pendant une semaine, du matin au soir, il y a accueilli près de 250 visiteurs. Pour chacun d'entre eux, il a écrit un poème, exerçant ce nouveau métier de déverseur, lui donnant sa toute première adresse. L'ensemble de ces poèmes compose la majeure partie de cet ouvrage. Arthur Teboul y poursuit son exploration de l'écriture automatique, mais, cette fois, en présence d'autrui. C'est une des raisons pour lesquelles L'Adresse, qui donne aussi la parole à ceux qui sont venus au Déversoir, invite à vivre la poésie comme une expérience collective. " Tant qu'une chose en laquelle vous croyez n'existe pas, tout vous pousse à l'abandonner au néant. Une fois qu'elle a vu le jour ? Rien ne peut lui résister. " Parce que la poésie manque dans notre vie quotidienne, Arthur Teboul a inventé un métier : déverseur. Et son cadre : le Déversoir. Quatre murs, une adresse postale, une plaque en étain devant l'entrée, un bureau, deux chaises, des feuilles, un stylo. Et des rendez-vous. Chaque consultation, d'une quinzaine de minutes, a donné lieu à l'écriture d'un poème. Après une semaine et 236 rencontres, une évidence s'est imposée : un...
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Exhumés des archives de la Fondation Pablo Neruda à Santiago, vingt et un poèmes inédits du prix Nobel chilien font résonner, par-delà le tombeau, cette voix familière à la portée universelle. Quarante ans après sa mort, Pablo Neruda demeure l'une des voix les plus populaires du continent latino-américain et incarne, aux yeux de chacun, une figure immuable de la poésie de combat. Écrits entre 1956 et 1973, période de maturité du poète, et contemporains de La Centaine d'amour et du Mémorial de l'île noire, les poèmes de ce recueil se présentent de façon modeste, comme des fragments, souvent griffonnés à l'encre verte sur des brochures, des menus, des prospectus (reproduits en fin de recueil dans un carnet de fac-similés de trente pages en couleurs). Les motifs que développe ici Neruda sont ceux qui composent son oeuvre depuis Résidence sur la terre : l'amour pour les femmes (" De pain, de feu, de sang et de vin / est le terrestre amour qui nous embrase ") ; le voyage (" J'ai roulé sous les sabots, les chevaux / sont passés sur moi comme les cyclones ") ; le pays natal livré aux séismes (" Je dis bonjour au ciel / Plus de terre. Elle s'est détachée / hier et cette nuit du navire. / Derrière est resté le Chili "), à l'incertitude politique (" Cordillères / enneigées,/ Andes / blanches / parois de ma patrie, / que de silence / tout autour de la volonté, des luttes / de mon peuple. ") ; la poésie (" je dois écrire des lignes / que je ne lis pas, / je dois chanter pour quelqu'un/ que je ne connaîtrai / même pas un jour ") ; les forces telluriques et enfin la nature, toujours féconde et luxuriante (" Alors traversant l'incitation de ta cime son éclair parcourt / sables, coroles, volcans, jasmins, déserts, racines / et porte ton essence aux oeufs de la forêt, à la rose furieuse / des hannetons. ") Les lecteurs, nombreux, de Pablo Neruda ne seront pas déçus par cette dernière moisson de poèmes. Ils sauront y lire cette foi étonnante dans l'amour humain.
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L'un des sommets de l'œuvre de Pablo Neruda. "Macchu Picchu, cité ou forteresse cyclopéennes, se dresse, au-dessus des lianes et des orchidées, sur une étroite plate-forme au flanc d'un pic des Andes. Découverte en 1911 par un professeur de Yale, Hiram Bingham, elle passe pour le dernier refuge où s'isola, après la conquête de Cuzco par Pizarre, un parti d'Incas irréductibles. [...] Nid d'aigle émergeant de l'inextricable et vivace entrelacs de la forêt-mère, les murs gigantesques demeurent un défi et une énigme de l'homme à l'Histoire. Ces blocs énormes, hissés à telle altitude, polis, strictement assemblés, témoignent d'un monstrueux et inutile effort." Pablo Neruda s'est approché de ces hauteurs en pèlerin, venu s'interroger sur un immense et obscur martyr. Dans ce deuxième chant du Canto general, le poète entreprend une longue méditation lyrique sur la grandeur et peut-être l'absurdité d'une telle entreprise. S'interrogeant sur l'homme face au temps et face à la légende, il signe le récit, la chronique dirait-il, de la vie et de la mort, puis de la renaissance des peuples natifs de l'Amérique du Sud, au coeur des vestiges de la grande civilisation rouge.
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Les fauves rugissants et les animaux gluants ? Ils ne me font pas peur. Les garçons de ma classe qui tirent sur ma tignasse ? Ils ne me font pas peur. Être seule, le soir, dans ma chambre plongée dans le noir ? Cela ne me fait pas peur du tout. À travers les mots d'une petite fille qui n'a pas froid aux yeux, Maya Angelou délivre son secret pour combattre les terreurs infantiles : s'ouvrir au pouvoir des rêves et de l'imaginaire... Une leçon de vie d'une grande dame des lettres, poétesse, conteuse et romancière afro-américaine, figure de la lutte pour les droits civiques.
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Entre poèmes en prose et récits oniriques, les textes ici réunis sont de petits récits dramatiquement construits, riches en inventions syntaxiques, où se mêlent mystère, humour, vivacité et beauté. ©Electre 2023
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Que feriez-vous si vous étiez la dernière femme ridée sur Terre ? Une véritable ode à la vie par Sophie Fontanel.
Dans le conte qu'est Admirable, la Science a éradiqué les rides : plus personne n'en a.

Quelle n'est pas la stupeur de Siméon, jeune pianiste, lorsqu'il tombe nez à nez avec Admira, sur une route isolée du Péloponnèse, en Grèce... Admira est enjouée, mais toute striée par les signes de l'âge. Le jeune homme vient de découvrir la dernière femme ridée sur Terre.

Qui est-elle ? Et comment a-t-elle pu échapper au rajeunissement général ? Un voyage commence qui, de rencontre en rencontre, va mener Admira jusqu'au théâtre antique d'Épidaure. Pour imposer son irréductible foi en l'être humain.


***

" J'ai regardé venir mes rides, écouté toutes les sornettes. Et aussi, les vérités. J'ai croisé les peurs de chacun, de chacune, compris l'urgente nécessité, au lieu de combler les rides, de combler en nous des lacunes, des monstres qu'on se fait de tout, d'une peur pas facile à résoudre mais passionnante à amadouer. J'ai regardé les filtres jugés utiles sur un visage de vingt ans. Observé des personnes condamnées à lutter pour ressembler à une image du passé. Établi la folie du monde. Et je n'ai pas fait un pamphlet, pas un essai : j'ai fait un conte. J'ai revu The Big Lebowski et je l'ai doté d'une soeur. J'ai revu Zorba le Grec et j'ai savouré son bonheur. D'une graine de gaité, j'ai fait pousser une héroïne. Et puis j'ai vu un grand amour et j'en ai tapissé le livre. Bienvenue à vous dans le cœur de La dernière femme ridée sur terre. " Sophie Fontanel

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Dans cette anthologie qu'il avait lui-meme composée, Jacques Lacarrière livre à son public plus de cinquante ans de voyage dans l'intimité de sa poésie, une poésie nourrie de paysages, de rencontres et de mythes.
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Rassemble les poèmes d'amour écrits durant les dix dernières années de sa vie. Ils ont été publiés d'abord séparément dans cinq plaquettes : Une longue réflexion amoureuse, Le dur désir de durer, Le temps déborde, Corps mémorable et Le phénix.
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À l'occasion des 100 ans du Prophète de Khalil Gibran, œuvre cultissime traduite dans le monde entier, Zeina Abirached publie chez Seghers une version entièrement dessinée du texte intégral. Publié chez Knopf à New York en 1923 puis traduit en quarante langue, Le Prophète de Khalil Gibran est universel et intemporel. Ce conte philosophique puise dans les enseignements spirituels des trois cultes monothéistes, des grandes religions de l'Inde mais aussi aux sources d'œuvres révolutionnaires, tels les écrits de William Blake, de Nietzsche et de Jung. Depuis 100 ans, Le Prophète offre à tous ses lecteurs, dans le monde entier, une inépuisable sagesse poétique. Zeina Abirached offre ici la première version entièrement dessinée du chef-d'œuvre de Gibran. Dans une chorégraphie d'ombres et de lumières, elle nous invite à rejoindre les habitants de la cité d'Orphalèse réunis dans le soleil couchant pour questionner le jeune Almustafa sur les grandes orientations de la vie humaine : après avoir livré son message, " l'élu et le bien-aimé " embarquera sur le navire qui doit le ramener sur son île natale. Enfant du Liban et de l'exil, comme Khalil Gibran avant elle, Zeina Abirached nous propose de découvrir autrement ce texte magistral dont la force et la portée n'ont pas fini de nous surprendre. " C'est en lisant Le Prophète un crayon à la main et un carnet à dessin sur les genoux que je l'ai enfin rencontré... " Zeina Abirached " Le trait inimitable de Zeina Abirached offre un écrin de rêve à la sagesse poétique de Gibran. " Amin Maalouf
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