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« J'ai découvert que mes souvenirs ne se résumaient pas à un sentiment de mélancolie devant les choses qui, comme le temps, se sont enfuies. Ils me font aussi regarder devant moi, comprendre que je suis toujours là, encore surpris de ce qu'il peut m'arriver. » Ma musique, ma vie résulte de trois années d'entretiens entre Ennio Morricone et le compositeur Alessandro De Rosa, trois années d'échanges passionnés au fil desquels émerge, comme des variations d'un concerto, la trame d'une autobiographie unique en son genre. Si le Maestro a accedé à la célébrité grâce à ses bandes originales devenues légendaires, de nombreux pans de sa vie et de son œuvre restent méconnus du grand public. À l'approche de ses soixante ans de carrière, l'heure était donc venue pour le musicien de tout dire de ses choix, de ses échecs et de ses réussites, de ses enthousiasmes, de ses influences et admiratons. Outre son parcours, depuis ses études au conservatoire aux Oscars en 2016, c'est plus d'un demi-siècle d'expérimentations musicales et de cinéma que Morricone fait revivre, allegro e vivace, au rythme de ses souvenirs.
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"Une version hongroise de Sur la route de Kerouac" – Emmanuel Carrère "Nous philosophions absurdement, et la vie autour de nous déferlait." Qui n'a jamais rêvé de tout plaquer pour prendre la route ? Lajos Kassák, lui, a plus d'une raison de se lancer dans l'aventure. Nous sommes en 1909, il a 22 ans et, partout en Europe, une effervescence artistique et révolutionnaire fait trembler l'ancien monde. Alors il décide de quitter Budapest pour rallier à pied l'épicentre de l'agitation : Paris. C'est le point de départ d'une odyssée picaresque et libertaire qui le mènera d'un bout à l'autre du continent. En chemin, il croisera la route de l'écrivain anarchiste Emil Szittya, avec qui il s'initiera aux raffinements et combines de la vie errante. Les tribulations des deux amis offrent une cascade de situations burlesques et de dialogues truculents dont l'humour –; souvent absurde –; se révèle d'une étonnante modernité. Ode assumée à l'oisiveté, Vagabondages est une pépite oubliée de la littérature hobo, à ranger d'urgence entre les deux Jack, le Kerouac de Sur la route et le London des Vagabonds du rail. Poète, peintre et théoricien hongrois d'avant-garde, Lajos Kassák (1887-1967) se revendiqua toute sa vie comme un artiste prolétaire. Proche des dadaïstes et des surréalistes, cet autodidacte fut aussi le mentor du photographe Robert Capa. Publié en 1927, Vagabondages paraît aujourd'hui pour la première fois en France. "[Kassák] raconte les vagabondages dans l'Europe d'avant la guerre de 1914 de deux types qui sont lui et Szittya, deux espèces de trimardeurs nietzschéens. C'est un peu comme une version hongroise de Sur la route de Kerouac."–; EMMANUEL CARRERE
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" Peut-être bien le meilleur livre jamais écrit sur Hollywood. " (The New York Times Book Review) S'il fallait décerner un prix d'élégance aux acteurs, alors David Niven recueillerait tous les suffrages. Rarement le complet rayé et le trait de moustache auront été si bien portés à Hollywood, et l'on ne s'étonnera pas que Ian Fleming pût l'imaginer dans le rôle de James Bond. Est-il annoncé au casting d'un film qu'on s'attend à le voir dîner en chemise à plastron, nœud papillon et slippers aux pieds ; avec lui, on pressent surtout les dialogues ironiques et toute la panoplie de l'humour " so british " – ce tranchant de l'intelligence. Mais avant la célébrité, Niven aura connu une véritable vie d'aventures. Renvoyé pour indiscipline de plusieurs écoles britanniques, insolent à l'armée, mis aux arrêts pour insubordination, il se gagne la sympathie du geôlier en partageant une bouteille de whisky puis s'échappe par la fenêtre. On le retrouve quelques mois plus tard aux États-Unis, versé dans le plagiat littéraire, le commerce de spiritueux, la danse professionnelle et même la course de poneys, avant que le destin se ressaisisse et le pousse vers les caméras des grands studios. Ainsi débute une carrière de près de cent films avec, très vite, des rôles principaux. Niven révèle surtout une disposition pour les comédies romantiques où sa souriante désinvolture fait merveille ; il rencontre ensuite le succès international, d'abord grâce à son rôle de Phileas Fogg dans Le Tour du monde en quatre-vingts jours de Michael Anderson (1956), puis avec Les Canons de Navarone (1961) de John Lee Thompson et Les Cinquante-Cinq Jours de Pékin (1963) de Nicholas Ray. Parus et traduits en deux volumes dans les années 1970, introuvables en français depuis, ses souvenirs sont ici republiés pour la première fois. Tout refroidit vite, la gloire d'un acteur en particulier. Mais que l'on se rassure dans les librairies : peu de choses sont aussi vivantes qu'une page écrite par David Niven. "...
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