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Le jeune Ondra est asthmatique et sa mère jette donc son jouet préféré : un vieil ours en peluche nommé Kooky. Cette nuit-là, Ondra rêve que Kooky est déterminé à retrouver le chemin du retour à la maison. Dans le fantasme du garçon, l'ours se perd dans une forêt occupée par des animaux étranges et des êtres remarquables dont il n'avait jamais entendu parler alors qu'il vivait sur l'étagère à jouets de la chambre d'Ondra. Et bien sûr, même dans ce petit monde imaginaire, le vrai bien existe tout comme le vrai mal, auquel Kooky doit faire face pour devenir un véritable héros.

Il n'est pas plus haut que trois pommes et n'enlève jamais son chapeau. Il vit comme si de rien n'était dans un monde qui n'est pas à son échelle. Conduire, voyager, draguer des filles de 1, 80 mètre, rien ne lui fait peur. Il affronte des situations drôles, absurdes, ridicules, mais il est toujours à la hauteur... ou presque ! Il mesure 15 cm. Cinquante-trois épisodes d'une minute : "Le skateboard", "Classe économique", "L'anniversaire", "Spaghettis", "Dans le bus", "Au volant", "Séducteur", "Entraînement", "Vampires", "Chef d'orchestre", "Monsieur l'agent", "Un petit pas Marathon", "La bicyclette", "Un petit arbitre", "Le petit géant", "Le distributeur", "L'album photos", "Le fotomatic", "La glace", "Un peu de liquide", "Bulle de chewing gum", "Terrain collant", "Microman", "Canards affamés", "Le petit trésor", "Le pull", "Le temps de l'amour", "Ë boire", "Le petit ourson", "Taxi", "Au cinéma", "L'aspirateur", "En vacances", "Le petit artiste", "Derrière l'écran", "Cadeau de Noël", "L'imprimante", "Le petit dresseur", "Le coiffeur", "Autostop", "En vol", "Le palais des glaces", "Le petit bain", "Pique-nique", "Madame Dora", "Le chapeau", "Naufragé", "Ë la baguette", "Chez le dentiste", "Tapage nocturne", "Aux toilettes", "Café".

En 1944, Madeleine Riffaud jeune résistante exécute un Allemand. Emprisonnée, torturée par la Gestapo à 20 ans, elle échappe au peloton d'exécution ainsi qu'au train qui aurait dû l'emmener au camp d'extermination. Elle a pu ainsi participer activement à la libération de Paris. Cela la mène après 1944, en tant que journaliste, à écrire sur les guerres d'Algérie et du Vietnam, côtoyant Hô Chi-Minh ainsi que d'autres personnalités du tiers-monde et à écrire des livres tirés à plusieurs milliers d'exemplaires.

Djam, une jeune femme grecque, est envoyée à Istanbul par son oncle Kakourgos, un ancien marin passionné de Rébétiko, pour trouver la pièce rare qui réparera leur bateau. Elle y rencontre Avril, une française de dix-neuf ans, seule et sans argent, venue en Turquie pour être bénévole auprès des réfugiés. Djam, généreuse, insolente, imprévisible et libre la prend alors sous son aile sur le chemin vers Mytilène. Un voyage fait de rencontres, de musique, de partage et d'espoir. Avec : Daphné Patakia, Maryne Cayon, Simon Abkarian, Kimon Kouris, Solon Lekkas, Yannis Bostantzoglou et Eleftheria Komi Sélection officielle Cannes 2017 Compléments : 2 scènes inédites Diaporama de photos de tournages de Pierre Marsault Diaporama de dessins de Tony Gatlif Version française - DVD Pal Zone 2

Dans un futur proche, les déclassés et déshérités de la société se fédèrent en hordes barbares et tentent de conquérir les villes... Sous une fausse identité, un policier limogé infiltre le mouvement...

Pour Dandin, riche paysan, il ne manque plus que le prestige d'un nom et d'une épouse. Il arrive a ses fins en renflouant sa belle-famille qui en échange lui donne un titre, "Monsieur de la Dandiniere" et une épouse, Angelique. Mais le prestige a son revers qui la s'appelle Clitandre, qui non seulement courtise Angelique mais tourne a tout propos Dandin en ridicule. D'après l'oeuvre de Molière "George Dandin ou le mari confondu".

Un programme de trois films avec Jeanne Starewitch, Nina, adolescente, pour fil conducteur. Une narration nourrie de mélanges inattendus d'animation et de vues réelles, d'images composites et d'effets spéciaux très surprenants dans ces années 1920. Contient : "La petite chanteuse des rues" (1924, couleurs par virage et teintage, 15') ; "La petite parade" (1928, couleurs par virage et teintage, 23'09") ; "L'horloge magique" (1928, couleurs par virage et teintage, 32'56").

Julia, mariée depuis deux ans, avoue à son mari, Werner, qu'elle a eu un enfant six ans plus tôt et qu'elle l'a abandonné. Puis, elle veut le récupérer et l'enlève à ses parents adoptifs, les Kostrowitz. M. Kostrowitz, effondré, monte sur la cheminée de l'usine où il travaille et annonce qu'il sautera si l'enfant ne lui est pas rendu.