Un goût du jeu collectif irrigué de références au langage jazz de la grande époque (années 40 à 60). On pense souvent à Mingus et à son jazz workshop flamboyant. Il y a du Carla Bley en Sophia Domancich. Au piano, elle agrémente son jeu d’accords soul, blues ou churchy, comme baignés par les eaux du Mississippi. Une dette envers Ellington, un goût pour les libertés des sixties..