La chanteuse, auteur-compositeur et compositrice visionnaire retrouve ses racines à La Havane. Un nouvel album vibrant et ensoleillé soutenu par un groupe de musiciens cubains. Le nouvel album de Daymé Arocena est un retour vivant à ses racines à La Havane. Soutenu une fois de plus par un groupe de musiciens cubains, Daymé a produit le disque elle-même, prenant les rênes pour faire de Sonocardiogram sa sortie la plus brutale et la plus saisissante à ce jour. Disque d'inspiration jazz enraciné dans les rythmes de la rumba, elle s'inspire des rituels entrelacés et parle de la famille, de la musique et de la religion. Sonnant avec des échos de grands noms, les chansons rappellent Tito Puente et La Lupe, des inspirations qui résonnent comme le quotidien cubain ensoleillé et vivant. Les fréquences sacrées du tambour batá, soulignées par les fréquences sacrées des ode à la Santería, sont traduites par un jeu de percussions occidentales. C'est une fenêtre enivrante dans la vision du monde d'une artiste singulière. Elle est devenue une voix importante dans la musique latine, Daymé a collaboré avec des pairs influents de la musique cubaine, tels que Roberto Fonseca, et des poids lourds américains, tels que Dexter Story et Miguel Atwood-Ferguson. De sa récente apparition au Primavera Festival à ses tournées à guichets fermés au Japon et aux États-Unis, elle continue d'attirer les foules partout dans le monde.