Aller au contenu principal

9 résultat(s)

ImpriméDisponible
couverture du document
Cinq quadragénaires sont ou ont été amis. Issus de la même grande école, ils font partis de l'élite politico-économique. La disparition de l'un d'entre eux va bouleverser leurs plans et les révéler à eux-mêmes.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
couverture du document
Médecin-chercheur en cancérologie à Paris, après avoir travaillé à Stanford dans la Silicon Valley, Jean-Emmanuel Bibault est aussi un geek de la première heure. Adolescent dans les années 1990, il programme des jeux et crée un site-hommage à son réalisateur préféré, Stanley Kubrick. Devenu chef de clinique, sa thèse sur le Machine Learning appliquée à la cancérologie est distinguée par l'Académie nationale de médecine. Dans ce premier livre à destination du grand public, il montre comment les techniques d'intelligence artificielle bouleversent la pratique de la médecine. De l'épidémiologie au traitement, en passant par chaque étape du parcours de soins, et dans toutes les spécialités. Alors que la médecine s'apprête à vivre des changements radicaux, Jean-Emmanuel Bibault questionne les enjeux de cette révolution et nous plonge dans la peau du patient du futur. Une odyssée captivante à l'horizon 2040.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
couverture du document
« Ma curiosité a toujours été aussi insatiable que peu dirigée. Les galaxies sont des phénomènes naturels qui me fascinent, mais je pourrais en dire tout autant du vol synchronise? des nuées d'étourneaux, des océans souterrains des lunes de Saturne, de l'émergence de la conscience chez les êtres humains ou du comportement déroutant des particules élémentaires. C'est ainsi que j'ai fini par me sentir a? l'étroit dans ma propre discipline. Un comble, pour quelqu'un qui pensait consacrer sa carrière a? étudier les structures les plus vastes du cosmos ! » À la fin de sa thèse, l'astrophysicien Sébastien Carassou s'est lancé dans un pari fou : examiner dans quelle mesure les sciences du XXIe siècle permettent de répondre a? nos questions existentielles. Le Cosmos et nous est l'aboutissement de ce travail d'investigation. Un voyage merveilleux a? la rencontre des cataclysmes célestes qui ont forgé nos atomes. Une étude au scalpel de la réalité, a? la recherche de ses constituants les plus fondamentaux. Et une enquête haletante sur la nature des liens invisibles qui tissent, depuis des milliards d'années, la toile du vivant sur Terre. Et si le miracle de la vie avait pu se produire ailleurs ?
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
couverture du document
13 février 1981. Un soir de permission, Gilles, un jeune appelé, disparaît mystérieusement au bord d'une nationale morne et glacée des Argonnes. Du côté des autorités, personne ne prend cette disparition au sérieux. Ni la police qui refuse de lancer une enquête. Ni l'armée qui le déclare déserteur, un de plus parmi les six mille qu'on dénombre chaque année. Jocelyne refuse d'y croire. Elle connaît son fils. Jamais il ne fuguerait à trois mois de la quille, alors que sa fiancée adorée attend un enfant de lui. À mesure que les jours défilent et qu'on commence à craindre le pire, vient s'ajouter à la détresse de cette famille l'humiliation de se sentir inaudible et désavouée par les institutions. Les laisserait-on tomber si c'était le fils d'un ministre et non d'un ouvrier ? Quelques mois plus tard, un autre jeune homme manque à l'appel… S'inspirant d'une affaire non résolue qui défraya la chronique, Julie Peyr signe avec Les Disparus des Argonnes une subtile fresque sociale et un grand roman d'atmosphère.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
couverture du document
Il y a d'abord Julia. Mère de deux enfants, Lucie et Antoine, devenus des adolescents de plus en plus distants et bien peu loquaces. Le jour, elle préfère se tenir loin du tumulte du quotidien, plongée dans les vies et manuscrits des autres qu'elle tente de faire obéir aux règles et contraintes grammaticales. La nuit, elle s'inquiète, incorrigible, pour les siens. Pourtant, pour eux, « tout roule », comme dirait Lucie, l'école, les amis et même « l'après » déjà tout tracé. Et puis, soudain, Lucie sombre dans le silence. Au creux de son ventre, se logent bien des soucis, et, pour Julia, l'impensable. Pas elle, si sage, si raisonnée, si prudente. Mère et fille embarquent dans un voyage qui les conduira jusqu'à la maison-tanière de Rose, confidente, modèle et refuge de Julia depuis l'adolescence. Trois générations de femmes se retrouvent alors sous le même toit, unies par ce lien invisible entre leurs ventres, leurs peurs, leurs révoltes et ces désirs qui ne s'évanouissent jamais tout à fait. Avec une acuité bouleversante et une finesse singulière, Coralie Bru parvient à raconter à la fois l'anodin et l'exceptionnel et à esquisser, à travers Julia, Lucie et Rose, la véritable histoire d'une filiation féminine contemporaine.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
couverture du document
Paru pour la première fois en 1894, cet ouvrage présente la vie quotidienne souvent méconnue des animaux familiers ou sauvages, du chat au lion, en passant par le castor, le lapin, le loup et l'ours.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
Livre numériqueNon disponible
couverture du document
L’été venait de commencer quand je partis chercher les fées sur la côte atlantique. Je ne crois pas à leur existence. Aucune fille-libellule ne volette en tutu au-dessus des fontaines. C’est dommage : les yeux de l’homme moderne ne captent plus de fantasmagories. Au XIIe siècle, le moindre pâtre cheminait au milieu des fantômes. On vivait dans les visions. Un Belge pâle (et très oublié), Maeterlinck, avait dit : « C’est bien curieux les hommes… Depuis la mort des fées, ils n’y voient plus du tout et ne s’en doutent point. » Le mot fée signifie autre chose. C’est une qualité du réel révélée par une disposition du regard. Il y a une façon d’attraper le monde et d’y déceler le miracle de l’immémorial et de la perfection. Le reflet revenu du soleil sur la mer, le froissement du vent dans les feuilles d’un hêtre, le sang sur la neige et la rosée perlant sur une fourrure de mustélidé : là sont les fées. Elles apparaissent parce qu’on regarde la nature avec déférence. Soudain, un signal. La beauté d’une forme éclate. Je donne le nom de fée à ce jaillissement. Les promontoires de la Galice, de la Bretagne, de la Cornouailles, du pays de Galles, de l’île de Man, de l’Irlande et de l’Écosse dessinaient un arc. Par voie de mer j’allais relier les miettes de ce déchiquètement. En équilibre sur cette courbe, on était certain de capter le surgissement du merveilleux. Puisque la nuit était tombée sur ce monde de machines et de banquiers, je me donnais trois mois pour essayer d’y voir. Je partais. Avec les fées.
Veuillez-vous connecter
ImpriméNon disponible
couverture du document
Non disponible
Veuillez vous connecter pour réserver