Recueil de contes tunisiens qui s'articulent autour d'un récit-cadre. Un roi, féru de contes met ses sujets au défi de lui raconter d'extraordinaires histoires. Chacun entreprend alors de lui raconter un récit merveilleux.
A chaque lettre de l'alphabet correspond un pays (hormis X et W). Sur chaque double page, un portrait sur fond de collages et les mots Je t'aime traduits dans une des langues en usage dans ce pays.
Des enfants, partis jouer au champ, trouvent une courge, qui, après, moult péripéties, grandit, grandit, et avale tous les gens du village sauf une vieille dame. Celle-ci met au monde un garçon, qui, devenu grand, part à la recherche de la courge.
Un papa lointain, absent, c'est peut-être aussi un papa seul. Une maman fière, débrouillarde, c'est peut-être une maman fragile. Un enfant s'adresse à son père qu'il ne connaît pas et qui lui manque.
Au milieu de la forêt qui borde le village de Bigaroque, se trouve un puits dit le puits du diable. Un soir, un défi est lancé à Eric-le-Roc : descendre dans le puits et en remonter trois poils de la barbe du diable...
Après plusieurs pêches infructueuses, un pauvre pêcheur remonte un vase dans son filet. A l'intérieur se trouve un génie si aigri par les longs siècles d'attente dans son vase qu'il s'est juré de tuer celui qui le délivrera. Pour sauver sa vie, le pêcheur n'a que son intelligence et sa ruse. Conte des mille et une nuits.
Journal du voyage que l'auteur entreprit au Maroc en 1791. On y trouve des portraits, des récits, des notations ethnologiques, politiques, historiques, botaniques etc. Outre sa belle qualité littéraire, ce texte, qui dénote une rare érudition et un sens aigu de l'observation, constitue un document historique d'une grande valeur sur le règne du souverain alaouïte Moulay Yazid.
A la veille d'élections qu'il risque de perdre, le gouvernement s'allie avec le Cercle des Superstitieux, organisation bien décidée à exterminer tous les chats noirs, sources de tous les maux selon eux. Sur leur route va se dresser le narrateur, un chat noir qui n'a pas sa langue dans la poche.
Retrace la vie de G. Sand (1804-1876), née Aurore Dupin : son enfance dans la propriété de sa grand-mère, Nohant, sa vie amoureuse, ses opinions politiques, ses débuts littéraires avec "Indiana" en 1832, sa vie avec de F. Chopin de 1838 à 1846, etc.
Vingt contes évoquent des thématiques variées de la société arabe traditionnelle et moderne, à travers des personnages comme un roi plein de sagesse, un cordonnier cupide ou une magicienne.
Recueil de lettres envoyées par l'auteur à sa mère lors du voyage qu'il entreprit en 1784 en Turquie et en Egypte. On y trouve une foule d'observations ethnologiques d'une étonnante originalité. Le recueil est suivi de quatre apologues (récits) orientaux à la manière de Saadi.
Un coquillage est associé à des objets qui n'ont a priori rien de commun avec lui, comme une sucette, un tutu ou une théière. Cette histoire conduit le jeune lecteur à imaginer d'autres associations.
C'est la rentrée et Léo se réjouit de retrouver ses camarades. Dans sa classe un nouveau, Camille, intrigue par son comportement étrange. Certains se moquent de lui, d'autres cherchent la bagarre. D'autres encore sont attirés par son air rêveur et surtout par sa règle d'or qu'il a inscrite au crayon dans son cahier.
C'est la guerre. Nour passe toutes ses nuits sur le toit de la maison familiale, malgré l'interdiction de son père. Un matin, la maison est déserte. Nour commence alors un long voyage initiatique.