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Ann O'aro aime tout ce qui touche au mouvement du corps, des rythmes et de la voix : "Je viens des arts martiaux et de la musique, avant de choisir le maloya pour chanter sur des sujets intimes et tabous". Son écriture sauvage s'imprègne des langages accidentés ou des tics langagiers : une fulmination poétique branchée sur les tabous insulaires et les émotions fortes, la violence sexuelle, l'inceste et les passions amoureuses. Comme dans "Kap Kap", une de ses chansons écrite dans le créole de la Réunion, son île natale. Un fonnkér cru et cinglant qui décrit l'étreinte d'un père incestueux, qui embrasse la folie et la violence d'une pulsion criminelle dans toute sa banale sauvagerie : "Amoin, marmay, bonom, lo lou, tousala ansanm, mi mor pour rash aou in kri, kan mêm sa pal amour / Moi l'enfant, l'homme, le loup, tout à la fois, je meurs de t'arracher un cri, à coup de griffes, à coup de queue, même si ce n'est pas un cri d'amour". Et le chant d'Ann jaillit, un chant qui plonge dans la réalité et n'a pas peur des ombres.
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"Bonga" Jean-Baptiste est né à Croix-des-Missions, La Plaine, Haïti, d'une lignée ancrée dans la tradition vaudou. Dès son enfance, il assiste aux cérémonies dans le péristyle familial, puis il voyage à travers Haïti et se passionne pour les différentes formes de rituels...Ensuite il devient " houngan " (maître de cérémonie) puis initiateur. Sa vie entière est dédiée à la richesse de la culture vaudou. Membre fondateur des groupes haïtiens emblématiques du mouvement " racine ", Boukman Eksperyans et Foulà, Bonga Jean-Baptiste s'est installé aux États-Unis dans les années 90, alors que les musiciens américains relayaient la voix du peuple haïtien. Depuis lors Bonga a continué à jouer en solo ou en groupe dans de nombreuses salles à travers le monde. Il fut mis en vedette avec Peter Yarrow, Grace Jones, Dan Zanes et Urban Tap, pour n'en citer que quelques-uns. Il a participé à la première new-yorkaise de la tournée "Voodoo Lounge" des Rolling Stones et il figure en bonne place sur les enregistrements de Wyclef Jean et Salif Keita. Les enregistrements contenus dans cet album visent à témoigner de l'esprit même de la tradition que Bonga s'efforce avec opiniâtreté de faire connaître et de préserver au fil des ans. Bonga agit comme un pont, un interprète qui fournit le contexte qui accompagne ces rituels spirituels hauts en couleur. "Boula" propose à l'auditeur une approche chantée couvrant un large éventail de rythmes et de mélodies lyriques sous une forme condensée. Les récits traditionnels et personnels s'entremêlent et alimentent les thèmes des invocations. Puisse ce projet ouvrir la voie à la guérison, qui est la véritable essence du rituel dans le "vieux monde".
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« Après 7 albums consacrés indirectement à l'héritage culturel maternel (origines juives de Transylvanie), j’ai conçu « Songs for the Old Man » comme une ré-interprétation de l'exil américain de mon père parti dans les années 50 aux Etats Unis. Un recueil de folk songs clarinettistiques que je "chante" pour mon père, à mon père, mais aussi à tous ceux qui passent leur vie sur la route, les nomades, les hobos, les déplacés, les réfugiés, avec l’envie de mélanger mes influences diverses d’Europe de l’Est à « l’americana ».
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