Les femmes... Ah les femmes... mères et compagnes, femmes des autres, dames d'un jour, hantise de toujours... Et puis les jeunes gens grandissent et n'écoutent plus leur père. Le temps a tout usé… Les maisons deviennent hostiles, le monde devient flou, Pierucci se perd. Cette obscurité l'envahit peu à peu, dans la valse folle des morts et des vivants. Terrazoni le banquier, est retrouvé mort dans une chambre close, tandis qu'ailleurs on tue sans que personne ne le sache, et ici, le commissaire de Bonifacio tourbillonne, s'enfonce, comme un bois flotté dans la tempête. Et la Corse lutte contre ses démons... Armand Pierucci fait son grand retour dans ce 10ème opus qui clôture la série : une émotion qui dure bien après l'ouvrage refermé…