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Ce recueil réunit des textes (environ 80 extraits) de grands auteurs de la sociologie, couvrant les grands domaines de la discipline : cultures et civilisations ; structures et hiérarchies sociales ; sexes, parenté et famille ; lien social : échange, pouvoir et organisation ; socialisation, déviance et régulation sociale ; action collective et conflits.
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La présente initiation à l'ethnologie s'adresse non seulement à un public d'étudiants, mais aussi au lecteur désireux de se familiariser avec les fondamentaux de la discipline. Sont abordés les grands courants de pensée, auteurs et chercheurs qui ont fait son histoire, ainsi que les méthodes et concepts de base. Les domaines essentiels de la recherche ethnologique - parenté, politique, économie, religion, sans oublier les techniques d'enquête - sont également présentés, depuis l'évolutionnisme et le diffusionnisme jusqu'au structuralisme de Lévi-Strauss et aux recherches néo-marxistes de l'école française, en passant par l'école d'anthropologie culturelle américaine et l'anthropologie sociale britannique. L'auteur privilégie une vision globale comparative de ces courants de pensée, faisant valoir les influences réciproques entre les écoles et le rôle joué par le " recours méthodologique " à certaines sciences voisines, plutôt qu'une optique historique linéaire. Des textes de référence ou d'approfondissement des grands concepts de base, à la fois généraux (culture, structure...) et spécifiques à certains domaines de la discipline, illustrent cet ouvrage de synthèse. Cette troisième édition, entièrement revue et mise à jour, s'enrichit d'un chapitre consacré à la recherche anthropologique de la fin du XXe et du début du XXIe siècle.
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Réflexion, parfois ironique, à travers le concept de liquidité, sur les rapports individuels, collectifs, privés, publics, politiques, au sein de la modernité. L'auteur propose des pistes pour mettre fin à la généralisation de la peur de rester à la traîne, de rater le changement, de l'obsolescence, dans le contexte de la mondialisation.
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L'auteur brosse un tableau sans équivalent des transformations sociales dans l'Algérie des années 60 aux années 80, qui éclaire d'un jour singulier les deux questions majeures et intimement liées à ses yeux : l'évolution de la place des femmes et l'émergence de l'islam politique.
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Préface de Clémentine Autain « Ce livre est un défi. Un défi à la mort, au silence, à la violence sociale et psychologique. Lise Poirier Courbet répond à un vœu que je formule depuis des années et des années pour que des études nous aident à mieux comprendre ce qu'est le viol, ce qu'il détruit, comment se reconstruire après. Les recherches font cruellement défaut alors que le viol, atteinte fondamentale à la dignité humaine, est un phénomène de masse. Avec cet essai vivant, clair, juste et subtil, nous y sommes.L'auteure nous raconte la mort du sujet qu'implique le viol, la sidération, la honte, la culpabilité, l'état de dissociation qui coupe les victimes de toute émotion. Elle nous parle aussi, à travers les récits concrets de huit femmes, des conditions de la libération de la parole, de ces mots prononcés et entendus qui permettent de revivre. Son ouvrage porte le sceau très contemporain d'une démarche partant de celles qui ont réussi à « en faire quelque chose » pour mieux aider celles qui cherchent encore à « s'en sortir ». Il ne s'adresse pas qu'aux femmes qui cherchent leur chemin après un viol mais aussi à toutes celles et ceux qui, parmi leurs relations ou dans leur vie professionnelle, sont amenés à cheminer avec une femme victime de viol. A toutes celles et ceux enfin qui, épris d'égalité et de justice, veulent saisir ce que nous avons à défaire et à inventer pour vivre mieux. Ensemble. » Clémentine Autain
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Une lecture sociologique des innovations managériales en cours, qui tendent à faire oublier les véritables objectifs des employeurs : continuer à mettre en œuvre la subordination des salariés, seule garantie de leur exploitation « légitime ». Les salariés sont pris dans un dilemme qui les met en grande vulnérabilité. Au-delà du besoin financier qui les tient, et malgré les contraintes permanentes qu'impose la subordination inscrite dans leur statut, ils ont pour leur travail de réelles aspirations en termes de sens, d'utilité sociale, d'identité professionnelle et citoyenne. Cette situation permet aux directions d'entreprise d'asseoir et de pérenniser leur emprise sur leurs salariés, de façon de plus en plus savante et sophistiquée. En stimulant et exacerbant les désirs qui sous-tendent leur rapport au travail, elles parviennent à imposer de nouvelles méthodes d'organisation et d'implication des salariés, toujours plus déstabilisantes et délétères. Danièle Linhart décrypte la capacité patronale à faire renaître, sans cesse, sa domination, afin de préserver, voire sublimer, un lien de subordination qui devient de plus en plus personnalisé et intrusif, et qui compromet toute capacité collective des salariés à s'emparer des véritables enjeux du travail. Des DRH « bienveillantes » et préoccupées du « bonheur » de leurs salariés aux « entreprises libérées » par leur leader, en passant par l'esprit start-up et l'offre éthique, l'auteure analyse tous ces faux-semblants des innovations managériales qui paralysent l'intelligence collective.
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La présence d'enfants non accompagnés dans nos rues est devenue suffisamment rare pour susciter la curiosité, l'interrogation, voire la réprobation. En effet, dans les sociétés occidentales contemporaines, l'enfant a progressivement désinvesti l'espace urbain extérieur pour devenir un «enfant d'intérieur». Si de nombreux facteurs interviennent dans ce processus, le rôle des parents est primordial : les ressources culturelles et matérielles dont ils disposent, les souvenirs qu'ils gardent de leur propre enfance, les pratiques éducatives qu'ils mettent en œuvre, les normes de comportement et de présentation de soi qu'ils transmettent concourent à façonner la perception d'un espace extérieur plus ou moins accueillant, plus ou moins sûr chez leurs enfants. Comparant deux quartiers de Paris et de Milan, Clément Rivière s'appuie sur de nombreux entretiens et des observations de terrain pour identifier les dynamiques qui encadrent la socialisation des enfants aux espaces publics. Il s'intéresse également à la différenciation de cette socialisation selon les sexes, selon les milieux sociaux et selon les contextes nationaux et locaux, ainsi qu'aux inégalités qui en découlent
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A partir d'une enquête menée entre 2005 et 2015 auprès de 97 entreprises françaises, les auteurs analysent les logiques sociales du processus de création des start-up. Les études révèlent que les fondateurs de ces structures sont le plus souvent plusieurs et s'appuient dans les débuts sur leurs relations personnelles. Ces sociétés sont, comme les autres entreprises, confrontées à des difficultés. ©Electre 2019
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