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Une puissante œuvre qui traite de la mémoire et de l'oubliSur les berges d'une rivière, une femme est découverte, le corps brisé, amnésique, sans passé et sans nom. Le Dr Wu la nomme Ding Zitao, la soigne et finit par l'épouser. De cette union naîtra un fils, Qinglin.À la mort de son père, ce dernier, devenu homme d'affaires, offre à sa mère une retraite paisible dans une grande maison. Mais la vieille dame sombre dans une étrange apathie, et reviennent alors à son fils des détails auxquels il n'avait pas pris garde : son talent pour la broderie, sa connaissance des classiques... Folie ou réminiscences ?Pour répondre à ces questions, Qinglin décide d'aller au-devant de son passé, dans cette Chine rurale qui se souvient encore… Et, à mesure qu'il déroule le fil de son histoire, c'est celle de son pays, de la Réforme agraire à la Révolution culturelle, dans ce qu'elle a de plus sombre, qui s'ouvre à lui.Un roman puissant sur la transmission, la tentation de l'oubli et le devoir de mémoire.Traduit du chinois par Brigitte Duzan, assistée de Zhang Xiaoqiu.  À propos de l'autriceÉcrivaine éminente dans le paysage littéraire chinois, Fang Fang est l'autrice d'une œuvre prolifique, dont Soleil du crépuscule (Stock, 1999), Début fatal (Stock, 2001) et Wuhan, ville close (2020), traduit dans 20 pays. « Ce roman est une herbe vénéneuse qui envoûte le lecteur. »  François Bougon,  Le Monde«  Une œuvre délicate qui induit une réflexion sur la tentation de l'oubli et le devoir de mémoire.  » Femme Actuelle« Un grand roman pour comprendre un épisode mal connu de l'histoire de la Chine. » Libération«  Avec  Funérailles molles, l'écrivaine Fang Fang signe un roman subjuguant sur les années qui ont suivi l'arrivée de Mao au pouvoir.  »  Le Monde des livres
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«  Un jour, j'ai acheté un Berlingo. J'ai mis quelques cartons dans le coffre et je suis partie. J'ai pris la route comme ça. Après ma journée de boulot, comme on part en week-end. J'ai avalé les kilomètres, en écoutant King of the Road, de Roger Miller. Et enfin. Les pins. Les dunes. Les embruns. L'appartement. J'ai éventré les cartons. Trouvé mon maillot de bain. Et je suis allée me jeter dans les vagues.  »Au rythme des saisons et des vagues de la Sud, la grande plage près de laquelle elle vient de s'installer, Anaïs retrouve les souvenirs qui habitent en elle. Devant l'étonnante simplicité des choses, tout quitter signifie la réconciliation avec soi.  À propos de l'autriceAnaïs Vanel, autrefois éditrice, se consacre aujourd'hui à l'écriture et à sa nouvelle vie dans les Landes. Tout quitter est son premier roman.«  Le surf, l'écriture, les retrouvailles avec son corps, [Anaïs Vanel] raconte l'étonnante facilité à changer de vie.  » Grazia«  Un instantané d'une nouvelle vie, écrite avec précision, comme une épure.  » Ouest France
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«  Je m'appelle James et je suis exquise...  »Certains disent qu'on est des monstres, des fous à électrocuter. Nous sommes des centaures, des licornes, des chimères à tête de femme. Les plus jolis monstres du monde.Au début des années sida, James est l'une des plus belles drag-queens de New York. La légende des bals, la reine des cabarets, l'amie fidèle des club kids et des stars underground. Quand, trente ans plus tard, il devient le mentor de Victor, un jeune père de famille à l'humour corrosif, James comprend que le monde et les mentalités ont changé.Au cœur d'une Amérique toujours plus fermée et idéologique, ce roman tendre mais bruyant est une ode à la beauté, à la fête et à la différence. Une prise de parole essentielle.  À propos de l'auteur  :Auteur de fiction et de plusieurs textes pour la jeunesse, Julien Dufresne-Lamy a 31  ans et vit à Paris. Après Les Indifférents (Belfond, 2018), Jolis jolis monstres est son quatrième roman, salué par la critique et couronné de plusieurs prix.«  Un récit enivrant  »  Transfuge  «  Un style qui ressemble à la détermination de son héroïne. Pas question de regarder derrière. Toujours devant.  » Une heure en séries, France Inter  «  Un tableau fluo et baroque boosté par une écriture nerveuse  »  Rolling Stones«  Chez Dufresne-Lamy, la langue est rythmée, pleine de percussions et de variations.  »  ; «  Éxubérant et intime à la fois  » Slate«  Un roman pomme d'amour qui chante les différences, dissout le vernis rouge dans un grand verre de vodka  » Focus Vif
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Chaque printemps, Shelly et Laura traversent les États-Unis pour suivre la floraison du lilas. En plus de leur offrir quelques mois de lilas supplémentaires, ce périple leur permet de faire passer clandestinement la frontière canadienne à des femmes en fuite qui veulent refaire leur vie. Cette année, elles accueillent Maria Pia, sexagénaire brésilienne, à bord de leur camping-car. Initiée au rite de l'écriture sous l'influence du parfum enivrant du lilas par ses deux compagnes de voyage, Maria Pia dévoile au fil des jours et des pages les raisons de sa cavale, son histoire ainsi que celle des femmes qui ont marqué sa vie. Entre passé, présent, mythe et réalité, du Tennessee à Montréal en passant par Rio et Paris, ces histoires enchevêtrées dessinent une ode à la résilience et à toutes les femmes du monde.    propos de l'auteur :Éric Dupont est un écrivain québécois. Professeur de traduction à l'université McGill, il est l'auteur de cinq romans, dont La fiancée américaine (Le Marchand de feuilles, 2012), grand succès de librairie au Québec et en France, bientôt traduit aux États-Unis.
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De la Corée au Japon, une fresque familiale sur les routes de l'exilDébut des années 1930. Dans un petit village coréen, la jeune Sunja se laisse séduire par un riche négociant étranger. Lorsque cette dernière tombe enceinte et découvre que son amant est déjà marié au Japon, elle refuse le marché qu'il lui propose : devenir sa seconde épouse, « l'épouse coréenne ».Pour éviter la ruine et préserver sa famille du déshonneur, Sunja choisira une troisième voie : le mariage avec Isak, un pasteur chrétien qu'elle connaît à peine et qui lui offre une nouvelle existence au pays du Soleil-Levant. Cette décision est alors le point de départ d'un douloureux exil, qui sur huit décennies et quatre générations.Avec une justesse historique remarquable et une écriture précise et dépouillée, Min Jin Lee nous offre un hymne intime et poignant à tous les sacrifices que font les immigrés pour trouver leur place en pays étranger.Traduit de l'anglais (États-Unis) par Laura Bourgeois.À propos de l'autriceNée à Séoul, MIN JIN LEE a immigré aux États-Unis avec sa famille à l'âge de sept ans. Elle vit aujourd'hui à New York. Pachinko est son deuxième roman.«  Une histoire puissante sur la résilience et la compassion.  » Barack Obama« Un immense roman qui bouleverse, charme et détend  comme la plus brillante des sagas. […] Un choc de plaisir. »  Gérard Collard, La griffe noire«  Min Jin Lee met en lumière l'histoire de la Corée dans un roman de qualité.  »  Ouest-France«  Un récit dense, complexe et émouvant.  » Huffington Post
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L'incroyable voyage d'Agatha ChristieOctobre 1928. Déjà célèbre après le succès du Meurtre de Roger Ackroyd mais en plein divorce, Agatha Christie fugue à bord de l'Orient-Express sous une fausse identité, tentant d'échapper au fantôme de son ex-mari.À bord de ce train mythique qui doit la mener à Istanbul, elle fait la connaissance de Nancy et Katharine. Elles aussi ont des choses à cacher. La première fuit un mari violent. La seconde part rejoindre son futur époux sur un site de recherches archéologiques. Et c'est à Ur, en Mésopotamie, qu'un drame survient… un drame aux répercussions inattendues.Inspiré d'un épisode méconnu de la vie de l'écrivain, ce roman explore l'amitié forgée par les épreuves et le pouvoir des secrets.Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Philippe Vigneron  À propos de l'autriceTitulaire d'un master en criminologie, Lindsay Ashford a été reporter pour la BBC avant de signer des articles pour nombre de quotidiens anglais. La Dame de l'Orient-Express  a été traduit dans dix pays.«  Un roman émouvant sur la force de l'amitié et le poids des secrets.  » Prima«  Une lecture agréable, qui donne un aperçu d'un point clé de la vie d'Agatha Christie.  » Le Tarn libre
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Une plongée dans le monde de l'art à la recherche de ses grandes oubliéesPeter et Petra Wolf forment le couple le plus en vue de la scène artistique allemande depuis les années  1990. Il est l'artiste maudit de l'Est dont on a perdu la trace, elle est l'ancienne professeure d'arts plastiques venue de l'Ouest considérée comme la gardienne du génie de son homme. Une femme sans talent qui divise dans un pays coupé en deux.Trente ans après la chute du Mur, alors qu'une biographie est en préparation au sujet du duo culte, un mystère plane sur les circonstances de la disparition de Peter.Qui a tué le peintre  ? Usurpation d'identité, fraude, faux et usage de faux  : tout accuse Petra. L'enquête, entre Paris, Berlin et New York, révélera ce que la légende, jusque-là, avait tu.Un vibrant premier roman qui pose la question de la place des femmes dans les mondes de l'art.  À propos de l'autriceSophie Pointurier  est enseignante-chercheuse et directrice de la section Interprétation en langue des signes à l'ESIT (École supérieure d'interprètes et de traducteurs) – université Sorbonne-Nouvelle.  «  Un premier roman addictif. Une réussite.  » Claire Julliard,  L'Obs«  La force du livre, c'est la place qu'elle donne aux femmes ! » Lucas Schrub, RTL«  Ce thriller sociétal à l'envol palpitant offre une plongée rare dans le monde de l'art contemporain, abordant le sexisme qui y règne, livrant avec générosité des détails délicieux qui racontent l'époque du rideau de fer. Dans cette "ostalgie", idées reçues et clichés contemporains en prennent pour leur grade.  » Emmanuelle Jowa, Paris Match (Belgique)«  Une quête passionnante avec des personnages mythiques.  » Alexandre, Librairie Port Maria«  Sophie Pointurier s'interroge sur la place de la femme dans l'art, et restitue avec talent l'atmosphère sous la Stasi et le bouillonnement culturel dans les galeries officielles et underground.  » Avantages«  C'est vraiment passionnant  […]  C'est un livre que vous ne lâchez pas  !  » ...
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« Maman et moi vivions ici depuis un peu plus de trois ans quand nous avons reçu le coup de fil. Au milieu des pins, des chênes et des bouleaux, au bout de ce chemin sans issue que deux autres propriétés jalonnent.C'est elle qui m'avait proposé de nous installer ici. Et je n'étais pas contre. J'avais grandi dans cette forêt. Le lieu m'était familier, et je savais que nous nous y sentirions en sécurité. Qu'il serait le bon endroit pour vivre à notre mesure. »À distance du monde, une fille et sa mère, recluses dans une cabane en forêt, tentent de se relever des drames qui les ont frappées. Aux yeux de ceux qui peuplent la ville voisine, elles sont les perdues du coin. Pourtant, ces deux silencieuses se tiennent debout, explorent leur douleur et luttent au cœur d'un hiver qui est bien plus qu'une saison : un écrin rugueux où vivre reste, au mépris du superflu, la seule chose qui compte.Dans un rythme tendu et une langue précise qui rend grâce à la Nature jusqu'à son extrémité la plus sauvage, Aurélie Jeannin signe un premier roman comme une mélancolie blanche, aussi puissant qu'envoûtant.  À propos de l'autriceAurélie Jeannin est conceptrice-rédactrice, consultante spécialisée en identité de marque. Elle vit avec son mari et ses enfants en forêt, quelque part en France.«  Un premier roman étincelant.  » Madame Figaro«  Une poésie sidérante qui fait écarquiller les yeux de la première à la dernière page.  » Causette«  Un premier roman magnétique.  » Page des libraires
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Il pleut sur Montfavet ce jour-là. Il pleut sur la voiture dans laquelle Lili, révoltée, malheureuse, se sent étouffer. Devant elle, les grilles d'un hôpital psychiatrique. Son mari, Hector, prétend que c'est pour elle la seule solution. Hector que tout le monde admire, adule ;  Hector qui sait quoi penser et infliger aux autres. Pour Lili, la vie bascule. Derrière les murs, cependant, il y a des êtres merveilleux, étonnants, attachants. Antonin, notamment,  ou encore le Mage. Derrière les murs, surtout, il y a les pages nécessaires d'un journal intime, qui ramènent Lili à ses secrets, à ses douleurs et à son village natal de Corse, où tout se sait et tout se tait.Portrait d'une femme magnifique en lutte avec une existence qui la brise, ce  premier roman de Philippa Motte s'impose comme un hymne à la transmission.  À propos de l'autricePhilippa Motte est formatrice et consultante spécialisée sur les thématiques de la santé mentale et du handicap psychique au travail. Le jour où ma mère m'a tout raconté  est son premier roman.«  Philippa Motte est une pionnière.  » Le Monde«  Un texte très puissant qui évoque la condition d'une femme, des femmes.  »  France bleu RCFM«  Un bijou de tendresse  et de subtilité. »  Gérard Collard, Librairie de La Griffe noire 
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À quoi tient la vie  ? À nos liens invisibles. Nous, inconnus, sommes raccordés sans le savoir. Nos existences se percutent en silence.Eddy, onze ans, découvre une SDF morte dans la rue. Piqué par la curiosité, il fourre dans sa poche un Photomaton qui traînait près d'elle, où deux personnes sourient.  Vingt ans plus tard, alors qu'il vide l'appartement de son enfance, Eddy retombe sur ces photos volées. Pour rendre à son inconnue l'histoire qu'il lui a confisquée, il se lance dans une enquête, à la recherche de ceux qui l'ont aimée.Un roman profondément humain et lumineux.À propos de l'autriceSolène Bakowski vit à Paris. Elle a publié sept romans, dont Rue du Rendez-Vous (Plon, 2021, HarperCollins poche, 2022). Portés par une magie douce, ses livres sont une invitation sensible au rapprochement entre les êtres.« Une histoire pleine d'humanité, épicée par des personnages authentiques et touchants. » Paris Match«  Il faut beaucoup aimer les gens déroule des vies de débrouille, des vies dans l'ombre. L'écriture de Solène Bakowski leur insuffle une splendeur étonnante et les rend à la lumière. C'est clairement le livre le plus réussi de Solène, le plus abouti, le plus romanesque aussi. Il y a une implication supplémentaire, une vulnérabilité, quelque chose de très fort.  » Michaël Mathieu, Librairie de Paris«  Ce roman m'a transportée par son style enlevé et la qualité de sa narration.  » Caroline Drapier, Librairie des Fables (Château-Thierry)«  Un style fluide, très agréable à lire où l'écriture fait passer énormément d'émotions, des personnages attachants et touchants que l'on a vraiment l'impression de connaître comme des amis, et que nous sommes tristes de quitter. Profondément humain et altruiste, cela fait du bien dans notre monde actuel.  » Laurence Canova, Librairie Canova«  Une écriture poétique, juste, musicale, dramatiques, indélébiles, sont une nouvelle fois au Rendez-vous dans ce nouveau roman de Solène Bakowski. Ce roman m'a transportée par son style...
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