Aucune image n'entre en nous sans que nous ne l'ayons d'abord désirée. Elle correspond au désir de mettre des représentations sur ce qui est d'abord éprouvé dans le corps, douceur de vivre ou horreur sans nom. Le problème est que si les images ont le pouvoir de nous faire renouer le contact avec des parties habituellement inaccessibles de nous-mêmes, elles ne nous en donnent pas la clé.