Etude d'un laboratoire japonais, dans les années 1990, au sein duquel les chercheurs ont décrit un gène de l'homosexualité chez la drosophile. L'auteure tente d'y saisir l'articulation entre l'appartenance à la société japonaise et l'appartenance à la communauté scientifique internationale, dont le fonctionnement est -se plaît-on à penser- largement indépendant de normes culturelles ou sociales.