Après Empire, fabuleux voyage chez les Romains avec un simple sesterce, Alberto Angela nous fait vivre comme si nous y étions, et loin des idées reçues, l'une des plus grandes tragédies de l'Antiquité. Le 24 octobre, subitement, le modeste Vesuvius libéra une énergie équivalant à 50 000 bombes d'Hiroshima, ensevelissant Pompéi et ses habitants.
Malgré tout, il y eut des survivants ; l'historien en a retrouvé sept, grâce auxquels il nous offre un passionnant reportage sur la vie quotidienne au pied du volcan et, heure par heure, un film catastrophe riche en rebondissements.
On l'appelle le Voyageur.Il a quitté le village de son épouse, Sylve, pour honorer une dette ancienne, pour retrouver les mers et les océans depuis trop longtemps perdus. Et il a disparu.A-t-il été capturé ou tué par les Fomoires, s'est-il égaré, continue-t-il son voyage vers les rivages ?Au village, nul ne le sait.Neuf mois après le départ de l'homme qu'elle aime, trop inquiète pour rester sans rien faire, Sylve décide de partir à sa recherche, d'affronter une forêt où les merveilles se disputent aux dangers. Depuis qu'il a posé ses valises, Gauthier Guillemin est directeur adjoint de collège. Dans La Fin des étiages, qui fait suite à son premier roman, Rivages, il nous emmène encore plus profondément dans le Dômaine et nous fait découvrir la capitale des Nardenyllais. Là, commence à réapparaître une technologie qu'il aurait sans doute mieux valu laisser dans l'oubli.
Un peintre s'installe dans une auberge de montagne afin de trouver la quiétude. Dès son arrivée, une légende aiguise sa curiosité : celle de Nami, fille du patron des lieux. Mariée de force, elle aurait quitté son époux puis perdu la raison. C'est le début d'une quête sans fin pour l'artiste. Lorsqu'il voit enfin Nami, il n'a plus qu'une idée en tête : rendre hommage à sa beauté...
Paris, 1871. Les Communards et les Versaillais s'affrontent sauvagement, l'Ouest parisien est en ruines. Un photographe fasciné par la souffrance féminine prend des photos érotiques destinées à des clients particuliers. Une fille disparaît un jour de marché. Le compte à rebours commence pour la retrouver.
La femme qui retrouvait les enfants est le surnom d'une détective privée de l'Oregon. Spécialiste de la recherche d'enfants disparus et elle-même rescapée d'un kidnapping, elle enquête sur une fillette disparue depuis trois ans. Son investigation la conduit à travers les villages et les forêts de Pacific Northwest.
Victime de chantage, Sonja transporte des valises de drogue pour pouvoir continuer à voir son petit garçon, Tomas. Confrontée à la perversité des femmes et maintenue dans une situation risquée, elle décide de s'en prendre aux plus puissants des truands.
À trente-huit ans, Guido Guerrieri, avocat à Bari, ne sait plus où il en est : sa femme l'a quitté, ses amis lui paraissent superficiels et son métier l'ennuie. Il reçoit un jour la visite d'une jeune femme noire dont le compagnon, un vendeur ambulant nommé Abdou Thiam, a été arrêté pour le meurtre d'un petit garçon. Tout incrimine Abdou, en particulier le témoignage accablant d'un patron de bar. Comment défendre un homme condamné d'avance ? Lorsque la visiteuse quitte son cabinet, Guido ne sait pas pourquoi il a accepté cette cause perdue. Ce qu'il ne sait pas encore, c'est que cette affaire va radicalement changer sa vie. Passionnante enquête qui se clôt par une mémorable joute au tribunal, ce premier roman frappe fort. Mais Témoin involontaire est aussi une déambulation existentielle, un livre pudique, émouvant et drôle qui installe d'emblée Carofiglio - lui-même magistrat - comme un auteur important. Ses romans, tous de grands succès en Europe ont été traduits en treize langues.
Les souvenirs sont parfois meurtriers Été 1986. David et Samuel ont 12 ans. Comme chaque année, ils séjournent au bord de l'océan, dans le centre de vacances appartenant à l'employeur de leurs parents. Ils font la connaissance de Julie, une fillette de leur âge, et les trois enfants deviennent inséparables. Mais une ombre plane sur la station balnéaire et les adultes deviennent de plus en plus mystérieux et taciturnes. Puis alors que la semaine se termine, Julie disparaît.30 ans plus tard, David est devenu écrivain, Samuel est son éditeur. Depuis le drame, ils n'ont jamais reparlé de Julie. Un jour, chacun reçoit une enveloppe. À l'intérieur, un manuscrit énigmatique relate les évènements de cet été tragique, apportant un tout nouvel éclairage sur l'affaire. « Entre passé et présent, légèreté enfantine et secrets douloureux, promesses tenues et non tenues, la tension est constante. Ne tardez pas à le découvrir ! » Annaik Kerneuzet, Librairie Dialogues à Brest« Quand un drame d'enfance impacte le présent… Angoissant et passionnant ! » Caroline Vallat, Fnac Rosny 2« J'ai été happé par ce roman noir et prenant qui vous tient en haleine jusqu'aux dernières pages. Une réussite ! »Philippe Fournier, Maison de la presse de Mérignac
Dans un monde où la civilisation s'est effondrée suite à une pandémie foudroyante, une troupe d'acteurs et de musiciens nomadise entre de petites communautés de survivants pour leur jouer du Shakespeare. Un répertoire qui en est venu à représenter l'espoir et l'humanité au milieu de la désolation. Finaliste du National Book Award aux Etats-Unis, ce roman fera date dans l'histoire de la littérature d'anticipation. 500 000 exemplaires vendus en Amérique du Nord, 150 000 dans les îles Britanniques. « Profondément mélancolique, mais magnifiquement écrit, et merveilleusement élégiaque. » George R. R. Martin « Mandel est capable de faire ressentir l'intense émotion d'existences fauchées par une époque terrible. » The New York Times
« La Reine de la nuit» relate, sur un mode picaresque, la mortelle randonnée d'une jeune Allemande devenue nazie à son corps défendant, qui se retrouve, d'aventures en tribulations, membre des S.A. puis des S.S., avant de finir pendue pour crimes contre l'humanité. L'humour particulièrement noir de l'auteur est totalement ravageur, notamment dans les chapitres où figurent tous les ténors du Reich. D'autres passages se révèlent, eux, à la limite du supportable. Quoi qu'il en soit, un fabuleux roman. » Jean-Pierre Deloux, «Polar» « Un livre qui pourrait bien être en avance sur son temps et qui traite l'horreur des années de l'holocauste en thriller métaphysique, picaresque, psychologique qui, souvent, tourne au pur surréalisme. » Maxim Jakubowski
Rouge de soi nous plonge dans l'intériorité d'Eloïse Othello, une jeune femme « bancale du cerveau » qui, malgré le regard des autres, le formatage social et culturel, les séparations, les doutes et les échecs, trouve dans l'écriture un chemin de vie. Babouillec, époustouflante auteure autiste, livre dans ce premier roman une véritable leçon de courage et d'indépendance, traversée par une obsession : « avoir en face de soi la réponse à soi-même. »
Alors qu'il pense que son incapacité à utiliser les outils numériques finira par lui coûter sa place de créatif dans la publicité, Thomas est contacté par une mystérieuse organisation. Elle espère localiser grâce à lui l'Inconnu, qui par son mépris affiché d'Internet attire de nombreux fans. Grand prix de littérature policière 2016 (roman français).
Olivia Guimard est commissaire à l'Office central de répression du trafic de stupéfiants. Elle est aussi la compagne de Gustave Oerelmans, un jeune ambitieux de la garde rapprochée d'un candidat à l'élection présidentielle, surnommé le Boss. Perturbée, la jeune femme commet un acte irréparable qui pourrait nuire à la carrière de son ami. Le commandant Bizek et le juge Barth sont sur l'affaire.