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Alors que le nombre de citadins ne cesse de croître et que la crise énergétique menace, des cités intelligentes, écologiques et ultraconnectées sortent de terre. Solution d’avenir ou chimère urbaine ?
Villes du futur, futur des villes
Multipliant les exemples révélateurs et les interventions d’experts – architectes, économistes, sociologues, entrepreneurs, ingénieurs informatiques, etc. –, cette série documentaire en trois volets offre une immersion passionnante dans l’avenir des villes. De l’Amérique du Nord à l’Asie en passant par l’Europe, ce tour d’horizon des innovations urbaines fantasmées ou en marche s’accompagne d’une réflexion philosophique et politique saisissante sur nos vies citadines, d’ores et déjà placées sous le règne de l’algorithme. Les nouvelles villes, qui se distinguent par leur gestion des plus efficientes, trouveront-elles leur identité ? Faut-il renoncer à la liberté pour assurer la sécurité ? L’informatique favorisera-t-elle les interactions entre les individus ou annonce-t-elle l’avènement d’un pouvoir ultracentralisé ? Des questions fondamentales auxquelles seuls les citoyens, qui expérimentent ces transformations et à qui le documentaire donne la parole, peuvent répondre.
Épisode 1 : Les nouvelles villes
Épisode 2 : Les villes intelligentes
Épisode 3 : Les fermes verticales
Comment les mégalopoles tentent de se réconcilier avec la nature. En quatre volets, une vaste réflexion sur les défis environnementaux qui nous attendent.
Plus de la moitié de l'humanité vit désormais en ville. Parallèlement, la faune et la flore investissent de plus en plus les milieux urbains. Avec une conséquence surprenante : les relations entre les animaux et les hommes n'ont jamais été aussi nombreuses, denses et riches ! Pour la première fois, l’exploration de la biodiversité est placée au cœur de la ville et des activités humaines. Et pour la première fois, la ville est appréhendée au travers de la nature qui s’y déploie. Dans Naturopolis, acteurs, penseurs, scientifiques, rêveurs et bâtisseurs de demain nous invitent à explorer les richesses naturelles méconnues de quatre mégalopoles : New York, Paris, Rio de Janeiro et Tokyo.
Épisode 1 : New York, la révolution verte
Épisode 2 : Tokyo, de la mégapole à la ville-jardin
Épisode 3 : Rio, du chaos à la ville durable
Épisode 4 : Et si Paris se mettait au vert...
Ricki, jeune homme amoureux de l'indifférente Marina, l'enlève, puis la séquestre pour lui démontrer son amour et provoquer chez elle, ce dont il est sûr, un sentiment amoureux vis-à-vis de lui.
En quatre épisodes, cette série vous fait découvrir des plantes d'apparence discrète et banale, qui recèlent pourtant des qualités insoupçonnées. Découvrez les vertus extraordinaires de l'ortie, du lotus, de l'if et de l'arabette.
Connaissez-vous "L'effet lotus" ? C'est une étonnante combinaison entre fonction chimique et physique à l'échelle du nanomètre. Voilà qui stimule l'avènement de la "biomimétique", cet art qui consiste à copier la nature et à reproduire artificiellement des systèmes biologiques.
Ces plantes sont de véritables partenaires biologiques, emblématiques d'une nature 'sauvage' salvatrice et de 'faits de nature' actuels, vitaux, globaux. On les découvre à travers la planète, dans des contextes aussi étonnants qu'inattendus, dans le jardin de Versailles, dans la brousse australienne, dans un temple indien, dans les laboratoires suisses, danois, allemands, français, japonais ou anglais, des champs et forêts en Afrique, Espagne ou au Canada.
Épisode 1 : L'ortie, vers un jardin sauvage
Épisode 2 : L'arabette, le mécano génétique
Épisode 3 : Le lotus de la spiritualité à l'hypertechnologie
Épisode 4 : L'if aux frontières de la vie
Les chefs-d'oeuvre du Louvre sont des survivants !
La Vie cachée des oeuvres : pendant de longs siècles, ils ont réussi à échapper aux pillages, aux incendies, aux vers à bois, aux dégradations des pigments, aux changements de goût, aux repeints, aux restaurations brutales, aux mutilations à la scie, aux attentats, au vieillissement, à l'oubli. Certains ont vécu dans la clandestinité, sous de fausses identités, d'autres, que l'on croyait perdus, réapparaissent subitement, des siècles plus tard.
A l' initiative du musée du Louvre, les plus grands spécialistes mondiaux de Rembrandt, Leonard de Vinci, Watteau, Raphaël et Poussin se sont réunis pour redécouvrir et étudier les oeuvres de ces maîtres, décrochées des murs et décadrées. Une situation exceptionnelle, même pour ces experts. Une enquête collective où chacun va tenter d'élucider l'énigme de l'oeuvre. Une rencontre unique entre les hommes et les oeuvres.
Épisode 1 : Poussin
Épisode 2 : Raphaël
Épisode 3 : Watteau
Épisode 4 : Goya
Épisode 5 : Rembrandt
Épisode 6 : Léonard de Vinci
Comédienne à la voix cristalline et à la joie de vivre contagieuse, Julie Andrews a enchanté le cinéma et Broadway à travers une poignée de rôles iconiques. Portrait d’une artiste aux multiples facettes, experte dans l’art de se renouveler.
Plus d’un demi-siècle après son apparition dans le ciel de Londres, Julie Andrews demeure la nurse la plus adulée de la planète. Née en 1935 en Angleterre, l’inoubliable interprète de Mary Poppins (1964) a connu une enfance moins riante que ses petits protégés : bluffés par sa voix couvrant cinq octaves, qui apaisait les âmes apeurées pendant le Blitz, sa mère, pianiste, et son beau-père, chanteur alcoolique aux mains baladeuses, la retirent de l’école à 13 ans pour courir les cachets de music-hall à leurs côtés. Après une puberté difficile, Julie Andrews conquiert Broadway à 17 ans, dans The Boy Friend, puis My Fair Lady. Dépossédée, au profit d’Audrey Hepburn, du rôle d’Eliza Doolittle dans l’adaptation cinématographique de George Cukor, l’actrice prend une éclatante revanche grâce à Walt Disney, qui la propulse, sous son parapluie magique, sur la scène des Oscars. En 1965, La mélodie du bonheur de Robert Wise achève de la consacrer star planétaire. Mais, hantée par la déchéance de ses parents, Julie Andrews enchaîne dès lors les films (et les flops) à une cadence effrénée, du Rideau déchiré d’Alfred Hitchcock à Darling Lili, réalisé par son second mari, Blake Edwards. Blacklisté par les studios, le couple signera un retour triomphal en 1982 avec l’anticonformiste Victor Victoria. Désormais icône queer, Julie Andrews transporte ce succès à Broadway en 1995, jusqu’à ce que sa voix, épuisée, se brise à jamais. À 80 ans passés, elle continue pourtant d’enchanter le public, entre doublage de films d’animation (Moi, moche et méchant), émissions de télé et livres pour enfants.
Perfectionnisme pétillant
D’extraits de films et de spectacles en archives imprégnées de son savoureux humour anglais, ce portrait en mouvement balaie la prolifique carrière d’une artiste aux innombrables talents, qui a su surmonter ses échecs en se réinventant avec la même soif de perfection.
Des centaines de vols sont régulièrement commis dans le métro parisien par des enfants roumains. Après plusieurs interpellations la Brigade de protection des mineurs s’empare de l’affaire.
Dans les pas des policiers et des magistrats, le film suit l’enquête menée en collaboration avec la police roumaine. Très vite les interrogatoires et les écoutes dévoilent que le produit des vols est presque intégralement reversé aux parents qui vivent dans des squats au-delà du périphérique, puis renvoyé en Roumanie. Les enquêteurs découvrent des enfants sous emprise, interdits d’école, obligés de voler par leurs parents, pour rembourser des dettes d’honneur.
Un film intense sur la justice face à un trafic d’enfants à l’échelle européenne.
Si nous surexploitons nos forêts depuis des siècles, quatre productions sont responsables aujourd’hui de 40 % de la déforestation mondiale : l’huile de palme, le bois et les produits à base de papier, le soja et l’élevage bovin. Mais l’humanité a aussi pris conscience que les forêts constituent un bien précieux à protéger. Alors que la déforestation continue dans certaines régions du monde, dans d’autres, on protège et on replante des arbres, notamment pour favoriser la biodiversité et les "puits de carbone". Un bol d’air planétaire dans les forêts du monde.
Danny, un étranger qui a purgé sa peine en Belgique, sort de prison. Bénéficiant d'une libération conditionnelle, il loge dans un petit hôtel dont la patronne, Laurence, accepte les anciens détenus le temps qu'ils se remettent sur pied. Elle sait la difficulté de la réinsertion, étant elle-même femme de voyou incarcéré. Laurence peine à élever seule sa fille Clara, une adolescente séductrice, qui se met à tourner autour de Danny. Quand la jeune fille est agressée, il retrouve ses vieux démons...
De la photographie en passant par le graf, le design, l'architecture, le stylisme et la peinture, c'est l'art en mouvement, la création en instantané dont le téléspectateur est témoin. Ce sont aussi des parcours entre Rome, Paris, Madrid, Rotterdam, où les artistes travaillent et s'inspirent.
Quelques jours, quelques heures dans la vie d'un artiste (chez lui, dans son atelier, au cours de ses voyages), au cours desquels il ouvre son espace créatif et personnel au réalisateur. La caméra privilégie le mouvement, capte l'artiste à l'ouvrage et dans ses moments de réflexion.
Épisode 1 : Adel Abidin
Épisode 2 : Kader Attia
Épisode 3 : Eric Baudelaire
Épisode 4 : Mohammed Bourouissa
Épisode 5 : Raphael Dallaporta
Épisode 6 : Denis Darzacq
Épisode 7 : Egill Saebjornsson
Épisode 8 : Gary Webb
Portrait d'un styliste, le peintre britannique David Hockney, à qui le Centre Pompidou a consacré une rétrospective en 2017.
Chez les amateurs d’art contemporain, son nom sonne comme une promesse : plus de lumière, plus de couleurs (acidulées), plus de style. Depuis les années 1960, les tableaux de David Hockney ont façonné notre vision des paysages californiens, de leur lumière spécifique et de leurs piscines. À l’occasion des 80 ans du peintre, en 2017, la Tate Britain lui a consacré une grande rétrospective, reprise ensuite par le Centre Pompidou. Ce documentaire raconte la quête existentielle d'un artiste qui, en immortalisant le quotidien le plus banal, tente de trouver le sens de la vie moderne.
Dans ces deux épisodes sur la protection des espèces menacées, Jean-Christophe Victor s'intéresse aux moyens d'action de la CITES - Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore menacées d'extinction - et surtout, à ses limites.
Un passionnant tour du mystère Melville, maître du film noir et de l'ambiguïté qui s'est forgé, en perfectionniste obsessionnel, son propre personnage.
Autodidacte génial entré "par effraction" dans le cinéma, Jean-Pierre Melville (1917-1973), né Grumbach, n’en finit pas de hanter les écrans, référence plébiscitée par une légion d’héritiers, de Quentin Tarantino à Jim Jarmusch, de Michael Mann à John Woo. L'auteur du Samouraï et de L’armée des ombres a-t-il construit son œuvre à son image, ou s'est-il fabriqué une vie de cinéma ? De ses attributs coutumiers, chapeau et lunettes noires, à son temple claustrophobe des studios Jenner, le refuge hors du monde qu'il acquiert en 1955, en passant par sa misanthropie, ses manies, ses insomnies, son intransigeance, ce qu'il a exposé de sa vraie vie renvoie la même épure, la même ambiguïté, la même énigme que ses quatorze films. Pour tenter de cerner l’homme derrière le masque, Cyril Leuthy plonge dans ses archives – cet ermite autoproclamé ouvrait volontiers les portes de son univers – et son extraordinaire filmographie, influencée par le polar américain, mais pas n'importe lequel : le film noir hollywoodien des années 1940, que Melville a réinventé dans la France des Trente Glorieuses, tout en s'offrant le luxe d'annoncer la Nouvelle Vague.
Salles obscures
C'est après la mort soudaine de son père, emporté comme il le sera lui-même par une crise cardiaque à l'âge de 55 ans, que Jean-Pierre Grumbach s'est enfermé dans les salles obscures. Il en sortira pour faire la guerre et renaître sous le patronyme de Melville, son nom de résistant. Il gardera de ces années de combat et de fraternité la matière obsessionnelle de ses histoires. Honneur, solitude, dépassement de soi, hantise de la trahison et de l'inatteignable perfection : ces thèmes nourrissent une œuvre qui chemine vers l'abstraction, tout en gardant l'ancrage populaire du genre qui l'a inspirée. Avec le concours de deux de ses neveux et d'anciens collaborateurs, comme les cinéastes Volker Schlöndorff, Bernard Stora, et Taylor Hackford, son émule américain, ce portrait tourne autour du mystère Melville pour tenter d'en dévoiler la part intime. Ce voyage fascinant se clôt sur le visage égaré de Delon, alter ego mi-fraternel, mi-filial du cinéaste, tentant de fuir dans le déni, après la mort de celui-ci, l'irréversibilité de leur brouille. Quarante ans plus tôt, c'est aussi un remède à la réalité que son ami avait cherché dans le cinéma.
À une époque qui pourrait être la nôtre, quelque part au bord de la Méditerranée, les hommes jouent comme s'il en dépendait de leur vie, mais avec une joie désinvolte. Lutter, faire rouler un fromage dans les rues du village ou réciter rapidement les bons numéros sont ici des occupations de la plus haute importance. Le réalisateur filme tout avec légèreté mais sérieux jusqu'à ce qu'il rencontre un bloc créatif. Pour continuer, il va devoir repenser les règles du jeu.
Pourquoi le président français a-t-il qualifié l’Otan d’organisation “en état de mort cérébrale” ? Fondée en 1949, au temps de la guerre froide, l’Organisation du traité de l’Atlantique nord, qui réunit les pays du bloc de l’Ouest, a dû se réinventer après la chute du mur de Berlin et l’implosion de l’URSS. Comment s’adapte-t-elle aujourd’hui à la nouvelle donne géopolitique : un leadership américain qui a changé de nature sous la présidence Trump, et des partenaires complexes comme la Turquie de Recep Tayyip Erdogan ? Quelles raisons ont encore ses 29 membres de définir ensemble leur défense collective ?