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Gustave Courbet (1819-1877) peintre du réel, peintre de la terre et des choses matérielles, happé par son époque au point de s’y fondre. Il en paiera le prix fort, lui qui fut riche, adoré, et reconnu, sera acculé à peindre à la chaîne pour échapper à la ruine. Réaliser un film sur Gustave Courbet, c’est retrouver ce cheminement qui mène le peintre à centrer ses toiles sur le réel. C’est saisir sa peinture, chercher dans les couleurs, dans la matière et le concret.
Épisode 1 : Ça parle pas à ton grand-père
Oubliez les affrontements armés, les bombes larguées et les embuscades sournoises. L’avenir, c’est la cyberguerre, objet d’espoirs, de fantasmes… et danger bien réel. Désormais, le cyberespace fait pleinement partie des espaces d’affrontements reconnus, entre cyberattaques contre des infrastructures, vols de données et écoutes étatiques. Qui deviendra le « cyberboss » du 21ème siècle ?
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Déprimé par son divorce, François Combe, un jeune comédien, quitte la France et part pour les États-Unis dans l'espoir de faire carrière à Hollywood. Mais la chance ne lui sourit guère et il doit se contenter de petits rôles à la télévision. Solitaire et désemparé, il erre dans les bars de Manhattan. Un soir, il rencontre Kay, une jeune femme désespérée qui a quitté son mari, un diplomate italien avec lequel elle a eu une petite fille. Après une première nuit passée avec elle, François propose à Kay, qui n'a plus de logement, de venir habiter dans son appartement de Manhattan. Mais sa confiance dans la jeune femme est vite ébranlée par la visite de Pierre, un homme que François soupçonne d'être son amant...
A Goiás, Fernanda retourne dans la maison de son oncle fortuné, après la mort de sa mère adoptive, afin de révéler la douloureuse vérité autour de ses origines.
La Constitution américaine le garantit, dans son inoubliable préambule, chaque homme jouit du droit "à la poursuite du bonheur". C'est assez dire que ce beau gibier, également partagé, également refusé, ne cesse de s'échapper, et pourtant chacun des émigrés récents, installés sur le sol américain, que rencontre Louis Malle, ne cesse de lui courir après, réussissant un doux mélange entre leurs coutumes nationales et le formidable dynamisme de leur société d'accueil. Quelque que soit leur nationalité, les immigrants viennent aux États-Unis avec leurs coutumes et leurs traditions, perpétrant par là-même une mixité sociale et culturelle riche et enrichissante...
Au début du siècle dernier, le tout jeune Leonard Percival Howell (1898-1981) quitte la Jamaïque, se fait marin et parcourt le monde. Sur sa route, il croise toutes les idées qui agitent l’époque. Du bolchevisme à la new thought, de Gandhi à l’anarchisme, du garveyisme à la psychanalyse, il s’agit de trouver sa terre promise. C’est avec le cocktail de ces idées que Leonard "Gong" Howell revient en Jamaïque pour fonder en 1939 la première Commune rasta, le Pinnacle. De là va s’élaborer le mode de vie et de pensée qui nourrira la culture du reggae que Bob Marley répandra à travers le monde. Trente ans après la mort du chanteur, il est grand temps de rendre hommage à Leonard Percival Howell Le Premier Rasta, dont le discours révolutionnaire, politique et social résonne avec les mouvements altermondialistes d’aujourd’hui.