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Tome :
2
Les SecUnits se moquent pas mal des actualités. Même après avoir piraté mon module superviseur et débloqué mes accès, je n'y ai jamais prêté grande attention. D'abord, parce que les téléchargements de contenu multimédia risquent moins de déclencher les alarmes éventuelles des réseaux locaux et satellitaires, mais surtout, parce que les informations sont d'un ennui mortel et que je me fiche éperdument des querelles entre humains tant que je n'ai pas 1) à y mettre un terme, 2) à nettoyer après eux. Où AssaSynth se fait passer pour un humain augmenté et embaucher comme consultant de sécurité auprès de trois scientifiques en litige avec leur employeur… Entre voyage dans la galaxie et exploration de mine abandonnée, Schémas artificiels sonde davantage la conscience émergente du narrateur. Ses relations avec d'autres intelligences artificielles dessinent une fresque de personnages non-humains d'une grande profondeur, rappelant le cycle de « La Culture » de Iain Banks. Et à se mettre au service d'humains, AssaSynth découvre à quel point il est délicat de ne pas s'attacher émotionnellement à ceux qu'on protège. Défaillances systèmes, la première des quatre novellas qui forment « Journal d'un AssaSynth », a reçu les prix Hugo, Nebula, Alex et Locus.
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3
« Je n'ai vraiment pas de bol avec les transports autopilotés. Le premier à me prendre en stop n'avait eu d'autre motivation que celle de profiter de ma collection de fichiers multimédias. L'emmerdeur de vaisseau expéditionnaire, EVE, le temps de notre collaboration, avait menacé de me tuer, regardé mes émissions préférées, altéré ma configuration structurelle, fourni un excellent soutien tactique, argumenté jusqu'à me convaincre de jouer les consultants en sécurité, sauvé la vie de mes clients et nettoyé derrière moi quand j'avais dû assassiner des humains. (C'étaient des méchants.) EVE me manquait beaucoup. Et il y avait ce transport-ci. Qui s'était mis en tête de me confier le maintien de l'ordre à bord et de m'envoyer des notifications à chaque querelle entre passagers. Imbécile que je suis, j'y avais répondu. Pourquoi ? Je ne le sais pas moi-même. » Enfin parvenu sur la planète Milu, AssaSynth est contraint d'endosser de nouveau son rôle de SecUnit afin de protéger son identité et, au passage, des clients officieux, accompagnés d'un bot de compagnie, Miki. Confronté à plus puissants que lui, mais aussi à l'innocence déstabilisante de Miki, notre androïde devra allier les deux parts de son être pour survivre : la puissance de feu du robot et le libre arbitre de l'humain. Défaillances systèmes, la première des quatre novellas qui forment « Journal d'un AssaSynth », a reçu les prix Hugo, Nebula, Alex et Locus.
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4
« La majorité de mes voyages ont été stressants, tout compte fait. Plus que du stress, c'était de l'angoisse, cette fois. Fidèle à mes habitudes, j'ai regardé des séries. J'avais déniché un long drame historique narrant les premiers temps de l'exploration spatiale. Mais malgré les informations très convaincantes fournies en barres latérales, j'avais un peu de mal à y croire. J'ai arrêté au milieu du deuxième épisode et basculé sur une comédie musicale. » Le Dr Mensah a été kidnappée. À moins que sa planète d'origine, Préservation, ne verse une rançon à GrayCris et n'abandonne toute poursuite, ils la tueront. Infiltration et piratages de haute volée, duel avec une terrifiante SecUnit de combat, affrontement virtuel en immersion totale… AssaSynth est sur tous les fronts : on ne tue pas impunément ses clients ! Encore moins ses « presque amis humains ». Ce quatrième et dernier volet du Journal d'un AssaSynth illustre la métamorphose d'un être en quête de son individualité, et qui, loin de vouloir devenir humain, aspire à en être l'égal. Défaillances systèmes, la première des quatre novellas qui forment « Journal d'un AssaSynth », a reçu les prix Hugo, Nebula, Alex et Locus. Schémas artificiels, la deuxième de ces novellas, a reçu les prix Hugo et Locus en 2019.
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6
Les contrats de travail sur Préservation étaient très simples, principalement parce que le Code civil planétaire prévoyait déjà toute une panoplie de protections inhérentes. Sauf que je ne faisais pas partie des citoyens, pas plus que je n'étais – techniquement – une personne. Néanmoins, le contrat de Pin-Lee, l'avocat du Dr Mensah, veillerait à ce que nul ne me force à agir contre mon gré. (Par le passé, j'avais uniquement été l'objet de contrats de location émis par la compagnie, où je n'étais alors qu'un équipement.) (« Ne t'inquiète pas, avait promis Pin-Lee. Je prévoirai une clause qui te permettra de prendre la tangente comme une crapule si tu le souhaites. »). Dans ce huis clos policier riche en rebondissements, AssaSynth, qui ne demande toujours qu'à rester dans son coin à regarder des séries (une vidéosurveillance digne de ce nom aurait permis de boucler l'affaire en deux temps trois mouvements, si vous voulez son avis), découvrira la valeur du travail d'équipe – avec les humains, qui ne sont pas tous incompétents, et les autres bots, qui ne sont pas tous stupides. Mais, surtout, notre androïde apprendra à ne pas céder à un travers finalement très humain : dépasser ses préjugés.
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5
« Dans la catégorie androïde, je suis une SecUnit séditieuse. Il y a beau temps que j'ai piraté mon module superviseur et j'ai pris goût au libre arbitre. Cela m'apparente-t-il au genre humain ? Beurk. Sûrement pas. Dans l'ensemble les humains sont des imbéciles répugnants dévorés par leurs émotions. » Mais on ne se refait pas. Ou bien si, justement. Et quand une mission d'exploration de ceux qui l'ont accueilli dans leur communauté tombe sous l'assaut d'un bâtiment hostile, AssaSynth n'hésite pas à payer de sa personne. À plus forte raison si la situation tourne à l'inextricable : un vaisseau qui-n'est-pas-son-ami (« ça n'a rien à voir avec les interactions humaines ») décérébré, des pirates contrôlés par un implant sauvage, un monde dévoyé qu'on s'arrache et jusqu'à une ado encombrante trop futée. Il faut protéger les uns (y compris d'eux-mêmes), rentrer dans le lard des autres. Et attention : se méfier des reliques aliens imprévisibles. Action. Le roman Effet de réseau fait suite aux quatre novellas du « Journal d'un AssaSynth ». Défaillances systèmes et Schémas artificiels, les premier et deuxième volets de « Journal d'un AssaSynth », ont été couronnés par le prix Hugo en 2018 et en 2019.
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1
« J'aurais pu faire un carnage dès l'instant où j'ai piraté mon module superviseur ; en tout cas, si je n'avais pas découvert un accès au bouquet de chaînes de divertissement relayées par les satellites de la compagnie. 35 000 heures plus tard, aucun meurtre à signaler, mais, à vue de nez, un peu moins de 35 000 heures de films, de séries, de lectures, de jeux et de musique consommés. Comme impitoyable machine à tuer, on peut difficilement faire pire. » Et quand notre androïde de sécurité met au jour un complot visant à éliminer les clients qu'il est censé protéger, il ne recule ni devant le sabotage ni devant l'assassinat ; il s'interpose même face au danger, quitte à y laisser des morceaux. Martha Wells signe avec cette série un récit tout en ironie et en sensibilité sur l'éveil à la conscience et l'exercice du libre arbitre. Défaillances systèmes, la première des quatre novellas qui forment « Journal d'un AssaSynth », a reçu les prix Hugo, Nebula, Alex et Locus.
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When Murderbot discovers a dead body on Preservation Station, it knows it is going to have to assist station security to determine who the body is (was), how they were killed (that should be relatively straightforward, at least), and why (because apparently that matters to a lot of people—who knew?) Yes, the unthinkable is about to happen: Murderbot must voluntarily speak to humans! Again!
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It has a dark past—one in which a number of humans were killed. A past that caused it to christen itself “Murderbot”. But it has only vague memories of the massacre that spawned that title, and it wants to know more. Teaming up with a Research Transport vessel named ART (you don’t want to know what the “A” stands for), Murderbot heads to the mining facility where it went rogue. What it discovers will forever change the way it thinks…
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Murderbot wasn't programmed to care. So, its decision to help the only human who ever showed it respect must be a system glitch, right? Having traveled the width of the galaxy to unearth details of its own murderous transgressions, as well as those of the GrayCris Corporation, Murderbot is heading home to help Dr. Mensah--its former owner (protector? friend?)--submit evidence that could prevent GrayCris from destroying more colonists in its never-ending quest for profit. But who's going to believe a SecUnit gone rogue? And what will become of it when it's caught?
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Sci-fi's favorite antisocial A.I. is back on a mission. The case against the too-big-to-fail GrayCris Corporation is floundering, and more importantly, authorities are beginning to ask more questions about where Dr. Mensah's SecUnit is.
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In a corporate-dominated spacefaring future, planetary missions must be approved and supplied by the Company. Exploratory teams are accompanied by Company-supplied security androids, for their own safety. But in a society where contracts are awarded to the lowest bidder, safety isn't a primary concern. On a distant planet, a team of scientists are conducting surface tests, shadowed by their Company-supplied 'droid -- a self-aware SecUnit that has hacked its own governor module, and refers to itself (though never out loud) as "Murderbot." Scornful of humans, all it really wants is to be left alone long enough to figure out who it is. But when a neighboring mission goes dark, it's up to the scientists and their Murderbot to get to the truth.
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Everyone's favorite lethal SecUnit is back. But there’s something wrong with Murderbot; it isn’t running within normal operational parameters. ART’s crew and the humans from Preservation are doing everything they can to protect the colonists, but with Barish-Estranza’s SecUnit-heavy persuasion teams, they’re going to have to hope Murderbot figures out what’s wrong with itself, and fast.
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