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Clarinettiste légendaire également expérimenté en musique classique, jazz et musique de film, Michel Portal rencontre Paul Meyer, autre ambassadeur hors pair de la clarinette dans le monde et ami de longue date. Côte à côte et accompagnés par l'Orchestre de Chambre de Wallonie, ils proposent une programmation qui révèle pour la première fois leur rapport musical sur album, que le répertoire soit baroque, galant ou romantique. Ainsi, à côté du Concerto en ré mineur de Telemann pour deux chalumeaux et cordes, nous avons le Concerto no. 4 pour deux clarinettes, tandis que Konzertstucke nos de Mendelssohn. 1 & 2 sont juxtaposés à des duos de Telemann et CPE Bach. Chaque oeuvre constitue un dialogue calme dans lequel les mots sont remplacés par des notes, témoignage émouvant de deux carrières d'exception.
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Si cet album s'appelle " beauté barbare ", c'est à cause de Telemann qui, en 1705 lors d'un voyage en Haute Silésie, évoque la musique qu'il y découvre " dans sa véritable beauté barbare ". Signifie-t-il " sauvage " ? " Exotique " ? Le compositeur est en tout cas fasciné : " Quelqu'un d'attentif pourrait en huit jours leur prendre des idées pour toute une vie ". Autre passionné des musiques populaires et dont les racines serbes le relient à ces cultures, François Lazarevitch a conçu ce programme tourbillonnant qui mêle Telemann (Concerto polonais) et les musiques des gitans d'Europe de l'Est au XVIIIe siècle, grâce à un recueil d'airs de danses de 1730 qu'il a exhumé. " Ce qui est intéressant pour nous, interprètes de musique baroque, est de s'attacher à retrouver dans les partitions'savantes'tout ce qui n'est pas écrit, à savoir l'énergie et le swing des danses populaires. J'aime que la musique que nous jouons ne sonne pas comme de la musique ancienne ", dit le flûtiste et fondateur des Musiciens de Saint-Julien, qui pour l'occasion sont rejoints par un virtuose du cymbalum et des percussions très variées.
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2017 marquera les 250 ans de la mort de Georg Philipp Telemann, un des plus prolifiques compositeurs de l'époque baroque. Giovanni Antonini et le Giardino Armonico ont ainsi voulu rendre hommage à l'écriture éclectique de Telemann avec ce programme qui mêle des oeuvres évoluant sans cesse entre traditions stylistiques françaises et italiennes. Dans ce disque, Giovanni Antonini, en plus d'être à la direction d'orchestre, renoue avec la flûte à bec, son instrument de prédilection - qui était également celui du compositeur - et interprète la Suite en la mineur ainsi que le Concerto en do majeur et le " Concerto da camera " en sol mineur. On découvre également la curiosité d'une Sonate pour chalumeaux, instruments d'origine populaire qui peuvent se comparer à la clarinette et pour lesquels le compositeur fut le premier à manifester de l'intérêt. A l'instar du volume 3 de l'Édition Haydn 2032, ce programme sort à la fois en CD et en vinyle, démontrant ainsi la volonté conjointe du label Alpha et de l'ensemble milanais d'offrir ces nouveaux enregistrements aux amateurs de microssillons de plus en plus nombreux.
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On a pu dire que Vivaldi a écrit 300 fois le même concerto. Mais peut-on imaginer en dire autant de Telemann ? D'une part, les exemples enregistrés ici présentent des combinaisons instrumentales des plus extraordinaires - quatre trompettes, trois cors, deux flûtes et calchedon (une espèce de luth), voire même mandoline, harpe et tympanon ; de l'autre, ils témoignent de la plus incroyable variété stylistique, de l'exubérance vivaldienne à l'élégance des danses de l'Ancien Régime via le docte contrepoint germanique. Si vous vous n'êtes jamais posé la question des origines des Concertos Brandebourgeois, un conseil : explorez les concertos de Telemann...
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Soliste à la renommée internationale et professeur à la Schola Cantorum Basiliensis, Francesco Corti entame une collaboration avec Arcana. Ce voyage musical au sein des manuscrits de la famille Bach, qui commence avec les deux livres appartenant au frère de Johann Sebastian (le Manuscrit Möller et l'Andreas Bach Buch) et mène aux fameux Büchlein d'Anna Magdalena et de Wilhelm Friedemann. Le programme présente trois oeuvres majeures pour clavier de Johann Sebastian Bach (BWV 815, 992 et 998) conservées en copies "domestiques". Autour de ces célèbres pièces sont présentées des oeuvres de certaines des figures musicales les plus importantes du temps de Bach : Böhm, l'un de ses professeurs ; Kuhnau, son prédécesseur au poste de cantor de Saint-Thomas ; Telemann, ami et parrain du second fils de Bach, Carl Philipp ; Hasse et F. Couperin. Le programme ainsi élaboré est un récital de clavecin peu conventionnel, un mélange de différents genres et compositeurs, probablement bien plus proche du "concert à domicile" que le récital moderne standard.
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Ah, si tous les programmes étaient aussi bien agencés que celui-ci ! Dans une tonalité générale qui aurait pu lasser par son uniformité (" stille Klagen "), éditeur et musiciens réalisent un petit miracle : impossible de s'échapper de cette heure de musique tant la progression des cantates entrecoupées de musique instrumentale est calculée avec précision. L'introduction de " O dulcis Jesu " de Buxtehude semble émaner de la sonate BuxWV254 avant que la voix n'entre dans un mode qui rappelle le haut Moyen-Âge, pour adopter ensuite la forme du madrigal italien ; l'attaque brusque du " Jesu, meine Freude " BWV1105 répond à la fin abrupte du " Herr, strafe mich nicht " pénitentiel d'un Telemann qui intensifie l'usage rhétorique des figuralismes ; enfin le " Mein Herze schwimmt in Blut " de Bach confine à l'opéra avec sa succession de récitatifs hyper-expressifs et d'arias da capo très développés. Seule la thérapie du choral met fin à l'affliction au profit d'une conclusion dansante, apaisée et confiante. Les qualités littéralement oratoires (diction, articulation, phrasé) du chant de Griet de Geyter donnent vie aux émotions même aux limites du silence, et il gardellino réussit un accompagnement d'une très grande finesse. L'orgue est au diapason, si l'on peut dire, et Jean-Daniel Noir signe une prise de son fouillée qui capture avec précision l'acoustique de l'église de Hilversum : le résultat est un remarquable moment de musique.
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