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Andreas Egger est amené de la ville dans les montagnes, où personne ne lui explique le monde. Il est recueilli par une brute qui lui impose sa propre éthique. Lorsqu'il se soustrait à sa tyrannie, il est décidé à marcher la tête haute et est envoyé sur le front de l'Est en 1942.
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En 1937, le jeune Franz Huchel entre au service d'Otto Tresniek, un buraliste unijambiste, à Vienne. Le tabac est fréquenté par Freud en personne. S'il apprend rapidement le métier, sa connaissance des femmes est en revanche très lacunaire. Amoureux d'une artiste, il décide de consulter Freud, tandis que le national-socialisme se fait de plus en plus menaçant...
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Au cimetière de Paulstadt, les morts prennent la parole tour à tour pour partager leurs souvenirs. A travers le destin de la fleuriste, populaire mais décédée seule chez elle, du maire, qui a construit un centre de loisirs responsable du décès de trois personnes, ou du père Hoberg, tué dans l'incendie de son église, l'auteur dresse le portrait de cette ville et de sa communauté. ©Electre 2020
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Andreas Egger est amené de la ville dans les montagnes, où personne ne lui explique le monde. Il est recueilli par une brute qui lui impose sa propre éthique. Lorsqu'il se soustrait à sa tyrannie, il est décidé à marcher la tête haute et est envoyé sur le front de l'Est en 1942. ©Electre 2020
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Sur le pont du paquebot qui le ramène en Europe après une ultime saison à New York, Gustav Mahler laisse dériver ses pensées. À cinquante ans, il est un compositeur adulé et le chef d'orchestre le plus réputé de son temps, mais son corps souffrant lui rappelle que la fin est proche. Emmitouflé dans une épaisse couverture, l'œil rivé sur la mer grise, son esprit dévide des souvenirs, surgis à la faveur d'une sensation fugace – le cri d'une mouette, l'ombre d'un nuage… Robert Seethaler excelle à suggérer en quelques traits le pur bonheur des étés à la montagne, tout comme, dans un registre bien différent, la décennie pendant laquelle Mahler a réformé et dirigé l'Opéra de Vienne. L'amour tourmenté du musicien pour sa femme Alma, son chagrin à la mort de sa fille aînée et, bien sûr, la haute conception de son art traversent ce texte aussi bref que profond. Sans la moindre emphase, l'écrivain restitue la légendaire exigence du maître, bourreau de travail malgré sa faible constitution, de même que sa quête permanente de la beauté. C'est sans doute de son apparente simplicité que cet intense roman tire sa force. Les rares mots échangés face à l'océan entre l'illustre passager et le jeune garçon de cabine chargé de veiller à son bien-être sont à cet égard exemplaires. Portrait tout en intériorité d'un artiste dont le génie ne s'est jamais tari, Le Dernier Mouvement est également une poignante méditation sur la puissance de la création.
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Chaque matin, en allant au marché des Carmélites où il travaille comme journalier, dans un faubourg populaire de Vienne, Robert Simon scrute l'intérieur du café poussiéreux dont il rêve de reprendre la gérance. Encouragé par l'effervescence qui s'est emparée de la ville, en pleine reconstruction vingt ans après la chute du nazisme, il décide, la trentaine venue, de se lancer dans une nouvelle vie. Comme le lui dit sa logeuse, une veuve de guerre : « il faut toujours que l'espoir l'emporte un peu sur le souci. Le contraire serait vraiment idiot, non ? ». En cette fin d'été 1966, c'est avec un sentiment d'exaltation qu'il remet à neuf le lieu qui va devenir le sien. Homme modeste, de peu de mots, il trouverait prétentieux de lui donner son propre patronyme : ce sera donc le « Café sans nom », où va bientôt se retrouver un petit monde d'habitués. Le succès est tel que Robert ne tarde pas à proposer à Mila, une jeune couturière juste licenciée par son usine, de venir le seconder. En quelques traits, en quelques images saisissantes, l'écrivain rend terriblement attachantes les figures du quotidien qui viennent, le temps d'un café, d'une bière ou d'un punch, partager leurs espoirs ou leurs vieilles blessures. Et si, au fil des saisons et des années, des histoires d'amour se nouent, bagarres et drames ne sont jamais loin, battant le pouls de la ville. Robert Seethaler puise en effet l'inspiration de son nouveau et magnifique roman dans l'endroit qui l'a vu naître : ses descriptions de Vienne émergeant des décombres, à l'ombre tutélaire de la Grande Roue du Prater, confèrent aux personnages du « Café sans nom », et notamment à celui qui en est l'âme, une tendresse et une saveur bien particulières.
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Nouveauté
Vienne, 1966. Lorsque le café du marché ferme ses portes, Robert y voit l'opportunité de changer de vie. L'effervescence qui s'est emparée de la ville en pleine reconstruction, vingt ans après la chute du nazisme, le pousse à réaliser son rêve : acheter le café. Il n'y a pas grand-chose à offrir, mais les clients sont là, apportant des histoires de passion, d'amitié, d'abandon et de deuil. Certains recherchent de la compagnie, d'autres aspirent à l'amour ou simplement à un endroit où se sentir compris.Né en 1966 à Vienne, Robert Seethaler, qui vit à Berlin, est écrivain, acteur et scénariste. Il s'est imposé comme l'un des écrivains de langue allemande les plus importants de sa génération.
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