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Dernier ouvrage de Rousseau, Les rêveries du promeneur solitaire constituent une suite naturelle aux Confessions. Dans ce recueil autobiographique, l'écrivain consigne ses souvenirs épars, ses réflexions sur lui-même, sur l'esprit humain, etc., au fil de ses promenades dans la nature ou à Paris. ©Electre 2021

Edition commentée de la réponse de Rousseau à la question de l'Académie de Dijon pour son prix de morale en 1754 portant sur la source de l'inégalité parmi les hommes. Electre 2014

"En sortant d'une longue et douce rêverie, en me voyant entouré de verdure, de fleurs, d'oiseaux et laissant errer mes yeux au loin sur les romanesques rivages qui bordaient une vaste étendue d'eau claire et cristalline, j'assimilais à mes fictions tous ces aimables objets ; et me trouvant enfin ramené par degrés à moi-même et à ce qui m'entourait, je ne pouvais marquer le point de séparation des fictions aux réalités"

Ces deux discours publiés respectivement en 1750 et 1754, répondent à des questions posées par l'académie de Dijon. Rousseau y jette les bases de sa doctrine : la vie en société est la seule et même cause de tous les maux et inégalités entre les hommes.