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Comme d'habitude est la lettre d'amour d'une mère,Cécile Pivot, à son fils de 22 ans, Antoine.Antoine est autiste. Elle lui raconte sa petite enfance, quand elle savait que quelque chose n'allait pas mais prêchait dans le désert, parce qu'Antoine était son premier enfant et que ni le corps médical ni sa famille ne prenaient au sérieux sa parole de mère. Jusqu'à ce jour, à la fois terrible et libérateur, où les mots « troubles autistiques » ont été prononcés, enfin, par un médecin.Elle lui raconte, en pleurant parfois, en souriant souvent, son combat, les erreurs, les siennes et celles des autres, enseignants, proches, administration ou soignants. Elle lui raconte les petits drames et les grandes joies, les colères et les fous rires.Elle lui raconte comment elle l'a accompagné de son mieux dans sa vie d'enfant, d'adolescent puis de jeune homme, sans jamais renoncer à vivre, à aimer, à travailler.Ce récit, elle le porte en elle depuis la naissance d'Antoine, prenant des notes, figeant dans l'écriture l'intensité d'instants inoubliables, drôles ou tragiques, rocambolesques ou quotidiens, dont elle savaitqu'un jour, elle tirerait ce livre.Ce livre que, probablement, il ne lira jamais.Un livre vibrant d'émotion. 
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Bernard Pivot, lecteur professionnel (« Apostrophes », Lire, JDD) et sa fille Cécile, ardente lectrice amateur, confrontent leurs raisons, plaisirs et manières de lire, leur usage des livres, dans des textes très personnels, où le public des librairies et des bibliothèques retrouvera ses émotions, et celui qui n'ose pas en pousser les portes découvrira stimulations et conseils. Un tonique et savoureux éloge des écrivains, des livres et de la lecture.Lire ! Plus qu'une invitation, une véritable injonction ! Avec pour seule constante la passion du roman.  Marianne Payot, L'Express.Un recueil de textes enlevés, drôles, inédits, convaincants, nécessaires. Jean-Christophe Buisson, Le Figaro magazine.Magnifique ! François Busnel, La Grande Librairie.Revigorant. Marine de Tilly, Le Point.
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"Zoé nichait à l'intérieur de moi, dans le moindre repli de ma peau, dans monventre, entre mes bras, derrière mes paupières, dans l'air que je respirais. Elle ne me laissait pas de répit."Ce matin, Izia regarde son mari quitter l'appartement  où ils ont élevé leur fille Zoé, renversée par un chauffard  quelques mois auparavant. Izia n'a pas un geste pourle retenir. Elle est soulagée d'être seule avec son chagrin,  libre de s'enfermer dans la chambre intacte de Zoé.Mais au fil des jours, la faim, le besoin de marcher,  de sentir le soleil sur sa peau, reviennent. Izia comprend  qu'elle doit vivre cet « après » et trouver une activité  où nul ne sait rien de sa perte. Elle a l'idée de proposer  ses services à des gens souhaitant débarrasser le domicile  d'un proche disparu.Ainsi Izia devient-elle une drôle de déménageuse.  Pour l'aider, elle embauche Samuel, un jeune homme  au franc-parler déconcertant et aux fragilités touchantes.Cette rencontre, et toutes celles suscitées par son  travail incongru, sont les premiers fils bien fragiles qui  ramèneront peu à peu cette femme perdue vers la vie.
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"Cet atelier était leur bouée de sauvetage. Il allait les sauver de l'incompréhension d'un deuil qu'ils ne faisaient pas, d'une vie à l'arrêt, d'un amour mis à mal. Quand j'en ai pris conscience, il était trop tard, j'étais déjà plongée dans l'intimité et l'histoire de chacun d'eux."En souvenir de son père, Esther, une libraire du nord de la France, ouvre un atelier d'écriture épistolaire. Ses cinq élèves composent un équipage hétéroclite :une vieille dame isolée, un couple confronté à une sévère dépression post-partum, un homme d'affaires en quête de sens et un adolescent perdu.À travers leurs lettres, des liens se nouent, des coeurs s'ouvrent. L'exercice littéraire se transforme peu à peu en une leçon de vie dont tous les participantssortiront transformés.Roman initiatique, pétri de tendresse et d'humanité, ces Lettres sont un éloge de la lenteur, une ode au pouvoir des mots.
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«  Elle aime la ville, lui la nature. Elle aime la  mer, lui la campagne. Elle lit beaucoup, lui  peu. Elle est bordélique, lui est maniaque. Elle se couche tard, lui s'endort tôt. Elle  goûte les bourgognes, lui les bordeaux. Ces  dissemblances deviennent vite un jeu entre eux. Ils se séduisent, se défient,  tentent de se convaincre qu'ils ne sont pas faits l'un  pour l'autre,  mais c'est perdu d'avance et ils le savent.»  Tout oppose Anna et Paul, hormis une même habitude des relations sans lendemain. Et pourtant, ces deux grands solitaires vont s'aimer. Passionnément.  Un amour si dense, si parfait, qu'il suffirait d'un rien pour qu'il vole en éclats. 
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