Aller au contenu principal

8 résultat(s)

ImpriméDisponible
Internet n'est plus seulement un média mais un espace social déterminant pour la vie privée, professionnelle et publique de chacun ; il affecte toutes les dimensions des relations humaines. Une véritable condition numérique est née, qui peut être décrite dans chacun des champs définissant un individu : identité, activité, connaissance, relations, etc.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméNon disponible
«  Le poisson rouge tourne dans son bocal. Il semble redécouvrir le monde à chaque tour. Les ingénieurs de Google ont réussi à calculer la durée maximale de son attention  : 8 secondes. Ces mêmes ingénieurs ont évalué la durée d'attention de la génération des millenials, celle qui a grandi avec les écrans connectés  : 9 secondes. Nous sommes devenus des poissons rouges, enfermés dans le bocal de nos écrans, soumis au manège de nos alertes et de nos messages instantanés.Une étude du Journal of Social and Clinical Psychology évalue à 30 minutes le temps maximum d'exposition aux réseaux sociaux et aux écrans d'Internet au-delà duquel apparaît une menace pour la santé mentale. D'après cette étude, mon cas est désespéré, tant ma pratique quotidienne est celle d'une dépendance aux signaux qui encombrent l'écran de mon téléphone. Nous sommes tous sur le chemin de l'addiction  : enfants, jeunes, adultes.Pour ceux qui ont cru à l'utopie numérique, dont je fais partie, le temps des regrets est arrivé. Ainsi de Tim Berners Lee, «  l'inventeur  » du web, qui essaie de désormais de créer un contre-Internet pour annihiler sa création première. L'utopie, pourtant, était belle, qui rassemblait, en une communion identique, adeptes de Teilhard de Chardin ou libertaires californiens sous acide.La servitude numérique est le modèle qu'ont construit les nouveaux empires, sans l'avoir prévu, mais avec une détermination implacable.  Au cœur du réacteur, nul déterminisme technologique, mais un projet qui traduit la mutation d'un nouveau capitaliste  : l'économie de l'attention. Il s'agit d'augmenter la productivité du temps pour en extraire encore plus de valeur. Après avoir réduit l'espace, il s'agit d'étendre le temps tout en le comprimant, et de créer un instantané infini. L'accélération générale a remplacé l'habitude par l'attention, et la satisfaction par l'addiction.  Et les algorithmes sont aujourd'hui les machines-outils de cette économie…Cette économie de l'attention détruit,...
Non disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
Le poisson rouge qui tourne dans son bocal serait incapable de fixer son attention au-delà de 8 secondes. Et le temps de concentration de la génération des Millenials, celle qui a grandi avec les écrans connectés, serait de 9 secondes. Serions-nous devenus des poissons rouges, vidés de notre être, incapables d'attendre ou de réfléchir, reclus dans la transparence, noyés dans un océan de messages, de sollicitations, d'informations, sous le contrôle des algorithmes et des robots ?Les empires économiques ont créé une nouvelle servitude avec une détermination implacable. Au cœur du système et de notre vie quotidienne, un projet caché : l'économie de l'attention. Sans rejeter la civilisation numérique, il est temps de reprendre le contrôle pour la transformer.Une lecture décapante. Claire Chartier, L'Express.Bruno Patino dénonce la tyrannie des réseaux sociaux. Percutant. Fabienne Schmitt, Les Échos.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
En quelques années seulement, les écrans ont envahi nos maisons. Petits et grands, personne n'est épargné : le numérique est partout, et tous, nous sommes happés par l'attraction exercée par nos écrans.Un petit livre indispensable pour appréhender en toute conscience les effets néfastes de nos écrans, mieux les comprendre, et tirer le meilleur des avantages qu'offre le numérique !
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
Nous avons quitté le poisson rouge dans son bocal numérique  : parfaitement libre, ouvert à tout, mais incapable de grandir, en difficulté pour se concentrer plus de 8 secondes, épuisé par le temps qui file et par les sollicitations infinies. Et travaillé par les algorithmes… Et nous l'y retrouvons, après une expérience mondiale inédite  : un poisson rouge confiné, sauvé par sa capacité technique à échanger, travailler, regarder, garder le contact, se divertir… et découvrant, en accéléré, sa prison numérique – libre de tout connaître mais perdant le désir  ; parlant à tous et chacun, mais avide de rencontres  véritables  ; le dos tassé, les yeux rougis, continuant la vie avec un léger sentiment de vide et d'attente….Impossible de rembobiner, comme dans un film américain  : à nous de faire avec cette nouvelle civilisation, qui nous a emportés et transformés en vingt ans. Déconnecter est un leurre  : mais lutter avec souplesse  ; transformer nos façons de faire, de connaître, d'aimer  ; se chercher des rites  ; réformer notre langage  ; déjouer l'Intelligence artificielle  ; et surtout, se créer une plage de temps à soi, chambre virtuelle, mains vides, regards vers le ciels  : telles sont les leçons et pistes possibles de cet essai bref, incisif, majeur. D'une méditation sur le temps à un souvenir de wifi en panne, d'un petit déjeuner avec Zuckerberg à une méditation sur les stages de déconnexion durs du patron de Twitter, d'une addiction personnelle à une promenade en forêt sans écran…. Libérez-vous. Renaissez. Petit poisson rouge deviendra grand…Deux ans après l'immense succès de La civilisation du Poisson rouge, Bruno Patino poursuit son travail de recherche, le déploie et l'approfondit  : que chacun puisse se trouver une voie libre et apaisée.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméNon disponible
« Nous avons perdu la nuit. Les écrans sont arrivés, et avec eux la connexion permanente. Voici venu le temps de l'aube perpétuelle. De la lueur bleutée qui jamais ne s'éteint, du rayonnement qui jamais ne s'apaise. Eveillés, hagards, hébétés, nous sommes irrémédiablement attirés par leur lumière. Finies les insomnies, place à l'a-somnie et aux veilleurs sentinelles, à ceux pour qui la nuit n'est plus qu'une séquence hypnotique entre mauvais sommeil et connexion décevante. Je suis l'un d'entre eux. »Ainsi se livre Bruno Patino dans ces pages prophétiques. Le poisson rouge n'est plus, englouti dans le déluge de signes, textes, images, sons.  Nous habitons le réseau dans l'illusion de la toute-puissance.  Nous pensons avoir accès à un choix illimité : musique, films, séries télévisées, livres, actualités et rencontres. Mais le calcul est notre maître  ; la fatigue, l'abandon, la fuite et la perte du collectif notre quotidien. L'attente a disparu, et avec elle le manque, et avec lui le désir et le rêve. Nous voici submergés, privés de liberté, réduits à nos données : une vie numérique.  Tout a-t-il été écrit ? Une apocalypse programmée par les créateurs – scénaristes, chercheurs  et entrepreneurs ? Si la fin des temps est le produit de notre imaginaire, peut-être pouvons-nous encore en changer le cours.Un essai brillant et personnel, placé à point nommé dans le torrent numérique. Une  Société du spectacle  où se dessine une issue. 
Non disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
L'essai La Condition numérique, coécrit avec Jean-François Fogel, s'intéresse à la relation des hommes avec les réseaux numériques. Les auteurs défendent la condition numérique dont nul n'est à l'écart. Un essai technique comme une épopée humaine. Notre condition d'être humain social est en train d'être bouleversée de fond en comble. (Marie-Laure Delorme - Le Journal du Dimanche du 31 mars 2013 ) Si l'on en croit la théorie de la singula­rité popularisée par Ray Kurzweil, il ne reste plus qu'une douzaine d'années de supériorité de l'homme sur la machine. Il suffit de regarder autour de nous pour vérifier que ce mouvement est en marche. Même si tout va très (trop) vite, l'Homo sapiens n'est pas pour autant ­devenu Homo numericus, comme nous le rappellent Bruno Patino et Jean-François Fogel, auteurs de La Condition numérique. Ce qui a changé selon eux, c'est «le temps de la connexion permanente», c'est «le réseau devenu message». (David Carzon - Télérama du 24 avril 2013 )
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméNon disponible
Professeur de journalisme et directeur d'Arte, l'auteur aborde le sujet de l'excès d'information, en particulier sur les smartphones, et la fatigue informationnelle qui en découle. ©Electre 2023
Non disponible
Veuillez vous connecter pour réserver