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Tous de passion, de beauté et de chagrin contenus, ces onze textes courts sont autant de joyaux où le lyrisme de l’écrivain distille une sourde émotion. Son attention aux moindres détails, sa sensibilité exacerbée aux hommes et à la nature illuminent d’une grâce singulière les fortes histoires qui font le destin souvent tragique de ses personnages.
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Mary McNamara vit avec ses parents dans un village irlandais. Elle est brutalisée et sexuellement abusée par son père, à qui elle doit tenir compagnie après la mort de sa mère. Tombant enceinte, elle décide d'aller se faire avorter en Angleterre. La communauté s'en mêle et l'affaire prend une dimension nationale.
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Mémoires de l'écrivaine irlandaise dont le premier livre Les filles de la campagne, paru en 1960 fit scandale dans la très catholique Irlande car elle y contestait l'ordre moral et familial. Grande lectrice, héritière de Joyce, grande styliste également, elle révèle l'importance et l'urgence de l'écriture pour elle.
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Dans une maison isolée de la campagne irlandaise, Josie, une vieille femme malade et seule, ressasse son passé et une lancinante culpabilité. Lorsque McGreevy, traqué par la police, s’introduit chez elle, toute la violence du pays fait à nouveau irruption dans sa vie. Lui combat dans la clandestinité pour l’Irlande réunifiée. Elle refuse d’accepter la légitimité d’un conflit qui ajoute le sang au sang. Tandis que l’étau policier se resserre, ces deux êtres vont tisser un lien étrange et fragile.
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En Irlande, Dilly, une femme âgée et malade, se rend à l'hôpital de Dublin pour y recevoir des soins. Elle espère la visite de sa fille Eleonora qui a quitté la campagne irlandaise pour Londres, à cause de ses livres sulfureux. Dilly se remémore son passé : sa fuite des Etats-Unis dans les années 1920, sa fascination pour New York, son emploi de servante, son mariage raté, etc.
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LES PETITES CHAISES ROUGES. Dès qu'il franchit le seuil de l'unique pub ouvert dans ce trou perdu d'Irlande, l'étranger suscite la fascination. Vladimir Dragan est originaire du Monténégro. Il entend s'établir comme guérisseur. On lui trouve un logement, un cabinet médical, et sa première cliente, une des quatre nonnes du lieu, sort de sa séance totalement régénérée. Rien d'étonnant à ce que Fidelma, très belle et mariée à un homme bien plus âgé qu'elle, tombe sous le charme. L'idylle s'interrompt quand Dragan est arrêté. Recherché par toutes les polices, il a vécu à Cloonoila sous un faux nom. Inculpé pour génocide, nettoyage ethnique, massacres, tortures, il est emmené à La Haye, où il rendra compte de ses crimes. Le titre choisi par Edna O'Brien s'éclaire alors, ainsi que l'introduction rappelant que 11 541 petites chaises rouges avaient été installées à Sarajevo en 2012 pour commémorer la mémoire des victimes du siège. Le vrai sujet de cet extraordinaire roman n'est pourtant pas la guerre civile de Bosnie, ni la figure de Radovan Karadzic, dont il s'inspire. Avec une infinie tendresse et une infinie compassion, la grande romancière irlandaise se penche sur le destin d'une femme ordinaire, que sa naïveté a rendue audacieuse, et dont l'existence a été ravagée pour avoir vécu, sans savoir à qui elle avait affaire, une brève histoire d'amour avec l'un des monstres les plus sanguinaires du XXe siècle. Après l'arrestation de Vlad, il est impossible pour Fidelma de rester en Irlande. Réfugiée à Londres, dans le monde souterrain des laissés-pour-compte, elle vit de petits boulots, hantée par une honte indépassable, et par la terreur. La prose d'Edna O'Brien est éblouissante : comme dans la vie, passant de la romance à l'horreur, d'un lyrisme tremblé au réalisme le plus cru, de la beauté au sentiment d'effroi le plus profond, elle nous donne, avec ce roman de la culpabilité et de la déchéance d'une femme, son absolu chef-d'œuvre.
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Le nouveau roman d'Edna O'Brien laisse pantois. S'inspirant de l'histoire des lycéennes enlevées par Boko Haram en 2014, l'auteure irlandaise se glisse dans la peau d'une adolescente nigériane. Depuis l'irruption d'hommes en armes dans l'enceinte de l'école, on vit avec elle, comme en apnée, le rapt, la traversée de la jungle en camion, l'arrivée dans le camp, les mauvais traitements, et son mariage forcé à un djihadiste – avec pour corollaires le désarroi, la faim, la solitude et la terreur. Le plus difficile commence pourtant quand la protagoniste de ce monologue halluciné parvient à s'évader, avec l'enfant qu'elle a eue en captivité. Celle qui, à sa toute petite fille, fera un soir dans la forêt un aveu déchirant – « Je ne suis pas assez grande pour être ta mère » – finira bien, après des jours de marche, par retrouver les siens. Et comprendre que rien ne sera jamais plus comme avant : dans leur regard, elle est devenue une « femme du bush », coupable d'avoir souillé le sang de la communauté.
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PORTRAIT DE JOYCE EN COUPLE suivi d'une postface de Pierre-Emmanuel Dauzat, intitulée LE YIDDISH DE JOYCE (Balbutiements sur une traduction) Edna O'Brien n'a jamais caché que James Joyce lui avait ouvert les portes de la littérature. Vibrant hommage à un « mec funnominal » – mot emprunté à Joyce – et à son stupéfiant corps-à-corps avec la langue, James & Nora retrace la vie de l'artiste en couple, depuis sa rencontre à Dublin en juin 1904 avec une belle fille de la campagne originaire de Galway, Nora Barnacle, jusqu'à sa mort, en 1941. Leur fuite en Italie, la naissance de leurs enfants, leur misère matérielle, leur flamboyante vie sexuelle, et aussi leurs deux solitudes, Edna O'Brien les concentre en autant de fulgurants instantanés. Dans une passionnante postface, Pierre-Emmanuel Dauzat, son traducteur, éclaire sa proximité avec l'écriture réputée si complexe de James Joyce. Le « yiddish de Joyce », ce creuset de langues – dix-sept – qu'il écrivait toutes en anglais, serait « plus familier à Edna O'Brien qu'à d'autres lecteurs européens pour une raison évidente : elle connaît la prononciation de l'anglais dans les différentes régions de l'Irlande […] et pratique aussi, comme une seconde langue maternelle (pourquoi n'y en aurait-il qu'une ?), l'anglais irlandais. » De fait, ce volume si bref se déploie telle une étoffe précieuse miroitant en d'infinis reflets, dont chacun est une nouvelle invitation à la lecture.
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Une adolescente a été enlevée par Boko Haram. A son arrivée dans le camp, elle est contrainte de revêtir le hijab et connaît la faim, la terreur et la perte de repères. Après son évasion avec l'enfant qu'elle a eu de l'un de ses bourreaux, elle peut enfin rentrer chez elle. Mais là-bas, elle affronte sa propre famille parce qu'elle a introduit dans la descendance du sang souillé par l'ennemi. ©Electre 2019
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L'action se déroule principalement à Zurich, dans l'auberge de Brigitte, une couturière qui a hébergé James et Nora Joyce dès leur arrivée en Suisse. En ce 13 janvier 1941, les deux femmes sont dans l'attente fébrile de nouvelles de l'hôpital après la grave opération que vient de subir l'écrivain. Sur scène, Nora évoque sa rencontre avec James, leur vie d'errances et leur passion. Elle est bientôt rejointe par Lucia, leur fille, flamboyante danseuse qui affirme s'être échappée de la clinique où elle était internée à La Baule, puis par une ancienne maîtresse de Joyce et, enfin, par Harriet Weaver, sa mécène. Grâce à d'astucieux dispositifs permettant d'alterner des flashbacks avec les échanges, les souvenirs et les rêves de ces « femmes de Joyce », Edna O'Brien dessine un portrait d'une rare intensité de l'indépassable auteur d'« Ulysse ». Elle déploie également de magnifiques figures féminines, dont les voix, qui puisent leur force dans l'œuvre même et aussi dans les scènes vécues, résonneront longtemps.
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ONE OF THE BBC'S '100 NOVELS THAT SHAPED OUR WORLD' As dramatised on BBC Radio 4, Edna O'Brien's iconic trilogy of novels - The Country Girls, The Lonely Girl and Girls in their Married Bliss - depicts the lives and loves of two girls in rural 1950s Ireland. Edna O'Brien's debut novels revolutionised Irish literature in the 1960s. Banned by the authorities as 'indecent and obscene' and burned by the clergy, they were instantly notorious for their frank portrayal of sexual desire: but scandal soon became fame, and made this coming-of-age story a bestseller and instant classic. Caithleen 'Kate' Brady and Bridget 'Baba' Brennan have grown up in the repressive atmosphere of a small Irish village after World War II. Kate is a romantic, looking for love; Baba is a reckless survivor. After being expelled from convent school, they dream of conquering the bright lights of Dublin - but are rewarded with bad faith, bad luck, and bad sex; marry for the wrong reasons, then betray for the wrong reasons; and fight - in their unique ways - the expectations forced upon young 'girls' of every era that dictate the women they become. Published in an omnibus edition with a new foreword by Eimear McBride, Edna O'Brien's portrait of innocence and youth, love and despair, hope and reality, continues to inspire new generations of readers with its bravery, lyricism, humour, and courage.
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Girl est un roman sidérant, qui se lit d’un souffle et laisse pantois. Écrivant à la première personne, Edna O’Brien se met littéralement dans la peau d’une adolescente enlevée par Boko Haram. Depuis l’irruption d’hommes en armes dans l’enceinte de l’école, on vit avec elle son rapt, en compagnie de ses camarades de classe ; la traversée de la jungle en camion, sans autre échappatoire que la mort pour qui veut tenter de sauter à terre ; l’arrivée dans le camp, avec obligation de revêtir uniforme et hijab. La faim, la terreur, le désarroi et la perte des repères sont le lot quotidien de ces très jeunes filles qui, face aux imprécations de leurs ravisseurs, finissent par oublier jusqu'au son de leurs propres prières. Mais le plus difficile commence quand la protagoniste de ce monologue halluciné parvient à s’évader, avec l’enfant qu’elle a eu d’un de ses bourreaux. Après des jours de marche, un parcours administratif harassant lors de son arrivée en ville, celle qui a enfin pu rejoindre son village et les siens se retrouve en butte à leur suspicion – et à l’hostilité de sa propre mère. Victime, elle est devenue coupable d’avoir introduit dans leur descendance un être au sang souillé par celui de l’ennemi. Écrit dans l’urgence et la fièvre, Girl bouleverse par son rythme et sa fureur à dire, une fois encore, le destin des femmes bafouées. Dans son obstination à survivre et son inaltérable confiance en la possible rédemption du coeur humain, l’héroïne de ce très grand roman s’inscrit dans la lignée des figures féminines nourries par l’expérience de la jeune Edna O’Brien, mise au ban de son pays alors qu’elle avait à peine trente ans. Devenue un des plus grands écrivains de ce siècle, elle nous offre un livre d’une sombre splendeur avec, malgré tout, au bout du tunnel, la tendresse et la beauté pour viatiques.
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