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P. Nora publie les interventions, manifestes, témoignages et prises de position qui ont jalonné cinquante années de son parcours d'éditeur et d'historien. Diffusion publique de l'histoire, analyse de la mémoire et du sentiment national sont certains thèmes fréquemment abordés dans ses textes.
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Récit posthume de l'engagement dans la Résistance de J.-L. Crémieux-Brilhac, comme secrétaire à la propagande de la France Libre, suite à la reddition de la France en 1940. Avec trois de ses articles : La France Libre et les Juifs ; Vichy et les Juifs ; De Gaulle et Mendès-France.
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Cet essai, paru initialement en mars 1961, a été écrit par P. Nora revenu d'Algérie où il avait été professeur de 1958 à 1960. Tenant du pamphlet de citoyen en colère, du récit de l'expérience vécu et de l'analyse historienne, il pointe les ambiguïtés d'une supernationalisme illusoire et flamboyant.
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Ce texte est un débat entre deux historiens du 20e siècle qui interrogent les croisements et les décroisements des mémoires liées à l'immigration et à la colonisation. Une thématique qui ne cesse d'être d'actualité. En évaluant l'impact de l'approche postcoloniale sur les questions migratoires, il s'agit de questionner la place de la mémoire de la colonisation, et de la guerre d'Algérie en particulier, dans l'histoire générale de l'immigration en France.En quoi ces mémoires traduisent elles les fractures et les impensés de la société française ? Une rencontre entre le penseur des "Lieux de mémoire" et l'historien spécialiste de la mémoire liée à la guerre d'Algérie. Pierre Nora, historien, membre de l'Académie française Benjamin Stora, historien. Auteur récemment chez Bayard de Retours d'histoire
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Depuis des années, mes amis me pressent, en m'écoutant raconter mes histoires, d'écrire mes Mémoires. Je me suis toujours refusé à cette tâche que je sentais pourtant, moi-même, nécessaire. Les souvenirs ici réunis ne s'apparentent donc pas à des Mémoires, au sens classique du terme, mais à un mélange de ce que j'ai baptisé « lieux de mémoire » et « ego-histoire ». Pour mieux dire, ils relèvent de ce que l'on appelait autrefois un roman d'apprentissage. Je me suis spontanément concentré sur les traits singuliers de mes jeunes années : la guerre de neuf à treize ans pour un enfant juif ; une famille faite d'individualités fortes ; une impossibilité à me plier aux normes universitaires sans pouvoir cependant m'en détacher ; une initiation amoureuse des moins banales ; une ouverture à plusieurs types de vie qui n'a pas été offerte à tous. Une jeunesse qui m'a fait ce que je suis. P. N.
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