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Une femme, sous le choc après avoir été quittée, songe à faire comme dans les films et à partir tenter sa chance ailleurs. Elle choisit Tokyo...
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Neuf mois avant Rosa Parks, l'histoire de Claudette Colvin, jeune adolescente noire de Montgomery en Alabama, qui a refusé de se lever dans le bus le 2 mars 1955. Elle était alors âgée de 15 ans. Après avoir été jetée en prison, elle décide d'attaquer la ville et de plaider non coupable. C'est le début d'un itinéraire qui la mènera de la lutte à l'oubli.
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«  Trois jeunes femmes étaient assises, non loin de moi, dans un restaurant. L'une a dit: "Je n'ai jamais couché avec un...enfin tu vois...un Jaune". "Moi, c'est avec un Noir que je n'ai jamais couché" a dit la seconde. "Faut dire qu'ils sont équipés!" a renchéri la troisième, "Les Noires, elles, elles peuvent, elles ont des grands vagins." "Ah bon?" a dit la seconde. "Bah, oui, c'est comme pour les femmes... enfin... les Asiatiques, elles ont des sexes plus courts, c'est prévu pour." Ce jour-là, j'ai donc appris que, comme toutes les Noires, j'avais un grand sexe.Oui, mais qu'est-ce qu'une Noire?J'essaie de me souvenir du temps où je n'étais pas Noire, mais seulement noire, sans majuscule. Un adjectif, pas un nom. Une simple couleur. Je passe en revue les souvenirs, la cité, l'école, les premiers boulots...Mais dans toutes ces images, je suis déjà Noire.Alors, qu'est-ce qu'une Noire? D'ailleurs, est-ce que ça existe?Et si les Noirs (et tous ceux dont on peut parler en ayant l'illusion qu'en mettant une majuscule on a tout dit d'eux) n'existaient pas?  »    T. de M.
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L'histoire de Claudette Colvin, qui a refusé de se lever dans le bus le 2 mars 1955. Après avoir été jetée en prison, elle décide d'attaquer la ville et de plaider non coupable. C'est le début d'un itinéraire qui la mènera de la lutte à l'oubli. Prix Simone Veil 2015.
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Il était une fois une femme qui avait décidé de faire le BIEN. Et c'est toujours bien de faire le BIEN, n'est-ce pas ? Cette femme travaillait dans une prestigieuse maison d'édition cotée en bourse, Feel Good était son nom. Chez Feel Good, on tenait par-dessus tout à ce que les actionnaires et les lecteurs soient heureux et calmes. Oui, on y mettait un point d'honneur. Mais, après tout, être heureux et calmes n'est-ce pas ce que nous voulons tous ? Cette femme, celle qui voulait faire le BIEN, se disait que les livres devaient être la première étape du chemin qui mènerait au bonheur. Déterminée, méthodique, rigoureuse, elle avait décidé que sa mission serait de nettoyer chaque mot de chaque texte pour que plus jamais personne ne soit heurté dans sa sensibilité. Corriger, à la source, chaque manuscrit dans un esprit Feel Good afin que tout le monde se sente bien, confortable. Se sentir bien, c'est important, n'est-ce pas ? Désormais, la seule et unique question qui la guiderait serait : est-ce que ce texte, cette phrase, ce mot peut être source d'inconfort ? Car l'inconfort n'était pas bon pour les lecteurs, pas bon pour les actionnaires, pas bon pour la vie sociale, il n'était pas Feel Good. Et être Feel Good c'est ce que nous voulons tous, n'est-ce pas? Mais on n'efface pas les maux de la société comme on efface les mots des manuscrits. Dehors, le monde est en colère, chaque jour apporte son nouveau lot de violence, de haine, de racisme... Être Feel Good ? Quitte à se laisser aveugler par le soleil du Bien et retirer des rayons les livres qui dérangent ? Quel en sera le prix  ?Dialogues hilarants. Situations justes et si souvent vraies, où l'ironie se mêle à la tendresse moqueuse. Une fable sur notre temps.
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