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L'estimant mensongère et perverse, la philosophe dénonce l'injonction contemporaine qui lie performance au travail et épanouissement personnel, et réclame tout à la fois engagement et flexibilité, employabilité et confiance, autonomie et conformisme, volontarisme et souplesse.
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Le titre de ce récit autobiographique, dans la lignée du précédent et magnifique livre de Michela Marzano, Légère comme un papillon, vient d'un vers d'Emily Dickinson : That Love is all there is, is all we know of Love. Partant de sa propre vie autant que de ses lectures, l'auteur évoque la recherche du Prince Charmant - un objectif qui se révèle inaccessible -, le désir d'enfant, la maternité, l'absence d'amour qui fonde parfois nos bancales existences, l'acceptation des limites de cet amour. Tournant un regard compréhensif pour chacun mais souvent impitoyable envers elle-même, elle aboutit à un constat personnel, où se reflète toute expérience humaine : « On reste seule avec ses peurs. Seule avec une autre liste, elle aussi sans fin, pleine de questions sans réponses. Cette fois, c'est différent. Car même si je perds tout, je ne me perdrai pas moi-même. Ni cette envie de recommencer. Ni la certitude que personne ne peut plus me voler qui je suis, même si, ensuite, la nuit m'anéantit. »
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La question du «  genre  » embrase et divise depuis quelques années la société française. D'un côté, ceux qui voient dans cette question une idéologie visant à détruire les fondements de la famille et donc de la société. De l'autre, ceux qui font de la lutte contre les discriminations une priorité absolue. Mais si le sujet cristallise toutes les passions, de quoi parle-t-on réellement  ?La philosophe Michela Marzano décrypte la question en dénonçant les nombreuses confusions des militants et des intellectuels   entre : différence des sexes, identité de genre, orientation sexuelle, pratiques sexuelles. Elle rétablit, avec une intelligence fine et lucide, la vérité sur un enjeu de société.
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Lorsque son frère devient père, Michela cherche à comprendre pourquoi elle n'a jamais eu le courage de mettre au monde un enfant. De quoi a-t-elle eu toujours si peur ?Lorsqu'elle se tourne vers son père, découvrant qu'il porte pour deuxième prénom Benito, elle se heurte à une indifférence qui hésite entre l'esquive et l'hostilité. Pourquoi  le prénom de Mussolini  ? Michela entreprend d'y voir plus clair et, bientôt aidée d'Internet, d'une boîte de médailles familiales qui dort au sommet d'un placard, et de piles de lettres empoussiérées par les années, elle saisit des pans de vérité. La vérité c'est que son grand-père paternel que la transmission familiale racontait royaliste et patriote fut un des tout premiers soutiens du  Duce. La Première Guerre avait ravagé l'Italie, tuant 1.240.000 soldats et civils, et une jeune génération traumatisée s'était laissé tenter par le fascisme. Mais ensuite ? Installé entre Lecce, dans les Pouilles, et Rome, il poursuit une carrière de juge, opérant sur la politique locale et nationale. Avec le temps, les tabous se cristallisent et le silence s'installe, minant les relations familiales.Le choc intime que provoquent en Michela ces recherches est vertigineux. Et si l'origine de sa honte résidait dans le passé refoulé de sa famille ?  Son histoire familiale se révèle en écho au destin de son pays avec une telle intensité qu'elle nous saisit à chaque page. La joie de vivre est si étrangère à son père qu'elle semble d'abord aussi interdite à Michela. Mais grâce à sa détermination,  grâce à son écriture, elle la retrouve et nous la partageons. Un cheminement bouleversant.
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Le fascisme historique est mort en 1945. Définitivement ? Comment interpréter certaines dérives contemporaines, les politiques sécuritaires, l'effacement de l'espace public, l'irruption des médias dans nos vies privées ? Ce qui a rendu possible le fascisme, c'est son idéologie de l'amalgame : un mélange de tradition et de modernité. N'est-ce pas ce qu'on est en train d'observer ici ou là ?
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