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A-t-on le droit, suite à des violences physiques mais aussi psychologiques, de quitter le domicile familial ? Peut-on obtenir l'incarcération de l'agresseur ? Comment protéger l'enfant d'un père violent vis-à-vis de la mère ? Ce n'est qu'au XXIe siècle qu'a véritablement été prise en compte la nécessité de légiférer pour endiguer les violences physiques, sexuelles ou psychologiques dont les femmes sont victimes dans leur couple, au travail ou dans leur vie quotidienne. C'est dire l'utilité de ce guide juridique : les lois qui ont été votées sont encore souvent ignorées ou mal comprises alors même que le nombre de victimes reste alarmant. Deux avocatesrépondent ici à toutes les questions que les femmes violentées, leurs proches, l'entourage, les éducateurs, les médecins et les services spécialisés peuvent se poser. Elles indiquent la marche à suivre selon les cas de figure, signalent les principales institutions et associations à qui s'adresser et proposent un lexique pour faciliter le recours aux armes juridiques dont les femmes aujourd'hui disposent pour se défendre au civil comme au pénal. My-Kim Yang-Paya préside l'association Avocats Femmes et Violences créée en 1997 et Céline Marcovici en est la secrétaire générale.
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Comment la justice achève les femmes victimes  de violences conjugales  Pousser la porte d'un commissariat permettra à une femme  de faire cesser les violences conjugales. Enclencher une  procédure judiciaire lui garantira protection et équité.Ça, c'est ce que l'on croit.Car, en réalité, trop souvent, la femme qui trouve le  courage de se tourner vers la justice signe pour un nouveau  calvaire.Céline Marcovici, avocate, connaît bien ces femmes qui  osent dire stop mais se heurtent au labyrinthe de la  justice, à ses rouages, à sa méconnaissance des violences  conjugales, à son manque de moyens. Son livre est  entrecoupé de témoignages bouleversants.  Beaucoup ont entendu cet étonnement dans le cadre d'un  tribunal : « Mais Madame, il fallait partir ».Tous les Grenelle du monde n'y changeront rien : le sort  des femmes victimes de violences conjugales ne sera pas  allégé tant que la justice ne sera pas réellement formée  pour entendre leur souffrance, démultipliée au moment du  confinement.
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